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Qui je suis : Christiane , allant allègrement vers mes 76 automnes. Maman de
ÉCRAN CEE REMOTE EC CEE CCS 000000000000000 J'avais quitté mes Pyrénées pour vivre ailleurs, dans un autre monde, une autre
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d'odeurs, de racines. J'ai alors remonté le temps avec mon arbre aux souvenirs. De retour chez moi au Pays, je n'ai plus eu besoin de mon arbre, jusqu'à cette année
2008 où un grand vent venu de “ DEP ENT ENCEINTES EE CN Très vite le cahier fut ce fronton sur lequel j'ai “lancé” les mots...des alexandrins !
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Comme je le disais dans mon petit pitch ci-dessus, j'écris ! Cela a commencé il y a une dizaine d'années ; Oh ! je n'ai pas la prétention
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d'évacuer le trop plein de souvenirs qu'ils soient bons ou mauvais. NO CUT Ce or e CE OC Ru CE CET
avoir été au petit matin dans les rues du vieux Bayonne, je cherchais l'endroit idéal a photographier pour
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Rue des Basques ne pouvait être anodin. Puis: le second, profondément ancré dans ce terroir que j'affectionne particulièrement, ma
file trouva le titre: vous dire s'il était tout indiqué ! Poèmes sous le béret” vit le jour (en
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Ce mois n’est pas fait pour l'oubli,
Il ne nous laisse aucun répit,
Partout des ombres qui s'ennuient Chassent le jour, glacent la nuit. Les murs ont des pleurs aux fenêtres
Des sanglots longs qui les pénètrent
Ô pluie, tes fils qui s'enchevêtrent Versent des nausées de mal-être. Une accalmie, un doux indice
Entre les nues, couleur réglisse
Poursuit le vent, grimpe, se hisse Sur un petit rayon novice L'instant est troublant de lumière
Etranges cieux, étrange terre
Qui déployant son arc-en ciel Ouvre une voie cérémonielle. CET
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LES MONTS BLANCS On dit dans la vallée, le vent nous le rapporte, Sur les pics tourmentés ou sur les blancs névés,
Qu'entre les failles siffle un chant de telle sorte, Que l'aube vient mourir sur les pentes glacées. Cime aux flèches dressées déchirant les nuages,
Couronnées de nuées d’immobile blancheur,
EE
L'homme aventurier recherche tes honneurs. A l'ombre de ses flancs chaque pas est atout
Pantin tout disloqué suspendu aux ficelles
les bras écartelés comme en croix tu te cloues, Aux affres du blizzard, la parois devient stèle. La montagne à des fils sous son linceul de glace,
Quand la coulée d'écume au lointain glisse et gronde,
L'azur qui la caresse lui offre ses espaces Et la terre à ses pieds ses racines profondes. CLBF
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C'est un petit jardin sans grande prétention,
C'est un petit jardin sans rime ni raison.
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. Des arbres dissipés comme une cour d'école
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
Dès que le vent soulève les fragiles ramures, Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| CA ANT EEE CCE C0 RE TA ET A C7 7 Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. Et puis la véranda, caverne aux souvenirs CTP ART NICE ACER UICUCIR CAE TIC ON CRETE ETC CEE AT OT EENCCIEES CLBF
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