> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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Je rime sans raison
Cherchant le corps-à-co-ps
Je coule entre +es mots
Pour +rouver un +empo.
Te mettre sur le do
Caresser +a mysiqpe,
M'envtohir de +on +
Avec l'R en cavale...
Je Vois à ma Lagon
Sans rime ni raison
J'enjambe l'épithète
Me fous de l'anathème.
Dans de pieux +ête-à-+ête
Qui n'ont ni queve ni
Être le +ète à aveve
L'Y de mon doux vœu
Qui se sent retourné.
En un sens es+ aveu! Je roule sur l'arche- De +on violon magique Dont les notes ludiques e sont un réconfor+..
M nt un ni ee
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Je rime sans raison
Cherchant le corps-à-co-ps
Je coule entre +es mots
Pour +rouver un +empo.
Te mettre sur le do
Caresser +a mysiqpe,
M'envohir de +on +
Avec l'R en cavale...
Je Vois à ma Façon
Sans rime ni raison
J'enjambe l'épithète
Me fous de l'anathème.
Dans de pieux +ête-à-+ête
Qui n'ont ni queve ni
Être le +ète à aueve
L'Y de mon doux vœu
Qui se sent retourné.
En un sens es+ aveu! Je roule sur l'arche De +on violon magiaue Dont les notes ludiques Me sont un réconfor+..
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UNE PAGE D'EAU Le rossignol a fut si loin de mon jardin
Que l'ennui a noué ses rubans de tristesse
Sur Le sapin géant à la pleureuse ivresse Et laissé ses grand Bras pendre tel un pantin. Sous la pluie le noyer déploie un parachute
De feuilles en amandes, printanières prunelles,
Protégeant Les fruits verts des rondes demoiselles Des courants qui en vain sans succès les disputent. Tout près, dans la ravine se note le vieux figuier,
Savez-vous à quel point la mort lente des roses
A fermé à jamais leur douleur trop enclose Que plus aucune robe ne peut les habiller! De cette nudité Le parc s'est revêtu,
Paysage brisé ou se traîne un mal-être,
Teint d'une grise mine estampe d'un grand maître Qui sur la page d’eau vient dessiner les nues.
CLBF
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(CPP EC
227777777777 72777 ELA OL Jon coups, raseau fagite. aipire au pas.
QT PEL TR LL 222 LOI 77 À
CRT LL A TILL ALT 10 2
MOT TTL LT
Elle à éteint les Heures au cadian de te vœux
Ps aucun lumiqnen, d'étncelle, de feu.
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OPEL P TL C7
EL LEE 07777070
CARTON ET 0777
LCR LTL LILI LE 272
hais plus rien ne se dit quand'on et malkeureux. (Geurs, !'Ve petit père, ls prairies sont la-as,
OPA 77 7077
OCT CL 7220707770 Ve CLBF
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Silence, quels baisers m'znvogez-voas ici ?
Qa'avez-vous done cugilli à poarsaivre le vent,
Vous semiez tant d'amour fout autour de mon nid ecrochant vos douegars en milliers de rubans.
ss
D'où mg rapportiez-vous ces parfams d'espérance, En qagl endroit sacré froaviez-vous ces senteurs,
Car vous mg les offricz sans autre exabéranec Vos geux et votre voix ont fait battre mon coear.
esse
De quel pags lointain étiez-vous mon sésame, Par qael envoâtement j'offrais, hamble trésor,
Mes bouqusts de caresses sans aacan état d'âme Vous chassicz mes nuages par vos si doux accords.
seseses
J'attendrai ang bise, an courant ascendant Quai viendra se glisser an jour sous ma fenêtre,
Je laisserai ouvert mon firoir de printemps, Voas brillez tant poar moi, maïs je ternis peat être ?
ss Ag fermez pas le livre, nos pages sont silence,
Personne n'oavrira ces vieux feuillets jaanis,
Mais vous soavenez-vous de ce vent d'importance, Quai balaga le temps et bouseala ma vie.
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Vous avez dit bizarre! we Le jardin est en pleur et La rose s'ennule, COTES LIPEMUEE EC OPUS CEA
Le beau temps tarde trop, EL faudrait que La pluie
ESPIECOETECUE CETTE CSS PES PEUT NT CUS CLONE TT OT STE CNE
Des usines qui fument, des cages de béton,
&t aussi de grands murs sombres à se Lamenter. Mais Là, un bout de terre à vu naître un bouton! un carré de verdure aussi grand qu'un mouchoir
Avec dans chaque coîn, pour ne pas oublier,
Deux ou trois nœuds de lierre courant après L'espoir, un petit banc de bois sans vraiment de dossier. Au-delà de ce mur La ville s'époumone. passent des parapluies aux couleurs bigarrées, C'est un crachin d'hiver qu'un printemps déboutonne
Laissant passer Le froid, bizarre mois de mat. Vous avez dit bizarre! Le ciel m'en est témoin, Nous couvrir de rosée encor’ je vous l'accorde CUT a eee QE CENT ETES Mais là, c'est vraiment trop, ma colère déborde. CLBF
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J'ai mis ici tous mes aveux,
Vous prenant à témoin sans doute &
Vous faisant partager ma route Je vivais sur de ue
Avec mOn CŒUT, avec mes YEUX: Quélques moris désagréal
PE } ke. e, Le
ne © Prenant parfois des raccourcis
ue Souvent je me mettais « à table ». Des flots de nobles sentiments,
Furent de facture légère, ‘Maïs vous étiez bien trop charmants
Pour me chercher quelques misères. Comme un vol d'oiseaux migrateurs
Malgré la pluie, malgré mes maux
Je m'inventais de vrais bonheurs
Voulant planer toujours plus haut. J'ai tant semé sur Les chemins
… De la rose auvol de palombes Je vous dirais bien à demain !
‘Maïs chut ! je d'eviens'üne tombe...
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nn NE: *
sssssennt ETS. OUT ssssssssssssses
Hi LELCCECECECECELELCELELCELECELCECEN BE FFE FEBSEEFESSEFEFESSEEEFESSEEEFESSEEEFESSEEEESSEEEESSEEEESEEEEESEEEEEEFESEEFETES)
BB FESEE FE FEES FEFESEESSEEEEESEEEEFESEEEEFESSEEEFESSEEEESSEEEFEESEEEESSEEEESSEE Nous voilà de retour prêt à me faire un drame Pour cctte liberté dont j'ai été privé,
Gr m'enfermer là-baut telle une gente dame (tte idée mon ami n'était pas de mon fait. Coycz-vous mon très cher que L' infâme ferraille,
fait la garantie à ma fidélité.
J'ai su sans clé OUVTiT, AVEC une tenaille C sacré vieux carcan que vous aviez boucle. fai couru quilledou, volant de l’un à l'autre, Séduisant cavaliers ou nobles de [a cour. Vous, absent tant d'années quelle vie que la nôtre, À dépérir d'amour j'en perdais mes atours.
L'on troussa mes fupons plus souvent que Le vent
Jffendant [e retour de mon Seigneur et (QKaître.
SL fallait que j'occupe mon temps élégamment,
fe fus fort bien payt , j'avoue fe dois l’admettre! Nous pouvez bien burler, faire votre baderne Dans un français courtois fort de votre bon droit, ais vous revenez vieux ct fe vous sais en berne Nous disiez mon ami ? 56 il vous reste un doigt ! (07 doigt! ais VOUS AVEZ la réplique tactile
Gr ce gant me cachait votre unique bijou, (tte bague au mafeur serait donc vibractile ?
essire votre Gras, dirigez-moi INers où ? CLBF
BEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE Maaaaadtanaaddaaanaaddaanaaadtanaaddanaaaddtanaaaddtanaaadtaaaaaddtanaaaddtanaaddaaaaaaddtanaaaddtanaaddaaaaaadddaaaaaddaaaaaaddaaaa dada aaaa dada aaaaAdIANaAIAAINNIIIAIINNIIANNNANANIAINNNAIANNNNININNNNNNININNINANINNINNANNNNNNANNNNNNNINNINNNINNNNANNNNNNNNNNINIANNNNNNNNNNINAANNNINIAIANIINIIIAIIAIASLIIINNL SEESSEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE EBEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE)
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J'aimenaio Bien écnine quelques chose de dnéle |
Ect-ce ce tempo de jhuie, de neige ou de enachin,
J'en mass qué ft ge es pau oume machin,
Efira ne pénal qu me non flle Etre plié en deux, leo cêteo en délires, Se manner , rigoler, comme on dit s'éclater.
Mio voilà j'ai le Blues, ça n'aide pas à nine,
Alono vous jencez bien, à gonge déployée. Je ne ouio quo la seule à avoir la nauvée, Le coeur en bandoulière plutst mal accroché,
Panait qu'en écrit pas lonoqu'on eot trop heureux, EE si L'on à des nous des nous lalla itou,
C'eot pâle j'en convienc, enfin que voulez vous
Que na muse o'en fout. EDLe e cache où ?
EU eot où la dnélesoe, elle me pompe l'ai, Je te dio que je L'aime, le nedio dans meo vero Mio je me venge en ‘come ; Vous dine oi je couple. CLBF
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Robe grise et jupon de pluie sempiternelle,
Une écharpe de vent un chapeau de gisaille,
cf prolonger la vie d'une saison cruelle se prend poux l'hiver, ce printemps qui bataille. cveil au garde-à-vous ne s'était découvert.
Ne quitte point tes fils! arde tes vieux habits!
Cu sais bien que souvent, le froid est un pervers.
Le mois a écouté ce que les autres ont dit.
Dans leur robe de laine à la maille épaisse
Venues des monts voisins et des courants sauvages,
Let nues nous ont maudit sans beaucoup de noblesse
a terre vomitsait un trop plein de messages.
Œuis arriva Le lai un peu à cloche:pied,
U ne fut qu'un éclat de terribles orages,
Œrédisant du bonheur à qui voulait aimer
6on onde fût un choc, qui noyât nos villages.
Vivement le Quin celui des chauds partages,
eniflaxd de sanglots sous un soleil top haut,
De juillet il voudrait avoit tout le plumage,
Q fera de son mieux s'il ne fait pas Le beau?
c'lais ou sont Les saisons qui fait quoi en ce monde!
caut-il le souvenir de ces années aussi?
La planète s'entète et les mois vagabondent
cour que je me souvienne... J'écoute Vivaldi. CLBF
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RAIS D'HIVER... Les matins étriqués de gelée recouverts Ng peuvent s'étirer tel un ehat sur lg mur. ASS Encore emmitoufléé dans la nait de l'hiver % L'aube frigorifiée se plaint de eourbatures. IN
Cest un champ de rosée. dg branches en glaçures
Gonfisgur attentif 1 froid fait son offieg fttache aux barbelés ses gouttes de gelure €t poudre de frimas les sarments au supplice. | Ang bise craglle s'acharng sur les haies L'air vigrag de senteur promèng sa fourrurg Pe brouillard tout mouillé que perec quelques rais €ntendez, écoutez soupirer la verdure. Mais voilà qu'il arrive, éeartant les nuages
Pénètre dans le bois glissg entre les ramures,
Et de ses flèches d’or timidgment s'engage
L'hiver tout printannier réchauffe la nature
C'est la fête de l'herbe des jardins çt des fleurs, Des allées de rosiers emperlés de cristaux. | Pu massif empoté d’un voile de pudeur Que la nuit était longug prise dans un étau. Les vapeurs de la terre emplissent l'air d'humus
Quelques eherehgurs d'ennuis piaillent sous 1gs buissons.
L'odorantg douegur au matin des eitrus ittirent les abeilles dressant leur aiguillon. CLBF
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Dis-moi, mon doux, mon cher et tendre ami, RETIRE TT EYE T0
Comment au détour des chemins de vie, L'amour s'en est allé comme un pendu. Mes lèvres ne veulent s'éteindrent,
Revivent encore nos mots d'hier,
ETOILES TA TN Na Ted PODELTOTEN TPE TUTEE PEN A TR BURN SATA AT OI UE TT a ET LA
Reste ma terre! Le grain de l'absence
COTE TONNES TONNES NOT TA A Ta AT NT AT TA Je garde en moi l'âpre désespérance
PORTO TOUT T0 es RTE DL 4 EN
Mettre un soleil au bout de mon errance, Avec des fleurs de vie pour mes chagrins.… CESR
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COPA TEE TEEN CT
Œuprès d'un andre où d'une source,
&L je pense à Leo faire Boucen
Œux frissons Lendres el grisando.
Le sève fleurit sous ma peau CON PE PPT REP PP
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CRU DER LT TS COR PRE Pre
CONTRE CE DS CORTE LP PE 7
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LPS TT PES ET À
LOT PR 7 PR ne no
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CÉLETECET SR) J'aurais voulu de toi des milliers de secondes
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PRET A chien Aa
PT ET EN EC one À PAT EC QE AC
CETTE RIT CLR EEE ET
Ne bouge surtout pas, je l'en prie reste là,
Laisse-moi me blottir, m'enivrer de ta peau. PTT ee RQ ISA UE 00 CU CORP CRE CS OC TS La à
BCE QE A OA Je n'ai rien oublié de ce qui fût un jour. PARC le PC LC
Nous creusons le sillage à la proue d'avenir,
CRE EEE EC TE
PNR Li CU CLBF
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ättends | Attends encore, laisse la volupté Pénétrer dans nos yeux pour gardgr nos sgerets,
Dans eg lit ou tout dgux ng formgrons plus qu'un, Laisse eneorg nos corps s'enivrer de parfum. Dès qug l'amour sgra il segllgra nos lèvres
Halgtants et liés sous le joug dg la fièvre,
decrochg ton regard à et exil soudain Pans la beauté du temps suspendu gt divin. Jaste pour egt instant, pour eg plaisir fagaege
ax lignes dg ta main je prédirai l'zspacg,
Dans les soupirs plaintifs d'an fleuve torrentiel, Telle louve apaisée je rejoindrai ton eigl. Je songe à tous egs jours ou nous sgrons bign seuls,
Où nous rgtrouvgerons tous egs matins de deuil,
J'aimerais voir s'enfuir ma vig entre tgs mains, Mourir ainsi d'amour, mais renaître demain. CLBF
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nl Il CE22777777247722 El me faut pour combler mes vœux,
CAy mieu de vertes prairies, À Dusañon, CT
(C2 027700 Couver pour mon denier amour
LACET TL A 1202 277727777722
ÉFaime à goûter à cette enfance Ce cacherais là déchune (C17222 & printemps me plait, ant de hagin au vent mauvais.
CR ALT EET TRE LE CLBF
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L'atmosphère est un blanc désert.
Rien ne tremble, rien ne soupire.
La vache mâche sa colère Le mouton de laine transpire. L'herbe molle couche ses pleurs
Sous l'azur qui tombe en morceaux,
La canicule n'a pas d'heure
Il fait trop chaud, beaucoup trop chaudl
L'épais velours au triste hiver
Ferait bel effet dans le froid,
De beaux rayons bien droits, bien fiers,
A la saison des feux de bois.
En attendant quelle torturel
J'ai fermé la moindre persienne.
Pourtant dans le noir, je sature
Vite, que l'automne s'en vienne.
Et ses couleurs et ses odeurs,
L'été devient caricature,
Pauvre saison où tout se meurt. Vive octobre et ses peintures...
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Tu grinCes, Couines J'entends tes plaintes. Inutile !.. Je n'irai pas pleurer là devant ma fenêtre,
Tu as beau gémir; Non! Je ne viendrai pas
Adhirer l'horizon en pensant que peut être Si je regarde au loin ta nuit m’emportera. Silence !
arrête ton manège de tôle métallique; Automate indécis sur son axe lunaire,
Secoué de caprices, agonie de fer blanc,
La lune te regarde, Vois sa brillante sphère Cesse donc de tourner silhouette au Vent. Joue de ce madrigal
Qui te sert de musique mais laisse-moi dormir. Ne m'interpelle plus ! Le Ciel m'importe peu,
À moins que je ne flirte aVeC tous les nuages
Glissant mon insomnie dans Ce gris Cotonneux Afin dy voir flotter l'arpège de mes pages. Squelette désossé
Fais silence un instant,
Laisse ma nuit d'été Cliqueter de printemps.
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Des rigns peuvent suffire. Des riens peuvent suffire à peupler la mémoire
Des riens que L'on revit qui ont fait notre histoire.
Un paysage ému, une main qui se tend, Un Baiser qui se veut du bout des lèvres, aimant.
Ce temps que l'on regrette, balançoire d'émois, Ces images enfouies sont notre cinéma, Ce va et vient de mots, ces moments d'autrefois, Cette douleur d'avant a la couleur sépia. Bien sûr rien ne s'oublie, dans la tête demeurent
Quelques photographies épinglées à la vie
Parfois l’une s'envole pour quitter sa demeure
Venant frapper au temps si fébrile d'envie. CLBF
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Le jour je pense à vous, chaque heure est pareille,
J'erre dans ma mémoire, page aux souvenirs, La douceur de vos yeux, un soufle à mon oreille,
Je chéris votre coeur sans pouvoir vous Le dire. Le jour est un malin négligeant ma ferveur,
Je me defends de vous occupant mes journées,
Je suis là, je respire, pourtant je suis ailleurs,
AO TITRE EURE E TTETTI ZE La nuit me rappelle, vous n'êtes pas mon toit, Il n'est pas de chaumière où l'âtre nous réchauffe,
Pénélope le soir, je défais mon étoffe, OS TN CNT OT EE ETS Dans l'infini des jours, commme une pluie d'avril,
Vous collez à mon corps tel un tombeau scellé, Je serai ce gisant que l'on croit immobile,
OI ETS IT EU ON UT 12 ES CLBF
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EN VOS OARDINS DE MOTS. En vos jardins de mots, du printemps à l'hiver
de parcourais le ciel, constellé de merveïlles,
Au creuset de l'histoire de Zeus à dupiter, de poursuivais le temps de l'Olympe au désert. Ainsi vous m'éveïlliez aux musiques des vers,
Aux chants des sources vives, aux blés mûrs en sommeïl,
Au bleu profond des mers, aux parfums de la terre Et de vous j'apprenaïs du monde ses mystères. J'aimais a écouter en fermant les paupières, Le chant du rossignol, le cri de la corneïlle. Aux cycles des saisons, fidèle Déméter
L'hymrie de vos récoltes enchantaït mon oreille. Dans ces vers éternels que je lisaïs naguère,
D'intemporels échos embellissaïent mes veïlles,
Solitudes humaïnes où dansent les chimères, Aux chevets de mes nuïts s'offraïent tous les soleïls.. CLBF
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Est-Ce que mes sources sont moins Vives,
Est-ce que je cesse de couler ? DE
Printemps eu m'as dit de chanter Alors je Chante...
Est-ce que mes vagues 5e lamentent
PLUIE Est-ce que le nuif est mon emente,
Hiver tes courants sont retors ? Alors je nords… Je sais que tu n'épies l'automne Le vent se voile ,voile de nonnes TT DE C'est moi qui balaie dans ta cour Souffleras-tu sur mes a C'esttoi le temps qui nous commande
parfois on en redemande Par tes humeurs d'adolescent 7
Tufais la pluie et le beau... CLET
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin. Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors Chant d'été L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane
Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu.
| Chant d'automne Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaint.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s‘impatiente ! Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Chant d'hiver Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent fe y
Le blanc de tes silences lentement se déploie. a
La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF
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€ mettre du ciel bleu sur de
Serait un Vrai bonheur! Rie b'ate TRÈS SALE de tant de cavalcades.. érs ne sonf pas moil| Îls sont de mon humeur,
invente des maux protégeant ses aveux,
eux-(i savent bien que dits aok le cœur e s'évanobit dès que l'en parle CUT e a =
L I ée erme une aventure
Li ss
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LISIERE D'AUTOMNE J'irai cueillir tantôt au champ qui s’abandonne
Tout un bouquet fané de ces épis couchés,
Ils sont les heures chaudes alors que vient l'automne
De tout espoir futur au chant des oubliés.
Déjà, quand je marchais sur la paille défaite,
La terre sous mes pas pleurait d'avoir souffert, Et l’on voyait la mort encore imparfaite
Recouvrir cette vie de ses effets pervers.
Le merle et le corbeaux révérencieux à souhait, Cabalent de concert en plumage de deuil,
Evincés par les cris d'étourneaux en cavale
Piaillant frondeurs unis volant en mille feuilles
Le vent fait s'agiter des brindilles légères.
Dans son souffle s'envole une poussière d'or
Quelques brins, quelques grains vont cacher leur misère L3-bas sur les collines où les attend la mort... Cette saison lumière aux changeantes couleurs
Apportera gaité sur les champs dévastés
La vigne encor’ debout se verra arrachée Au plus près de l'hiver amenant ses douleurs... CLBF
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Cs lignes au matin tremblent comme des ailes, Mirginale blancheur qui n attend qu'un seul mot, Ma muse es-tu là, que fais-tu donc ma belle ? orsqu un et mille oiseaux viennent prendre leur place. Tu murmure de l'encre , AUX tempêtes des mots,
Œcorcht sous la plume, le feuillet blanc grimace…
Les pages ont souffert de nombreuses ratures,
Œn voilà deux ou trois, froissées de liberté,
Jetées dans Le panier, en vilaine censure.
TIide-moi à quérir, toi qui vis dans [a lune,
Déesse de l'écrit, quel jardin te retient,
Que tu ne puisses aider ton amie d’infortune. l
Pose en mafuscule le tout dernier espoir
Sur l’envol de voyelles dont tu as le secret.
Pour que mon del soit bleu, f ‘ai besoin de Le voir. CLBF
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Octobre sait cela. Je LLC CRT ETES IE ET Te
a LS CT dijà PAT (Te Pr [PTE OS
Ft l'aube sortira du sein noir de la nuit OUT PU de froid, somme toute fort beau. Sois lente, sois prudente, TROT TI ET TA
NCA PTE ar le [US T's LA temps bénis
DE CTROTa TEETLLS pures, LE” PR TENCIETTE LOUER LEURS TT PA TR OLA cela,
P
and L'érable rougit tel un feu de bengale
4 él
CLEA ET LIL CE Te
y Jen {a terre PTT quant aux OUT ET TIRE OL 17: ETC CETTE (2) LILI OT LI
Der des reflets du Ir beau fil d LT
Qu'un vol cendré de PL CU in PTIT LT NOT: le matin, poussant voiles aux vents. D Cr LUE TU CE ART brocarde,
(Gr fu pourras afnsf dans ta forêt d’ éden A7: tous Les OITITE) d’une saison fuyarde, en voir CL 0R , Je retiendrai ma PLUIE CLBF
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On dirait que la plaine à l'aurore figée
Our lx moindre parcelle revêtu d'oripeaux,
CL£ne nuit de novembre Sést mise à grelotter, e sol transi de froid est pris dans un étau. < aube à peine levés, revétue de blancheur,
Sens sa brume traînant un ennui dépressif
Allait on ne sait où, déroulent sans pudeur, es volutes de nues jusque dans les massifs. Celle une catin titubant de besogns,
À l'approche du jour au visage masqué,
Sa nuit rase les murs du pans de COascogne @uélle cropait pouvoir retenir dans ses rets. CHeurtris par lx gelée, parsemés de ses pleurs,
es champs réfleuriront sous des rayons pourcuz,
ec soleil matinal daurifères langueurs érra notre terroir enrichi Par les cieus. a nuit va trépasser emportant Sa grand voile, c mélant aux nuages drapant son agonie,
Gt dans le ciel turquoise alourdi sc dévoile CKorembre éclairci d'une belle harmonie...
Rampille