> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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LIVRAISON EXPRESS TE CLBF Si vous pouviez un jour poser tous vos bagages
Vous ancrer quelque part, déballer vos paquets,
Eviter que mon coeur ne vous cherche ombrage Entre voies d'autoroute ou montagnes enneigées.
Vous mettez entre-nous des tons en contre-jour Je ne sais plus trop bien que faire de mon amour,
Dois-je le faire livrer je demeure hésitante,
Irez-vousle chercher s'il est poste-restante ? Vous le savez mon coeur, il n'a qu'un seul espoir Etre encore près de vous, encore est illusoire. Je me souviens du jour où il fât emballé, Le mot est adéquat, mon coeur battait si vite Vous en souvenez-vous, je Le mis à vos pieds 11 se plaignit parfois il eut quelques manières Mais jamais non jamais il ne fut plus sincère, Je l'enverrai demain, contre remboursement De baisers tendres et doux, d'agréables moments, Et pour qu'il ne se perde dans quelques voies lactées,
Je le fais parvenir par pli recommandé; Expédition, amour. destination, tendresse. Mais je vous en supplie, donnez-moi une adresse !
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PETITES MAINS 1 Cenesont pas des mains de fées,
Des mains d'artistes ou de poètes,
Ce sont des mains qui ont tout fait, Ne croyez fias qu “elles soient bêtes. 2 Chacune à son caractère,
Indépendante faut le savoir!
S l'une se veut étrangère, L'autre est bien (à comme un miroir CLBF 3 Celle de droite est à droite
D'une logique implacable,
Croisez-les ! Bien maladroite,
La droite est gauche ! Epouvantable! 4 La gauche qui n'est pas adroite
Deses doigts souvent nous encombre,
Et la gauchère mise en boîte
Au droitier souvent fait de l'ombre jointes souvent elles prient, 5 Le doigt peut être une semonce, Quand sur les lèvres l'index dit. Chut! Inutile; la main renonce.
G £Lamain peut être un vrai défit
Le poing serré devient colère
Elle salua durant la guerre Uest des mains pas frès jolies.
7 Elles s'habillent de bijoux Ces mains qui jamais ne s'arrêtent
Passent aussi la corde au cou Quandun anneau vient à paraitre & Je donnerais bien l'une ou l'autre
Qu'elle soit gauche ou bien adroïte
Moi je veux bien quelle soit vôtre,
A condition qu'elle soit droite...
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MON PLUS
GRAND SOUCI /
C'EST MOI... L'habitude est cette impudente Æ
Qui s’installe dans la maison,
CETTE PEUT NEA On ne voit d'elle que le bon. Elle crée ce lien invisible
Qui guide chacun de nos pas,
Dès lors s’installe invincible, Elle est partout ici et là. DÉNONCER EST
LS RU IRC SANE ON
DORE PRET PE ENTER TS ARC DU CE EU UC IEEE bonne ou mauvaise habitude,
CNP TT UC RENE ET
Êt sa lourdeur #st lassitude Rendant les jours bien monotones !
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If | Carte du lit de la solitaire désabusée… Comme on fait son lit on se Couche
L'adage étant bien vrai, pour que je ne découche J'ai entrepris matin toilette de mon lit.
Les draps sont sous la main, les taies sur la Commode. J'ai pris mon déjeuner avec ses vitamines,
La matinée m'inquiète mais je m'en accommode.
Il faut Changer les draps, l'affaire est assassine.
Apparemment simplet le duel reste vrai
La Couette dans la housse, c'est si simple pardi!
Et nous Voilà partis! Soudain je disparais
Le fessier bien en l'air, bras en Croix sur le lit.
Et je reste coincée en soufflant Comme un bœuf
Cette housse P.….... je vais lui faire sa fête
Chaque fois c'est pareil, mettre le lit à neuf Demande autant d'effort qu'un sérieux tête à tête.
Elle Va m'épuiser. C'est qui qui se ramasse? Boudine dans le centre, échappe à mes coins
Se refuse à mes mains dans un dur face à face Pensant être arrivée au tagada tsoin tsoin… Cinquante fois j'ai fait le tour du matelas...
Je suis passée dessus, autour, même en dessous ?
Parfois j'ai pris mon pied. pffff.. pour CoinCer Ce fatras J'ai “mal à la guegna” et si mal aux genoux ! Enfin, j'ai réussi, n'est-elle pas jolie
Bien à plat, étirée, lisse Comme mes fesses,
Avec sa taie à fleurs et Carrés assortis Quand je vous dis qu'au lit, moi je fais des prouesses...
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DIET PUCES A CT NES AT CELL
Nos jours pareils aux nuits sont tristes à mourir?
DAS EN EC ET CREUSE US TE 00) Va folloir s'éclater, se fendre d'un sourire! PTE CNT NTI ETS EU Te RU ES Re
PRÉCISE TS LI
Et toi triste malade qui trop souvent insiste, Mais qu'evez-vous donc tous à vouloir nous gaver! CRU DÉC EESTI EU TL CT TE Cl
Notre île disparaît, je la vois dépérir Elle déploie ses maux nous feurons l'overdose Des mots lambeaux de chair, escadron de douleurs; HS TT es A er ln le DEEE NES ETS PPT ONE EE ETTe El ÉNET CEE RS ENS Te TEA
DITES CET LE TN UE Ben oui, ça n'est pas drôle de lire vos malheurs On fire sur l'alarme mais vous n'enfendez pas!
RATS ET UNE CS CUS A CELA DT CÉSAR ETS RE TETETE AET E SE Cl Ou alors n'écrivez que des poènes heureux, Les oiseaux et les fleurs les ruisseaux, les monts bleus.
Pourtant j'ai syuvenaner de lectures anciennes. Peu d'auteur n'ont paru d'une grande gaité! Be guerre, de douleur vu poésie Freudienne Certains étaient bien gays mais gaies ça se saurait... CLBF
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SR OV RESTES EE Aa coin il ÿ & am vieux buffeb, 11 sené la cire. le café
LRO OUT NO LeS rc 1 LD) E6 ce vin cuib qui émousbille. Sauspendu près de la fenêbre
Un vieux coucou, Suisse peub ébre?
Au-dessus de la cheminée Une bêbe de sanglier. Une bable avec quatre chaises
Vous mebbenb souvent mal à l'aise,
Aucun pied n'a la même hauteur L'assise soulève le cœur ! Venez-donc me rendre visibe,
LUDO RC CO CERTES
E6 sans vouloir Vous commender
Apperbez denc bous vos secrebs CLBF
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Moi! je m'balance. Je laisse mon crayon, le temps est aux aiguilles
Eh oui, comme nous tous, je me lasse parfois
Moi, j'aime tricoter quand le froid en mantille
Vient faire du crochet sur le bord de mon toit.
Si
J'avais encore gardé ! Oh peu de chose, ‘ai tardé un peu c'est, que dans l'écritoire Des soucis, des amours, des moments de tendresse,
Maïs qui valaient la peine que je vous les adresse,
Pareils aux souvenirs gardés au fond d'un coffre,
Qui soudain ressurgissent pour vivre à leur aise
Une histoire contée, sans prétention, on l’offre
Comme on offre un bouquet, comme on offre une rose
J'ai donc bien du souci, madame poésie, Je quitte le verbiage pour prendre le vert laine, Je rentre dans le rang, catalogue à l'appui Samain est dans mon cœur, je garde Lafontaine.
Vous l'avez bien compris! le cul entre deux chaises
Je suis prise d'envie de faire courir mes mains, Ce qui revient à dire qu'à partir de demain Je vais me balancer, remettre mes bésicles,
Commencer à compter les mailles de l'enfer, Je dois l'avouer faire du point irlandais N'est pas de tout repos même en rocking-chair.
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Et Jiminy Cricket... RENONCER DO EN ANNTANTUTEA OA TA ET EN A ATET A QUE ET UN EAN TT TES
Chaque soir et toujours cette voix là jacasse,
Cette savante intruse que je voudrais lyncher
Cette bouche sans dent, cette langue bavasse
aimerais Fignorer tant elle est casse-pieds. OT EE Te EE É ERNTT ART N e ÉAIEQTNEUTES ENAUETS Penser à faire le plein ! Du frigo, oui, aussi!
CS TA NE EU AN TS Elle serait douleur si je n'étais … Mais quoi ?
CA EN EAU UT SEA
Mais le soir revenu, savez-vous que ma voix ?
OA NANTAIS 20
NO AO OT ES EN
OT AA UE ES UT Un place de choix , peut être dans le chien ?
RSA ENT EUNATNT L'animal m'en voudra et puis il est trop vieux...
Avec ce que j'entends, malgré ma voix diurne
ll serait imprudent de transférer ce voeu...
Ce Jiminy Cricket, posé sur ma conscience
TA EE OA TT CE TA
À refaire le monde, le monde du silence, A Et à me souvenir du pire et du meilleur (232
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C'est un petit jardin sans grande prétention,
C'est un petit jardin sans rime ni raison.
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. Des arbres dissipés comme une cour d'école
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
Dès que le vent soulève les fragiles ramures, Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| CA ANT EEE CCE C0 RE TA ET A C7 7 Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. Et puis la véranda, caverne aux souvenirs CTP ART NICE ACER UICUCIR CAE TIC ON CRETE ETC CEE AT OT EENCCIEES CLBF
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ro ages À 'endokt. Deux phrases detravers la douce grand-mère
Tutos écris
Tes rés deals. DECO e re iE te
CERTES TC CAE CRETE
DCR cure tie tn engoncée dans ce nid Afin de tricoter telle une vieille fille. Entre deux point de riz, torsades CPE
Ma tête se souvient avoir eu de l'esprit;
En recherche de mots un peu pour m'amuser Je ne trouvais que maux détricotant la vie. Mon cerveau bourdonnait justifiant l'anarchie
DÉCRET ST TC ou (C UE LS
Car après de longs moiïs, des carnets je remplis (ETES ESC TRE CTI TES CTS ERCTCT IS ULTRA ee fo ee EEE EE (
M'offrit des mots nouveaux sublimant mon espace
OT elec Eee tt Au jardin enchanteur je gagnais une place. DE DAT ETUIS CUCENAOIC EE NET
Sa AE TC ICS EEE CE Cr Tee ETS
Pt ee ci) RIT Ts DORE EEE EN RCE ES CERTES NEUTRE Es
TETE IEC Eur (1e
DT OU RC) Re AT) S ESC Cherchant dans mon silence accorte inspiration CLBF
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OUVREZ LA BOUCHE S.V.P Je m’allonge et devant lui,
Ouvre la bouche, aucun problème !
Il me renverse, je lui souris Alors je deviens blême. Dès lors je suis à sa merci Son instrument est un supplice, J’aimerai bien sortir d'ici Avec un tube de dentifrice ! Je le vois ramener sa fraise,
Moi qui suis là sans dire un mot,
Derrière son masque ses yeux de braise M'ouvrent des horizons nouveaux... De lui qui garde mon empreinte
Vous aï-je dis qu’il est artiste,
Je le bénis de quelques plaintes, Mais rend grâce à mon cher dentiste...
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J' n'ai rien d'mandé… Avez-vous lu une missive
Ou une page manuscrite, Le parchemin de quelqu'archive 2, Ke A la teneur bien explicite? Pormenntet Enfin une liste de choses 5 . |
J'avais au pied de mon sapin Pour le vingt cinql Magique nuiït,
PEN . Bottes, pantoufles et escarpins, Pour les grands et pour les petits. ___— à.
J'avais laissé la f'nêtre ouverte, J'nai rien d'mandé, je n'ai rien eu
pourtant j'éspérais un peu plus! Ponmenntet Et voilà une année nouvelle Mais cette nuit-là fut déserte.
Parfois on espère quand même
Que le père Noël nous aime,
Mais trop occupé je suppose.
Mais à qui dois-je m'adresser? gixas J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu,
Quelles divinités cruelles Pourtant j'éspérais un peu plus! Pourraient saccager mon année?
Je demande un peu de bonheur,
Aux épinards mettre du beurre Santé pourrait être la clause... Enfin tout ça c'est peu de chosel
J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu
Cette année je veux un peu plus!
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RC RC i À l 
pp”.
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à J'ARRIVE PAS
À ZAPPER ! Ca y est, je disparais, finie la première page ?
Tous ces petits nouveaux nous poussent au tombeau... - Allez mémé laisse-nous ! Faudrait que tu dégages,
T'as un pied dans le trou, place un peu aux nouveaux.
Tes souvenirs anciens tes amours d'avant- guerre,
Nous on n'a pas connu, parait qu' c'était l'enfer ? Ce que tu dis c'est bien ! mais tu nous pompes l'air,
Mamy un p'tit conseil, va respirer plus loin. Pousse la chansonnette seule dans ta baignoire,
Viens pas nous encombrer de tes écrits mielleux,
Nous, ce que l'on veut c'est pouvoir être heureux
Comment doit-on s'y prendre, toujours ça foire.
Aimiez-vous vos parents, Ben nous on les déteste!
Nous voulons du pognon mais pas trop travailler,
Vous les vieux vous faisiez plus de 45 heures Vous parlez du bon temps, y a de quoi avoir peur.
Pépé, tu as bossé pour une vie meilleure, Pour faire de mes loisirs un moment de bonheur, Du temps libre j'en ai alors je viens te lire, Pour voir comment c'était, quand y ‘avait du boulot.
Je me lève à midi, lentement je m'étire, J'allume mon PC... je barbouille quelques mots,
Je ne suis pas méchant, juste un peu en colère
laissez moi donc du temps, c'est dur de ne rien faire...
Mais quand mes yeux se posent sur votre poésie,
Put... ! j'avoue franchement, là je vous envie... Pampille 20/06/2010
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LOT PACE ET TE es CL OU Re nd
Me jeter dignement, me quitter sans éclat. DL ARE TIC EEE TE TT 0
Vous étiez merveilleuse, une femme sublime! Vous êtes mon ami À ce que j'ai pu voir, Un être d'exception, un homme de savoir,
N'ajoutez pas alors À mes doutes et tourments,
Vous me faites souffrir, ce soir, en vous taisant. DOTE OO Eee LOL re reter el Ne suis pas compliquée encore moins difficile Je serai attentive, un peu moins versatile,
Vous pourriez donc dire: Madame ! Bon vent” Ou bien différemment: Je n'ai plus comme avant l'enthousiasme heureux,
VAT act el alert Mon horizon si bleu vient de passer au gris,
Veuillez donc m'excuser, je vais changer de lit ! D'UN DOUTE Voyez-vous à mon âge le coeur devient fragile,
11 s'installait heureux dans une douce idylle,
Et là, soudainement le voilà aux abois,
11 se met À trembler... quelques fois.
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Je parlerai de toit Aux quatre murs de la maison,
Bien sûr personne ne répond,
Excepté le piano en bois... Ce que l'absent est encombrant
De jour, de nuït, sur mon épaule
Cette impression d'être à l'école,
Tu m'observes à chaque moment. La maison respire paisible, Le jardin éclot ses arômes,
J'ai même changé les fusibles,
Plus besoin de faire l'aumêône. impêtes
coups de gueule, Ils ne t'auront point épargné
J'ai si souvent prié le ciel. Tu m'avais tant et tant cogné,
Que je leur dois fière chandelle. Ta mort n'aura surpris personne
Fatalité ou injustice, Tu as reçu ce que tu donnes, Je ne vois ici que justice. Je parle souvent de toi A tous les murs de la maison,
Je hurle au-delà du toit Ici, n'existe plus ton nom! CLBF
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\ »Quand ils dessinent, les enfants commencent par le soleil et les éléments naturels les plus frappants pour eux. J\’essaie aussi de choisir des éléments simples un œil, un nuage, des planètes. (…) On va tous puiser dans le patrimoine culturel commun comme dans la nature. L\’art part de la nature et retourne à la nature.\ » Jean-Michel Folon est un artiste belge, né le 1er mars 1934 à Uccle et mort le 20 octobre 2005 (à 71 ans) à Monaco des suites d\’une leucémie. Il a travaillé sur de nombreux matériaux et créé sous diverses formes : aquarelle, gravure, sculpture, tapisserie, peinture, timbres-poste, décors de théâtre. Pendant près de 10 ans, de 1975 à 1984, à l\’ouverture et à la fermeture de la chaîne Antenne 2 (aujourd\’hui France 2) sur une douce musique de Michel Colombier, un soleil en forme de 2 se levait le matin et se couchait le soir. Alors, de drôles de bonhommes venus on ne sait d\’où, en pardessus avec un chapeau, planaient les bras ouverts sur l\’écran, dans un ciel délavé couleurs d\’arc-en-ciel. peinture, belgique, illustration,
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TRICOT OÙ Autrefois, je tricotais de vrais pulls irlandais,
Torsades enchevêtrées, je comptais, recomptais.
Ma tête s'ennuyait à regarder mes mains, Mon esprit s'évadait parcourant des chemins.
J'étais l'aventurière du fauteuil aux tricots.
J'inventais des histoires, des contes, des ragots.
Dans ce genre d'affaire à être dans les nuages
Quand la tête s'absente, adieu la bel ouvrage.
Pénélope le soir, je défaisais souvent
Les points entrelacés oubliés pour un temps.
TJ était impossible de conjuguer les deux,
Compter et puis rêver, cela devait cesser.
Et! je pris un PC.
Je repris mon fauteuil et attendis les rimes.
Maïs à trop réfléchir, à ce que l'on veut dire
L'enthousiasme s'éteint, et l'on écrit le pire.
Alors, je vais reprendre les aiguilles du temps,
Celui qui m'enchantait quand je pensais vraiment. Pampille
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Tu m'ouvris comme un livre neuf
COTE TE LUE OCTO CS TES
ML) ee re EELITAUETT (IE ETC TER OR ES TE OR TU CAT Le ON TO
Ecorné l'angle de ma vie
Je t'aimais bien en marque page J'aimais bien le stylo aussi. POUCES)
Je te buVais Comme un buvard
Je te savais un peu bavard J'espérais Vivre une saga Hélas livre de poche je devins DOCS) NET T EE CT EUT] Tu m'oublias dans un rayon Moi qui rêvais de reliure
De cuir de peau et de dorure
Je partis en déconfiture Je devins livre sans facture. NV MpénE ME
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Cupon SDamour Ca mis mon beau jupon d'amour it mes deux rubans de satin,
& ‘Rour que de vos si douces mains
M ous caressies mes points de jour.
1 CcYautil dégrafér mon corsage,
Gt ces lacets mais quelle idée,
Gens mode qui nous veut saÿe CMon cher amant et si josais…. ALP
@u donc est passée lx chandelle, 4 pièce est sombre éclaires vite,
CSaperçoïs encor vos bretelles
Gt vos yeux quitter leur orbite.
Ce tiens enfin le lumignon,
Comment défaire vos boutons;
€ horrible chandelle vaville,
ous dites? je suis malhabile.
ous voilà nu d dans ma main
4 flamme est au garde avous.
ous me voules à vos genoux ?
QG je vous offfe ma jeunesse,
Ge nest pas pour étre à confésse.
Cÿignorc tout de cet usage
OGcrais-ce un enfantillage...
aspire à la félicité
2e mot ici pou galraudé
CHMoblige a souffler x lumière.
SDans les ténèbres je l'espère
CÿŸe saurai bien vous satisfaire… FL
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iJ'aime Voyager le lundi! Mise sur mon trente et Un, Je prends Chapeau et parapluie,
M Comme ferait tout un Chacun. Partir pour forger sa jeunesse!
Hélas pour moi il est trop tard, En vérité plus rien ne presse
h :
| Je regarde passer les trains Jamais je ne quitte la gare. Et quand la voix du haut-parleur Annonce d'un ton Chagrin Quai un! voie deux ! J'ai mal au Cœur !
> Cacophonie et tintamarre Le parapluie à mon côté © Ah qu’il fait bon Voyager Je vois souvent des gens bizarres | Sans avoir les inconvénients Courir partout, se bousculer.
D’une valise à traîner ; Avec l’âge on prend du bon temps… CLBF » class= »wp-image-2643″ width= »1110″ height= »720″/></figure></div>
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PA Eur es
PR ER
En automne soupire.
Ma vie n'a plus de toit,
L'ombre que je respire
NT AT RTE et
A ET
HÉROS ETES
ne Mu ET LS
Mille larmes de peur
CREME TT Tele
Mes écharpes de cour,
PRET ee
Par UT
EME des
J'ai froid; l'ennui se lève (er 72
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semer De Car notre solitude est ramenée parfois, À ce que dans son coin, on ne parle qu'a soi. Tiens! je vais faire des crêpes. Ah non! se répond-elle,
J'ai bien trop pris de poids. Et comme méchante reine, là devant son miroir, Dis-moi qui est la plus belle? le prince est aux abois. Quand l'heure du coucher vient sonner à sa porte, Pas un morceau de peau, couverte jusqu'au nez, Chaussettes aux genoux, elle va s'allonger. -Je baisse la lumière dit-elle aux quatres murs! Je pense que j'vais éteindre, l'habitude c'est sürl Se parler à soi-même pour ne pas s'oublier… Dehors c'est encore pire, quand au passage clouté Elle dit à son pif: tu aurais pu passer Mais non, que je suis sotte, je ne suis pas préssée. Préssée, mais pour quoi faire, parler au poisson rouge, Regarder le Némo tourner comme une courge. Quand elle fait son repas et mange en tête à tête, Regardant en effet dans son bocal la bête, ‘En parfaite harmonie et dans un grand silence, Excepté quand elle crie! Elle sont bonnes les blettes”. Et là elle réagit, allume la télé, comme tout bon français Elle nourrit l'intellect de chiffres et de lettres. Alors là c'est Bizance, dans son studio quintète Le salon est emplit de tendres épithètes. Oh! Mais il est idiot, ce candidat est nul. Tu as entendu Némol! Que veux-tu qu'il entende Ma fille tu délires, c'est pas une otarie, il n'va pas applaudir. Alors dans ces silences, quand le coeur est trop lourd, Je laisse aller mon coeur... je le berce d'amour. CLBF
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PAS SI SIMPLE. Si j'ajoute à mon féminin Ton masculin, Nous deviendrons pluriels! LCI TE AE UT TE CUT TT ET CETTE EU UE
CNP TA LE 2 TA CRT TUE CR CAC TTL ACT CU Ne feras pas si bon ménage,
LETTRE TRES
Ce ET EE TE
LATEST TTC EEE
Dans le bon sens et le mauvais
Un conditionnel imparfait D'un passé pas si antérieur Annonçant un futur pas simple.
Comptant sur les doigts de sa main,
Deux mains, demain, de toi à moi
CR OAELOEA ES T7 Et nous voilà dans la douzaine A couper les cheveux en quatrel
Le masculin de mon pluriel
SAUTER OMR
ROUES CORTE OCR CET A
CAO TT UEOUTE Femme tronc ou demi-mondaine,
CTP AU UT Tout devient si impératif!
QUOTE LUCE TUE IS Que si nous ne faisons plus qu'un, AT AU
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MON CANARD...
de -6 à -9 Je te laisse ami,
En guise d'héritage :
Mon rire et ma folie, Les rides de mon âge Je t'offre, avec le sourire
Ma corde Pour te perdre 5
Trois poèmes à relire, Et un foyer de cendres. Garde bien mes baisers d'amour
Comme une chaîne sans collier,
Et mes histoires de velours Gue tu sirrais à quereller. Je te corfie quelques Voeux sombres Les clés du coffre que jai vidé Le chien qui pue et puis mor cmbre Et dans la bonne humeur….je m'en vais! C.LRE 7/04/2011
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J'aimenaio Bien écnine quelques chose de dnéle |
Ect-ce ce tempo de jhuie, de neige ou de enachin,
J'en mass qué ft ge es pau oume machin,
Efira ne pénal qu me non flle Etre plié en deux, leo cêteo en délires, Se manner , rigoler, comme on dit s'éclater.
Mio voilà j'ai le Blues, ça n'aide pas à nine,
Alono vous jencez bien, à gonge déployée. Je ne ouio quo la seule à avoir la nauvée, Le coeur en bandoulière plutst mal accroché,
Panait qu'en écrit pas lonoqu'on eot trop heureux, EL oi L'on à deo roue deo trous lalla ilou,
C'eot pâle j'en convienc, enfin que voulez vous Que na muse o'en fout. EDLe e cache où ? EU eot où la dnélesoe, elle me pompe l'ai, Je te dio que je L'aime, le nedio dans meo vero Mio je me venge en ‘come ; Vous dine oi je couple. CLBF
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DES MOTS ENERVANTS.. SONGEANT À Vous MONSIEUR ET À VOTRE HORIZON
NE SOYEZ PAS SURPRIS PAR MON VOCABULAIRE,
CAR LOIN DE MON PAYS, SI LOIN DE MA MAISON
Vous N'ÊTES PLUS QU'ABSENT, JE DOIS M'EN SATISFAIRE.
J'ACCOUTUME MON COEUR À VIVRE EN SOLO.
DES LORS PRIVÉ DE VOUS, IGNORANT SES VOYAGES,
POUR QU'IL N'EST PLUS DE RÊVE À PORTER SUR SON DOS, JE LE LAISSE TREMBLER ET MOURIR DE “ L'OUTRAGE..
S'ÉVADE ALORS LE TEMPS TEL PRISONNIER FUYANT | D'UN COEUR EN LIBERTÉ, QUE POURRAIS=-JE DONC FAIRE P
BIEN SÛR J'AL TOUS CES MOTS MAIS QU'ILS SONT ÉNERVANTS LE DILEMME EST PRÉSENT: ÉCRIRE OÙ BIEN SE TAIRE .
MAIS EUX, QUE DIRONT-ILS | CEUX=LÀ MÊME QUI LISENT. VONT-ILS ME CRUCIFIER SUR L'HÔTEL DE L'ENNUI P
CAR DE M'AVOIR QUITTÉE, SANS MÊME UNE VALISE JE FUS ANESTHÉSIÉE. MAIS VOYEZ, JE REVIS |
UNE RINCÉE D'HUMOUR, J'EN USE ASSURÉMENT. N'EST=IL PAS LE PENDANT DE L'AMOUR ORPHELIN ?
JE PEUX RIRE DE TOUT QUAND J'ÉCRIS AIGREMENT, ÉT MÊME VOUS AIMER LORS DE PROCHAINS QUATRAINS. Voici QUE TOUT FINIT, VOILÀ QUE TOUT EST MORT.
VOTRE COEUR S'EST EMPLI, LE MIEN PEINÉ S'ALLÈGE.
S'IL Y EUT UN MALAISE, IL N'Y EUT POINT DE TORT, MONSIEUR, JE VOUS SALUE, CE FUT UN PRIVILÈGE... CET
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IL FAUT BIEN FAIRE AVEC... .— Allez viens.
Toi et moi on à beSoin d'un endroit calme
LISE ou on peut Se poser: discuter,
et Se mettre d'accord. Une image en mon coeur peut pâlir, s'effacer,
Mais ne peut disparaître, elle devient pensée.
Elle ira son chemin puis sans autre manière, Se fera oublier derrière les paupières. C'est un monde où chacun, de tristesse ou de joie
Peut retrouver l'écho d'un silence, une voix.
L'espace d'un instant ne plus avoir de peine,
Retrouver dans le temps son bout de madeleine... Je laisse le présent non qu'il ne soit ami, Il faut bien faire avec, de jour comme de nuit: Il ne me rend pas triste, il vit en solitaire Avec moi trop souvent, nous deux faisons la paire... J'ose rire de lui, il voudrait tant de place
Dans mon coeur, dans mon lit, inutile ! De grâce A l'instant où j'écris je le sens imparfait, Un tout petit détail ferait qu'il me plairait
Pouvoir me dessiner une vie sans histoire,
Romantiques souhaits échappés d'un grimoire.
D'un abstrait avenir revêtir mon présent Sans les heures comptées du tic-tac des absents. CLBF
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Je dois Le confesser, j'ai un pêché mignon,
ES PEER OT ETES TE TEA
Se mêle une chanson à mon cœur vagabond Trop souvent l'occasion d'écrire me séduit. EC NET TE EE TT LA
Mon cœur s'attarde heureux au bord de ces sourires
Les vieux engrangent tout, leur mémoire épargne
Pour un jour partager, qui sait, faire plaisir? Le coeur, ce coffre-fort ou nichent les histoires
CET ON EE D EE D ET e 2
Afin qu'en un instant s'ouvre notre grimoire, Sur l'écho d'un amour ou nature beauté. Précautioneusement j'allège mon panier,
ETES TENTE ETS TT Que la montagne est belle, Aragon l'écrivait,
CCE OA PET TPE QE AC 0 Cv
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Gt un point à lenvers ct un... EL EE RC EL 2 EE 177
Caimais, maille après maille, enrouler sa douceur.
Tout en tissant le fil d'une Ariane en déveine Aux rangs détricotés de énélope en pleurs. @uc faire dun printemps quand les ans nous rattraper,
@uand des cieux bien trop bleus éclairent notre cœur,
@uc lon marche sans voir que lavenir nous frappe VE A I AU) LL ALL 70 (CPR ENT CRT 776
TE ET RE ELA 1212
Maïs l'on marche debout alors que vent d'hiver CORTE TE ECTS Ce tresse ma pcloté, ébouriffée d'ennuis,
CALUA TL LE TT 177
EE CT ET 7 7 12772 e cliquetis du temps que faiblesse désarme. GE1 un point à lenvers et un point à lendroït,
7 me faut avancer, revétir les douleurs,
(CTI ET EE 077 9/74 CNE vienne en LCR LE LT 0 0777
CLBEF
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Bien alignées par deux, posées dans le placard Souvent abandonnées, ne servant qu'au hasard.
Pour des soirées guindées, des rendez-vous manqués
Abimées par le temps, témoin de mes printemps.
Il y a la Richelieu, bénite par les dieux,
Elégante et racée, chaussures du passée. Plus bas c'est le nu-pieds, il ne sert que l'été,
Vos ongles écarlates et votre peau bronzée,
Lui font la vie facile, toujours prêt à draguer.
Ceux là sont des trotteurs, ils courent toute la journée.
Des magasins bondés, des soldes acharnées
Des allées et venues, des trottoirs et des rues,
Une vie de labeur, aux pieds durant des heures.
Au coin là tout au fond, voyez donc le malin,
Jaloux il fait la gueule je parle du mocassin.
lci ne vous déplaise c'est un petit bijou
Un escarpin verni, celui des rendez-vous,
Des soirées tête à tête, des amours pacotilles
Pointus et talons hauts, brides sur la cheville.
Non ne souriez pas celles là, vont et viennent
Déformées par le temps, écrasées mais sereines.
Mais Vous n'y pensez, pas jeter cette écossaise
Ell! fait partie de moi ma vieille charentaise.
Quand il me prend l'envie de changer de costume,
De faire un peu la Star, alors je les éxhume.
J'enfile de temps en temps une paire nostalgique,
J'improvise une valse d'un bal hypothétique.
Et pour aller marcher sans riques inutiles
Je remettrai encore mes tennis pathétiques CLBF
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DEC PSE CPEPRTA
LOT 0772
CR RE ET
N'oublions pas le rhum, en boire une gorgée,
DCR ET TN 72
BNC TO AT TR UT LT IT TT TT 7/1 22 Que vais-je donc en faire? - Monter la béchamelle .
EUR ER TT
Cast pas grave! fant pis. Je bois ! la vie est belle.
TER RE 772
Bons sang! ll va falloir frouver une rime en ‘ouile”
Ne vous en méêlez pas ! Je ferai avec nouilles
CRT A LT 7 077 2e DR TN ETS
ENT CPR TT TE TA Quelques octrsqllahes, ce serait exotique. ALT TS 07722
DETTE COUT TR T7
Un petit coup de rhum derrière Le gosier,
CC NET ST
627222072007 00000
DER A LR 02
J'avais pourtant posé mon plat sur la paillasse,
12/9000 0 0077
Cest quoi ce fruc tout mou que j'ai sur Les godasses?
DEC 7 774
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CAT A CT A7
J'en aurais mis du temps, je suis sur les genoux.
LE NAT TETE 7A
Douze heures dans le train, vous parlez d'une fête !
TAROT A LIT ITA
PT TT 7 TE
BEEN TNT 77)
COTE LT NT
DT CT AE TEA
DAT I 7777
CIC ET IE ET 0772
CT ET ET TE 702
CAT TN A I
RIT A TR ET 07
TT NET ET 0072
C'est au son de ma voix qu'ils ont su où j'étais.
J'ai bien cru qu'ils allaient me faire remonter.
Moi je ne bougeais pas le sourire figé,
PTT PLAT 77 7 A
UTC PTE 7072
EVER TT OT TT 2
DT ET TC 7 2
ITA IT ET D
CAT TT EE T7
Celle qu'il connaissait du temps de leurs noubas.
Ce truc tout décoiffé qui avangçalt vers eux
CAT 777 7770
CARE TT EN
CAT OT EP TC 7721
Douze heures dans le train, c'est pas demain la veille
Que vous allez revoir votre petite vieille. (e152
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estquit Q C'estquois 2 À Montez le son! so+ à 2
ê L'OUÏE DORT.. Je parle à mon “oreille”, elle seule m'écoute.
M'entend-elle vraiment ? j'avoue avoir un doute,
Dans le fond, elle à su garder tous mes secrets, Si vous saviez dedans le bordel que ça fait. “Eustache” lui, me trompe avec je ne sais qui,
Dans son vieux “pavillon”, un “trou” à ce qu'on dit,
Il parle à son cheval, complice destrier Sautant sur l'animal, enfourchant “l'étrier.. Quant à “l’ouïe’! pas brillante, elle hurle: J'ai les ’boules”
Qui est-ce” me dit-elle! J'entends comme une goule,
Et dans mon ‘“limaçon”, qui vient me chatouiller ? Entre mes deux “escourques”, qui joue aux “’osselets”? C'est une vraie folie, de bruits et de ragots,
Le “marteau” et ‘l’enclume” ont branché la “sono”
De plus vous ai-je dis que j'en avais bien deux! “Cérumen” et “tympan”, des jumelles à mes yeux.
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Ma terre devient nue quand vous quittez la France,
De la ville à l'horloge tout marque votre absence,
Tout respire l'ennui mêlé d'indifférence, Et le ciel met la pluie sur ma désespérance Mais.
Non che n'ai pas t'changé, Je suis touchours restée la même I
Les arbres se sont tus, figés dans leur douleur Les feux se sont éteints, plus aucune couleur, Le vent hurle soudain! et ce vol, à quelle heure? Je vous suis du regard- Savez-vous que je pleure? Mais.
Non che n'ai pas t'changé, Je suis touchours restée la même... IX Allez-vous un beau jour oublier vos valises? A fredonner sans modération Pampille Cesser tous ces départs pour des terres incomprises
Je vous perds dans le temps, mettez une balise! Mais demeurer ici ! enfin je schématise! Mais Non che n'ai pas t'changé
Je suis touchours restée la même IV
A vous suivre partout, j'ai souvent le tournis ous avez la bougeotte? Vos pieds ont des fourmis?
J'essaie de vous atteindre, vous sais hors de portée!
Ÿ Je vous crois dans la plaine et vous vois au sommet!
Mais
Non che n'ai pa t'changé,
Che suis touchours restée la même
A vos chenoux le cœur brisé,
Je fous supplie car che vous aime. Non, non, non... Non! Je n'ai pas t'changé.
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OH MY COD I RARQUD for IR ma)
LA TONDEUSE Toi??? A: 2 J'Récite, le oujet ect vilant d émotions ES L'affaine eat entendue l'appareil ect ludique
Pratique diteo-vous, l'avey-vous donc tester ? elles Ge Le machin tourme-t-l à vitecoe réglée ? RL —
Val de gauche à droite ou bien à fontioni
e pourrait-il, O joic.mue d'avant en anière Deuna-t-on l'agiten _ & ne ui pe tnèc fière... _
La taille, évidemment | ect-elle indispensable ? Lt parlant de rondelle faudra-t-l'un écrou ?
Diteo-moi, ln gnooseur 1Je me sens misérable
Je veux être informée et aller jusqu'au boutl =. Je vaio donc m'escayen à cette avme nouvelle Mio lo vôtres Monsieur, là je vous interpelle, Je vous laisse la main | Répondez-moi où non |
CLBF
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LT CR en CT RES Je souhaitais, avec lui, cueillir des champignons.
Et non sans réticence, le coin étant secret,
Il voulut me bander les yeux pour ignorer Le chemin et l'endroit, sa seule condition. L'herbe est encore humide en ce petit matin.
Sur un tapis de feuilles, je pose mon panier,
Puis j'ôte mon bandeau, renifle la forêt, OUT OS UE TT NS TU Devant moi de beaux pieds, sous des têtes bien pleines,
CETTE TEE TT EE LOTS TEE
Bien tendus sur leur queue, que je taille ma foi, Je hume leur parfum d'herbe et de marjolaine.. Je n'avais jamais vu spécimens aussi rares
ET OC ETS
Qu'un baiser je posais sur la joue de l'ami Rougissant de plaisir, sa flamme me déclare. CCC TU IT UT OT LUTTER L'appel de la forêt nous rendit un peu sourds. Nous tremblions de froid, ses gestes étaient gourds L'OROECTICER ER COSETECE CIE CEE CUT Dans les bois de «Germain» sous un chêne complice
Mon cueilleur me cueillit aux portes de l'automne?
Au regard de l'aurore sauvage polissonne Je remplis mon panier sous les meilleurs auspices. CLBF
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ET ETS ER CEE
Je remets aujourd'hui ma tenue de fonction,
CORTE LEONE EIRE EE ENT)
CIEL TE ET RICE CE ACETONCEER
Durant de nombreux mois, j'ai couru chez Casto
ET AR) A CALE A ETES EEE
J'en connais un rayon du bois jusqu'aux rideaux
CAO AO CANNES TE
C'est moi que je fais tout dans toute la maison 
Je deviens menuiser, plombier ou bien maçon
D'ailleurs j'ai un surnom:- Bricolo-Bricolette
Car souvent, voyez-vous je change de casquette …
J'ai les mains dans la colle et la fibre de verre. Je grimpe les barreaux, les descends, j'ai des ailes... RAT CNET ECTS CHE CS TT Ce NTIC Si j'aime bricoler, je ne suis pas experte.
Quelques bases solides qu'un père m'inculquêt
S'il y a des travaux, je suis loin d'être inerte Vous avez la primeur de mon méa culpa... J'ai laissé les amours au fond de l'encrier,
RU CU A AT UE CT]
CCE ER CUT EEE CT à Re et CET TEE Re CNT UE CLBF
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LT CR en CT RES Je souhaitais, avec lui, cueillir des champignons.
Et non sans réticence, le coin étant secret,
Il voulut me bander les yeux pour ignorer Le chemin et l'endroit, sa seule condition. L'herbe est encore humide en ce petit matin.
Sur un tapis de feuilles, je pose mon panier,
Puis j'ôte mon bandeau, renifle la forêt, OUT OS UE TT NS TU Devant moi de beaux pieds, sous des têtes bien pleines,
CETTE TEE TT EE LOTS TEE
Bien tendus sur leur queue, que je taille ma foi, Je hume leur parfum d'herbe et de marjolaine.. Je n'avais jamais vu spécimens aussi rares
ET OC ETS
Qu'un baiser je posais sur la joue de l'ami Rougissant de plaisir, sa flamme me déclare. CCC TU IT UT OT LUTTER L'appel de la forêt nous rendit un peu sourds. Nous tremblions de froid, ses gestes étaient gourds L'OROECTICER ER COSETECE CIE CEE CUT Dans les bois de «Germain» sous un chêne complice
Mon cueilleur me cueillit aux portes de l'automne?
Au regard de l'aurore sauvage polissonne Je remplis mon panier sous les meilleurs auspices. CLBF
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Je voudrais un amant
D'esprit un peu fou-fou;
Qui me prenne par le bras
Qui me prenne par le cou,
Qui ne soit pas trop dur
Maïs pas non plus trop mou!
Un langage facile, L'écriture docile Des lèvres amoureuses Qui me rendraïent heureuse!
Je devrais préciser -J'adore les baisers qui furètent partout Sur le front, le menton Fe Sur le nez, sur la joue Faudra-t-il suppler? Me mettre à vos genoux?
Mais je peux aussi Gien, descendre un peu plus bas!
- Voulez-vous remonter!!! Sans me prêter ici une intention lubrique Sachez futurs amants je ne suis pas de celle
Dont le genou se plie pour une bagatelle. J'ai quelques courbatures qui souvent se révèlent.
Sur Le galbe d'un sein C'est là que j'autorise! N'envisagez méprise! Ce poème décide de ce qui me plairait. Je voudrais un baiser, juste derrière l'oreille... CLBF
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JE SUIS LA REINE... Seule une jolie fille peut m'allumer.
On doit me manipuler avec douceur Ne jamais me mettre en contact avec
-La vaisselle -a lessive
-Le ménage -La cuisine...
On fonction repos, entreposez moi sur le canapé du salon, devant la télé.
J'ai besoin d'une alimentation de qualité
ne jamais me bousculer, me contrarier
ou me démonter sinon la garantie ne couvre plus ce de technologie ! Ne me parle jamais des choses qui me fâchent
BERTOETCR ET EEREESTN IE IONUEETTUER
SERRE NIET AUTRE ET eo 0
Quand tu me Contraries, j'oublierais père et mère. Evite de me dire que ma mère est parfaite,
ONCE EAU NACRE CN
CUT ET UNE TS ETC RTE 2
aa UE ET ILES EEE ON Me dire que j'ai grossi que mes rides sont fraîches,
Veux-tu te retrouver daps le salon ce soir?
MERCURE CICR 12 Tu “pèles” toujours le fruit dès qu'on est dans le noir! Je sais, je parle haut j'ai une voix qui porte, Et en parlant de porte tu risques de la prendre,
Me dire que j'ai là fesse triste comme un Cloporte,
Tu vas gagner la Corde celle qui Va te pendre. Laisse mes illusions aux sommets de mes rêves,
Il y a si longtemps que le désir s'éteint,
OSEO CE EEE AT Je suis reine des C. ai trouvé mon desti
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PROMIS Sournoise et sans complexe Ell! se glisse, s'incruste,
Un accent circonflexe Une erreur du stylo Qui se sait un peu rustre,
EI s'est assise là; sur le mot
Une lettre coincée Au fond de l'encrier,
Voyelle oubliée Qui reste suspendue Tout au bout de la plume
Hésitante et menue, Qui d'attente s’enrhume
Le mot lui, se croit juste
Il pavane, s'installe Alors qu'une voyelle
Vient de se faire la malle
Un singulier pluriel Une terminaison!
La FAUTE elle, elle est 1à Parfois même, absente?
Il y a toujours UNTEL
Qui vous mettra en croix,
Qui vous montre du doigt Ce que l’on ne voit pas. Mettez donc un seul
Aux ailes d'hirondelle Et le mot se rebelle J'ai vu un vieux cahier De pleins et de déliés Pris entre deux traits bleus, De très courts paragraphes
Ecriture violette D'une enfance musette,
Un cahier d'orthographe!
Il n'y a pas de nom,
Seulement un prénom
Sur un vieux bonnet d'âne Christiane C.LBF
4/02/2011
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L' k DS LES G xD SEX SES À
# Je voudrais des amis, comme j'ai des tiroirs,
Pour y méftre dedans mes soucis mes déboires.
Les amis je Le crois, sont des ranges-histoires
Moi je n'en a pas. mais j'ai de beaux tiroirs ! L y à Le petit Vétroit Le délicat, il aime la lingerie
Qui glisse sous Les doigts, dentelles et rubans LL n'est pas très bavard, pas d'ami pas d'amant,
Cest Le firoir d'antan, celui des rêveries. Le second, pas l'ami, le firoir vous suivez ?
(l'est un peu bourru, sans aucun arfifice Le gentleman farmer, discret ef sans malice.
Souvent frès renformé.. Le firoir aux secrets. Le dernier perd Le fond, il éfouffe, il grinee. SC trouve pêle-mêle, amis, amants, amours, Les cadeaux, les je Faime, Les rubans, Les frujours
Les photos oubli£es, les ciseaux et les pinces. Et pourfant si un soir j'avais un bon copain,
Un amé tellement cher que j'ouvre Le premier,
Ma petite commons n'aurait plus de chagrin
Avec des jours heureux elle jetterait ses clés CLBF
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Si vous pouviez me voir je ne tiens plus en place, Demain est un grand jour la chose est vrai hélas.
Je ne vous parle pas de mon anniversaire, Car si mes yeux pétilent c'est pour tout autre affaire. J'ai pris un rendez-vous chez mon gynécologue.
Le cher homme à un don, il est spéléologue.
L'évênement en sois n'a rien de très banal. Non! Je vais vous rassurer! Pas de toucher rectal ! Je dois pour cette affaire préparer mon mental
Ce sera un grand jour, 1 faut que jme confesse
T'mettrai en évidence ma vieille paire de fesses.
Sil'examen dla cave me préoccupe autant
C'est que, l'évènement n'a rien de très banal
Aller chez son toubib examiner ma pomme
N'est pas une sinécure. j'ai droit au spéculum.
Psychologiquement 1 faut je vous le dis,
Que j'aille consulter pour une thérapie.
J'ajoute à cet exploit le pire des supplices
Va falloir m'épier des pieds jusques aux cuisses.
Je suis tout retournée, subir tant de douleurs,
Mais ile faudra bien, je vais chez le docteur !
Messieurs vous qui n'avez pas cette chance unique
D'être examinés dans cet endroit ludique *
Plaignez ces pauvres femmes qui elles font la queue,
Dans des salles d'attentes, juste pour vos beaux yeux’
Etlèvent aussi haut leurs jambes à leur cou, Pour mettre à l'abri votre paire de bijoux.
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Querd'ijoue avec se queue Qu'il fient entre ses deux pattes Ce belencier à ses yeux Fit de lui ur acrobate.
à Fier, de ce bel appendice L'eninel je vous le dis, Le redresse sens ertifice Hreste des heures ainsi. TT Sous des ceresses de chette
Hronronne d'un doux ploisir,
Sort ses griffes, les rétracte, De contentement s'étire. H démontre avec horreur
Que d'un coup de griffe il peut
Vous montrer sa belle ordeur A persister dns ce jeu. ee Gerdez-vous trop d'y toucher
Si poilu qu'il soit en sorime,
A ceresser un minef Veudreit mieux qu'c'soit ur horme. CLBF 7463/20n
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ENTRE LES DEUX OREILLES... Ma tête est un voyage Dans lequel je m'embarque Un balcon dans le monde Ouvert sur l'horizon J'ai dedans des nuages Sans rime ni raison, Des frontières s'envolent Sans motif apparent. Je traverse le champ de mes indifférences
Pour guider mes soleils Vers d'ultimes espoirs, Je cale ma mémoire aux confins d'une image,
Repose ma dégaine entre mes deux oreilles.
Et j'essaie vainement de trouver le sommeil. C.LBF
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Alors
chérie, heureuse? C'est la St valentin, moi qui suis sensible
Aux fleurs aux compliments, PUrrUi Eten diet
PAP ON RATES
PORN STE A Up BE ET A
PV D oder nn OI 0) ES
Serait un mot d'amour que j'aurais pas compris ?
J'attendaïs vainement un bouquet de pensées, Un geste de tendresse, une oeillade lancée. Une soirée d'enfer, comme chez ‘Tramontane”
Pamoison de doux mots, assortiments d'orgasmes.
J'ai donc du renoncer à fêter ce saint là, Les miens ne tenant plus à ce qu'on les fêta. BCD CIE NOR IDR TE NOTE EU OU CE
Les frenchs avaient perdu l'envie de me “sauter° MAP unnainrenertn inner e
Petites attentions purs moments de bonheur.
BUT CAN) ENT CCR CT LEE D UNSS PAC RER CHER ENT PS RCE 4 70 ONU (una
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France--Afrique du Sud CHERI...Ce soir je regarde la 1 . La terre etses merveilles. C'est ça ma douce ne rêve pas! Ce soir je veille. Coupe du monde oblige, aurais-tu l'intention de gâcher mes soirées.
PT TL La De dl de 0 A Mais mon minou. Ce n'est pas très malin, regarder courir ces messieurs en maillot
Tu ne vas pas gâcher ma soirée écolo ! Tes dieux, tes fous du stade, tes houffeurs de gazon Qui courent à perdre haleine pour toucher un ballon. Et puis ce pauvre gars tout seul dans ses filets, Qui ne sait toujours pas qu'on joue avec les pieds. au LI ut TNT uts Pensent que le bonheur est au bout du terrain... ..Non!! Alors! ils ont marqué?. La mi-temps, pas trop tôt ! Je reviens sur la 1!! La banquise a trop chaud, paraît qu'on manque d'eau ?
Un drame. L'apocalypse, sécheresse à outrance Les rivières sont à sec, tempête sur la France.
Moi c'est Arthus Bertrand je le trouve épatant, I parcourt la planète pour motiver les gens, Au moins lui il se bat pour que tes 22 gars Aient un bout d'herbe verte à mettre sous leurs pas. Mais mon doudou... PORTE CE ER AT CIETUS 22111l5 2 ONE CNE CPC CETTE Et là sur les gradins, cette foule en folie, Et ces bourdonnements que j'entends dans la nuit...
tue TER A Je te vois énervé, tu te fais du soucis? Le match n'était pas bien ? Qui rentre au pays???? Décidément je n'aurais rien compris PAnraut Juin 2010
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Je lézarde au soleil, Couchée dans l'herbe. Des cris d'enfants heureux, Le chant des oiseaux Que demander de mieux... J'ai retiré mon pull, je coince la “bulle”.
Mes petits doigts de pieds en bouquet de violettes
BON OS EDIT Je compte les pâquerettes, À deux pas l'océan. Il n'y a pas de vent. Quelle belle journée ! Combien je regrette de ne pouvoir ici
Profiter de la fête, La fête du printemps, avec vous mes amis.
L'odeur de la sardine me chatouille le nez,
DIR TT TEL O 1 11 Un verre de clairet dans l’une de vos mains,
ECS ETIETN EU N ÆEt chacun s'en “allant” de son petit refrain.
Ce n'était qu'une idée... Allez,
Laissez-vous donc tenter!! LCD
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Je pourrais ne rien dire, ou dire quelques mots, Je vais donc être claire, ne pas en dire trop, Maïs en dire quand même histoire de vous dire Qu'il vaudrait mieux se taire plutôt que de médire.
Allons ! Parlons un peu. Mais qu'avons-nous à dire ?
Je cherche un peu mes mots ! Vous suivez mon discours !
Ne parlez pas trop haut, dites juste ce qu'il faut.
Tout ce que nous dirons nous en ferons le tour.
Voilà ! Je vous écoute, maïs n'en rajoutez pas. Ce petit tête à tête d'ici ne sortira. Levez un peu le ton, mon ouie va à vau-l'eau. Ma bouche sera cousue. Je sais qu'il faut se taire.
Donc, je ne dirai rien, cela me semble clair. Même la dernière phrase dite à demi-mot ? Je lis dans vos pensées, serait-ce un défaut ? Je parle pour ne rien dire...vous me prenez en faut,
Car en ne disant rien, nous nous comprenons bien.
Ecouter vos silences sera ma récompense, Ce discours est unique, j'en ai saisi le sens. ALLO ! CLBF
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Flic floc crissent les pavés ça rigole, ça éclabousse, Les enfants mouillent leurs souliers
Ils éclatent de rire et se poussent Flic floc quel tintamarre, La grenouille est en fête Assise sur son nénuphar Elle attend que la pluie s'arrête. Flic floe pleure la vitre Glissent les gouttes sur son dos
Derrière, une cigarette à bout filtre
Ecarte le blanc rideau. Fil floc fait le moineau, Dans sa baignoire de plastique
Ebroue ses ailes d'étourneau La pluie un jour c'est fantastique... Mais trop, c'est trop!!
CLBF
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NT €) NME: <
sean VETS.. OUT sssssssssssssesss SCÉLCECELELCECELCECECELCELECELEECECELEN FES FEEEE FESSES FESEEEEESSEEEFESEEEEESSEEEESSEEEESSEEEESSEPEESSEEEESSEPEEEEEEEE,
ETEETETECEETETETET FESRSSESSESSESEESFESEESERRERRSSRSSESSESEESEEGEEREERERREERSIRSEESEESEESEEREEREERRERRRES Ha errersaresaneneaensaneneaneneaneneansae
Nous voilà de retour prêt à me faire un drame Pour cctte liberté dont j'ai été privé,
Gr m'enfermer là-baut telle une gente dame (tte idée mon ami n'était pas de mon fait. Coycz-vous mon très cher que L' infâme ferraille,
fait la garantie à ma fidélité.
J'ai su sans clé OUVriT, AVEC une tenaille C sacré vieux carcan que vous aviez boucle. J'ai couru guilledou, volant de l’un à l'autre,
Séduisant cavaliers ou nobles de (a cour.
Nous, absent tant d'années quelle vie que La nôtre, À dépérir d'amour j'en perdais mes atours.
L'on troussa mes fupons plus souvent que le vent; Affendant [e retour de mon Seigneur et QKaître.
SL fallait que j'occupe mon temps élégamment,
fe fus fort ien payt , j'avoue fe dois l’admettre!
Nous pouvez bien burler, faire votre baderne
Dans un français courtois fort de votre bon droit, Qaïs vous revenez vieux ct fe vous sais en berne Nous disiez mon ami ? 5h il vous reste un doigt ! Un doigt! Qaïs VOUS AVEZ la réplique tactile Gr ce gant me cachait votre unique bijou, (tte bague au mafeur serait donc vibractile ?
essire votre Gras, dirigez-mot IN ers où ? CLBF
EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE MaaaaadtanaaddaaanaaddaanaadatanaaddaaaaaddtanaaaddtanaaadtaaaaddtanaaaddtanaadddaaaaaddtanaaaddtanaaddtaaaaaddaanaaaddtaaaadddanaaaddtanaaaddaaaaaaddaaaaaadaaaaaaddaaaaaaddaaaaAIaIAAIANIIIAAINNIIAAINNINININNIANANINNINIANNNNNINNNNIANNANNNINNNNNNNANNANNNNNNANNNINIANNNNINNANNNIINAAINNIIAAAIIIAIIAIIIIASLIIIANL SEESSEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES EBEESSEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE)
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Mister endMas CLBF Je n'ai pas vu grand monde à mon enterrement !
DEVTCRICE AC c ts DE EE Le de A Un grand coup de cafard, un vrai délire.
J'attendais plus de vous, cris et lamentations,
LPO TR CEE UE EC asc Je pensais être aimée, déclencher des passions, Me voilà dans le trou, vous m'avez oublié ? La chute est écrasante, je suis abasourdie, Vos coms ! Trois seulement ont dit : - Elle faisait de beaux vers, disait des vérités,
Pampille nous à quitté elle va nous manquer.
Quelques petits défauts dans son style épuré...
Saucisses que vous êtes, faut pas exagérer! J'avais l’alexandrin comme ami de fortune DEP CCuRerte RcE CuEe CNEUETU
J'écrivais en rêvant au Pierrot de la lune,
Des vers si éclairés. toujours dans la lum
Certains de mes amis me reprochaient parfois De “faire” dans la chanson avec de doux flonflons
Un tempo sans bavure, comme une armée de vers...
Et à parler de vers, rev’nons à nos moutons. J'ai passé du bon temps même si virtuel.
RE En Moi qui aime les fleurs je vais être servi! NET EN TS Je ne veux ni couronne, encor moins de laurier. Je me nommais Pampille un pseudo de « Cartier »…
Chers amis d’oasis, entendrai-je un sanglot Au fond de votre gorge, tel le chant du ruisseau?
Non pas un gargouillis de vilaine froidure Un sincère chagrin; Dieu! Cela me rassure... LS Quelques pleurs soutenus, qu’une affection violone,
J'avais quelques amis...pas nombreux, pas des tonnes
ONCE CELL EC SC CU UE CCE US
Mais que pourtais-je dire que je n'ai déjà dis! Que mes vers me chatouillent allongée dans ce lit
Que des alexandrins envahissent ma vie Et qu'un petit Haïku aux vers japonisants
Démangeait mon cerveau et me prenait du temps.
PACE NTIC RCE CEA ER Lie CL at
RTS CRT ET PO COTE PTE TN COT TEE LE (ELLES
Alors levant le nez vers des cieux moins cléments
VOTE A CCSN Eee CN MUNIE Légers comme un pollen qui poussé par le vent Vous dirait à chacun, des mots, des vers luisants…
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Un crayon immobile, mine déconfite N'écrivait plus, se lamentait sans ses Voyages!
S'adressant aux Cinq doigts qui eux prenaient la fuite
Leur tint à peu près ce langage: -Chers, Vous m'abandonnez ! Me Voilà dans un pot
Come vulgaire tige à pomper de son eau.
Réveillez-Vous ! Le temps s’est mis au froid,
Quelle arthrose maligne Vous détourne de moi. Venez! je vous implore m'arraCher quelques cris,
Appuyez-Vous sur Moi, si je Casse tant pis!
Brisez ma pointe fine, mordillez ma gommette
Jetez-moi donc de rage, ici C'est la disette. Je vous supplie ma mie, ma mine se lamente
J'aimais bien quand soudain Vous titillez mon bois
Je vous sentais éprise en femme si aimante,
Je suivais les carreaux espérant Vos émois. Ne me trahissez pas ! Je m’aiguise d'échos
Je me nourris de Vers et m’use de Vos muses,
Souvent je fais le fier me moquant des stylos,
Venez me Chatouiller, SVP qu'on s’amuse ! C-LBF
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Ah! si Vous Connaissiez ma tristesse
Ma solitude en ces lieux
Vous poseriez touche d'ivresse
Celle qui manque à mes yeux. 0) b2 Si Vous deviniez mon Chagrin
Celui qui échappe au regard
Vous Viendriez dans mon jardin
Comme Ça par hasard! es 7 Si vous saviez Ce qui m'importe Croyez à ma fantaisie
Vous seriez là devant ma porte Assis!
es
2
Du lundi au samedi
Mon cœur sur Vous s'épanChe,
Je vous aime et je Vous le dis,
Même le dimanche. 7e0\ en
br CLBF 7
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- MA MUSE A MÂLE … Ma muse est masculin Comment Vous dire alors ?
Il est l'inspirateur qui me souffle l'accord.
Mais être muse homme;le terme ne Convient DORE SEE COTTON ETC) ,E Voyons! Quel no donner à l'homme de Vos pensées,
Celui qui dans Vos rêves Vous donne des baisers,
Couche sur Votre page au soir de grand Cafard Et Vous mène en bateau jusque parfois très tard. Mais les rimes sont là, elles Vous électrisent
La muse au masculin en aura la surprise,
1l faudrait à tout prix que nous trouvions un nom, Si vous pouviez m'aider... j'apprécierais. - Pardon! Un “Amour” ! Déjà pris, aVec Carquois sous l'aile,
Changeons donc une lettre inVersons les Voyelles,
Au féminin C'est vrai l'effet est bien meilleur Mais être muse mâle vous grandit …Mon seigneur! Hommes des caVernes aux attributs guerriers,
Non mesdames oubliez ce qui Vous fait rêver,
Je parle sentiments, Changeons les lettres enfin! MOTTE CIE CES EOTE ET (TNT STE Je garde donc ma muse, baroudeur de parquet
Dont les envols éclairent ChaCun de mes versets,
Peu importe alors, masCulin, féminin, L'important n'est-il pas! qu'elle soit là demain! C-LBF
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EE CE OT A TITES E) 10
Que vous me grignotiez juste du bout des lèvres.
Je vous mangeais des yeux, vous pour être pol ARTE TA ET ETS Ce EAU 2 Je brûlais chaque jour, de vous voir un peu plus, A LT TT EL TE AS LT ON ET OS AT AT RCE TITI PET TEA TT TON El
RTE A AT a D LATE
Vous, encor hésitant, tâtiez mes ronds tétons
Tâtonnant de concert, nous clamions des vers sots VORITOE CETIECAE DPTELOEEET NE
VE TE TO A OU TT TT) ET TE AA LL AT
POTERIE AA) D LOT IE D OT TA o LACS OI Ô vieillesse ennemie,
DATE NEC Ne a a 2)
AUTRE ELA ALT 2000 OS DS CAL CECI CLBF
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ENCORE
Des mots de tous les jours
CE RRO ET Toute Ut
Dorment depuis toujours.
Îls attendent une oreille
Qui leur ferait écho!
(CRC TROUS
(CET RAT OT TES
Ces « lapins » acryliques
(RETIENS
LC COTON TE Era
MOTO EU RE UT
OO TTEUEEOLT
ÉRIC SECTE Que
Et qui, par habitude
On atu sce CRT EUL |
Souvent n'importe quoi.
Moi j'aime celui-ci ! QE
Chéri. Cest un sourire,
On billet loterie,
(CRCULATE ATIES
Récompense ou vétille.
Chéri, C'est un délice
Gourmande friandise
Un carambar paresse TUNER EE CT ESS
Cest l'amour en vadrouille…
Chéri si C'était toi,
Sans mortelle habitude
ge le dirais avec Des baisers dans la voix.
SET SEE CLONES
Des soupers aux chandelles
RTE
Et aussi pourquei pas-
EME TOO UC
Des minous minaudants
Des reudoudeus” en peine
Des loulous aboyants
EME EE Des poussins sans poulet
Des mots si décalés Qui se voudraient aimants.
€t jouant sur Ces mots
ÉD CROSS Gh miracle d'un temps
Quand je parlais mour”. CLBF
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SEX-APPEAL: LCR ENCORE CRUE LS
Je veux de vous un long baiser.
Avant que l'hiver ne m'étreigne,
LEP SET CNE EN ETES DES ET ETES
CAPE ENTER
Sortez-roi donc de cette impasse
ONCE EU REP TFN Cle Neige blanche autour de mes tempes
Corame des branches de lilas Je ne bougerai pas, je campe Bresse 'attente dans l'au-delè. Je partirai le cœur paisible Mais ou irais-ÿe bien sans vous?
ETES CEEUEC Je vous aime. ef toi tu t'en fous.
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STARTING-BLOCKS Tu me dis que ton lit
AO TC CE TEE E
Mais tu mets trop souvent les voiles Et ce “lit-là va à vau-l'eau. J'ai dans les yeux tant de mirages
Lorsqu'un soir le lit nous invite,
Dommage qu'il n'y a pas de suite J'aurais voulu un abordage. Tu me dis nous mourrons ensemble 7: Mais moi je ne veux pas mourir ! LOTO EE TS CRT UC RCE TC LUC CE ES UT Tenant dans ta main les amarres, Ne vois-tu pas que j'en ai marre Et que mon cœur lui s'en balance. EE TO 1e NS 7: Vois! Ces frissons me désespèrent,
Je voudrais me faire la paire LC AUTOUR UN TES
CLBF
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Mine de rien de me mine. Il m'élimine. de fulmine! Leminée, Mon domaine Iluminée N'est plus amène, Mz mine IL fait wine de m'aîmer ‘Minérale Én do-mi-ré. S'émeut. ÉEndormipait M» mine 35 raies Da Lulli... 1» nominé Qusnd bien méme S'eplamine Je me démène. C'est inné. Dominée, Minet rôle
Quand minet lit ! Pas un mot... Avant que je n'avale mon café ! CIBE
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CSP U AU CHER! UNE PALETTE Qu'il fonde comne un glaçon.
Docile, bien élevé Connme ur petit garçon.
Surtout pas d'aboicment ! Je Le veux silencieux.
DE ET LE GENE
Qu'il ait des sentiments,
Et qu'il remue la queue!
Un regard très câlin
EME
Dans le fond de ses yeux
Qu'il n'ainera que moi.
Qu'il ait au fond de lui GATE
Quelque chose d'humain!
Être présent le nuit,
jemais n'être bien loin.
CENT Je voudrais un monsieur Un honne plein d'entrain Quiqu'un d'un peu sérieux
LOSC REC AI Je le voudrais farceur Bévoué au bonheur. Et en laisse fenu Qu'il soit le bienvenue. IPS EEE Foi FAI
ects Nous irons de concert La main dans la main. Le soir, dans son panier De son regard de feux
CÉPRETEETSET ES Des balades et des jeux,
Couchere à mes picds En boule dans se niche.
Mais je parle de quoi ? D'un hornne ou d'un eaniche?
ÉD ete Car je n'ai pas de chien!
TL EL UN CRC
Et l'ennui qui me guette
DÉCRET A
DR CS ETS Je mettrai une effiche : Lei PS CRÉPIN TETE OT TTS
LÉ TE NUS EU 22
LORS N RE LE Tel EAN Mon dieu, je récidive! LAS
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Petit délire La sentimentale Bonjour ma tendre amie !
-Comment ! Qu'est ce que tu dis !
Je disais Je vous aîme -Ah ! jn'avais pas compris?
Vous êtes si jolie. -Quelle tête aujourd'hui ! Et dès que je vous vois, -Où est le vilbrequin ? Je tremble à chaque fois. -Je le vois à vos mains!! Je n'peux vivre sans vous!
-Passez moi donc l'écrou, 1! Faut que je vous dise -Pas les doigts dans la prise !
Votre corps d'hirondelle, Je l'savaïs ! c'est une bielle !
Je suis à vos genoux, -Oh ! Vous êtes [à d'ssous!
Pour demander vol! main.
-Fais frisquet ce matin !
Voulez-vous m'épouser! - Il EST OÙ MON CAFE ? CLBF
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+
Mon cerveau et l'ordinateur U faut que je vous dise, j'ai un très gros souci,
Mon cerveau se ballade, W est indépendant. l'y à quelques temps, i partageait ma vie. Les poèmes l'ont pris; c'est comme je vous le dis!
A peine un oeil ouvert W fait la forte tête, Une pense qu'aux vers, je n'en peux plus J'arrête.
Depuis tellement de temps que je vis avec lui, Je n'ai plus de repos..i m'ennuie Et deux Strophes par gl, une rime par là, Ma vie est un enfer car moi {Je n'écris pas.
Même dans la voiture c'est une vrai torture, Je Suis érès concentrée, mais lui prend sa journée.
W s'essaie aux quatrains aux phrases bien tournées
Une m'écoute pas et n'en fait qu'a sa tête. Je me rends aux toilettes, croyez-vous qu'il s'arrête?
Mais non! il continue, vraiment je n'en peux plus.
U m'espionne, me surveille, je ne fais pas un pas
Sans qu'il parle tout bas. Quand au soir c'est pas drôle, Wa le premier rôle.
Avec le p'tit curseur l joue durant des heures, U monte et il descend, ça à l'air amusant. Je le vois très souvent s'emméler les pinceaux, J'peux vous dire qu! la haut ça n'est pas du gateau!
Moi ! je ne m'en mêle plus. maïs entre-nous c'est vrai!
Ces gens dans cet écran, Sont-Ws aussi charmants ? CLBF
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LR RSS PP PE PET TP ECS
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DORE PE EE OI AL AN 2
On ne répirait plus, ambiance étrit pesante.
Quand entre ses deux doigts, dans sa bouche gourmande,
Elle sintroduisait, grésillant de plaisir et encore fumante.
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Je voyais plus en elle que braise incandécente.
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Son visage cireuwx avait Les traits tirés.
De plus en plus présente La blonde incendiaire,
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C'était del Où bien moi.
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Je La voyais souvent en mégot très tendance.
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Enfila son manteau, ct du fond de sa poche
Retira tout frippé écrasé et tout moche
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APPLE IAE LOT] CLBF
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Pour vous parler d'amour, je me mettrai en quatre!
Je vous ferais rougir ou blanchir comme plâtre.
L'amour: Etat d'amour, c'est perdre ses moyens Bafouiller ou gémir tout dépend de l'entrain. Et en parlant de train, savez vous qu'un beau jour ! Non, je n' vous dirais rien; J'en ai la chair de poule, Et en parlant de poule à quelle heure on se couche.
Rvenons à nos moutons. La bergère est en forme Ce soir est un grand soir, Il a pris son viagra.
Va z'y avoir du sport, j'ai même remis mes bas !
Nous allons consommer... Jai relu le Kama.
C'n’est vraiment pas l'moment de flancher sous les draps.
J'ai sauté quelques pages car je dois avouer
Qu'il y a bien des poses qu'il faudra éviter.
Autrefois la passion emportait nos suffrages,
Nous étions ignorants, mais c'était le bel âge.
De la banquette arrière dans le meilleur des cas
1l y avait le volant qui nous râpait le dos
Quand c'n'était pas le frein qui nous raclait la peau.
Et dans le pire des cas, si je levais les pattes
C'est qu'nous étions coincés dans une petite Fiat.
L'Amour c'est ça aussi, rire de sa jeunesse
L'amour, c'est tout de même une histoire de fesses... CLBF
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Veuillez lécher me main vous mécrasez les...
Zoigre Peurille damoiselle, venez Là, grès de moi, Puous mowtrerai ma belle, deut folies wotes en
Fa ETAT OT T7 77777 427227772727 20077 7 7772
72 Évfant vous sourtez, éter donc vos menotres CPL ELLE CL
72 Vous res à genou, laisser mon (worriument
Tourment CC 0 7777
FL /74 clbf
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Parle à mon
coeur Ma tête est
malade Le coeur
Toi ! Oui toi là-haut ! tu pourrais te bouger
Inventer quelques rimes, me tracer Le chemin
D'un poème sublime, faire des alexandrins.. La tête
C'est toi Le coeur ? c'est à moi que tu causes?
Attends, je déconnecte ! Je me mets en pause.
J'ai les petits neurones au fond de mon cerveau
Qui s'affolent pour rien. Envois des émotions,
Tu n'fais pas ton boulot; j'n''ai pas d'informations.
Il y a des semaines, aux antennes je disais:
On dirait une pendule posait sur la ch'minée
Tic, Tac, Tic, Tac, Qu'à battre bêtement, ça ne t'arrangeais pas.
Il faudrait que nous, qui sommes si sensibles,
Nous soyons à nouveau une méchante cible.
Si tu disais un peu à tes deux ventricules
De ne pas s'endormir, car ils sont ridicules.
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Le coeur Pardon l'Intelligent ! enfin, à ce qu'on dit ? On nous vante ici, tes petits mots d'esprit, Et tu n'es pas capable de mettre bout à bout
Des sonnets, triolets, voire même des haïkus!
Moi, je peux m'enflammer, battre à grande vitesse,
Pleurer comme un bébé, avoir quelques faiblesses,
Car toi si tu prends feu, c'est la Bérézina!
Plus d'écrits, d'inventions, alors!Arrétons là.
Ecrire avec le coeur est je dois dire facile,
Mais toi là-haut, dans ton petit cerveau, Je sais…..c'est difficile. La tête C'est vrai, tu as raison, tu parles avec ton coeur
Alors que je voudrais parler 'Intelligent
Poser des mots nouveaux qu'on ne comprendrait pas Je suis condamnée parce que je n’ai pas appris,
A écrire simplement; ça je l'ai bien compris... Pampille
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PS MrrHMmH< E
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3 Car moi aussi LECOC PTE UE L'hiver me dénuda... PA plus An PANLEL EIC PPT ES
Abandonnaïis ramures au fluide des courants
Laissais tous les soleils caresser mes tourments. J'allais confiant, sans aucun soucis apparent L'automne avait permis malgré la crue des âges
Aux feuillus argentés de CE illusion.
[ONE EC ELLE LETTRE CNE ES
Le tronc de belle allure dans l'onde se glissait.
Ïl y eut des canicules et des vents ascendants Je métais préparée aux CRETE CEA Voyant passer au ETES qu'autrefoisj aimais
Mon port même CENTRE CRT latent.
VÉRINS emporta ma CES espérance.
RTE EE Rte EU désespérée, A vivre dans l'oubli sur des rives asséchées, L'arbre mort n'eut d'envie que d'aller se noyer. Mais les rives gardaient le rameau en son lit,
Sachant tout des douceurs ou stagne encore la vie,
Pourrait sans un remord s'il ne se voulait mort
Rêver encoreun CT ENTER TEL ETS ES TETE NE EE ŒBF CNRS V
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CO TT EE
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Pe brillantes facettes, là, ce sont se5 mérettes.
DIEPPE TT ET TR TO NE OA
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CRT CET TO T7 7777 7
LOTO TEE 772
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DÉCRET OCTO ET 777
ET ET
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Pampille usagée, avec ses maladresses DOPTE TT PAT TT TT
CAT “Poux” allée des poètes CENT PA CLBF
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PROVENCE LA SUPERBE... Sous 1e soleil ou les étoiles, Tes champs bercés per les pipeeux, Avec le mistral comme voile Tu fais trembler pins ef roseaux. Avec trop d'azur dans 1e vent,
Tes bouffées d'air couleur lavande,
Soufflant comme courant d'aufan, Cours les chenins, belle brigande Ocre ta terre de rocailles Chaude, brûlante dune d’or, Dans la blondeur de tes semailles, On croit, Provence, que tu dors.
Mais ton silence ouvre ses ailes
Alors frissonne la moindre herbe,
Chantent moulins et bartavelles
Tu es Provence la superbe. CLBF
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La maison a tiré sur elle ses volets.
EPP Te
Et la porte d'entrée bien close va garder Une fraîche langueur dans une odeur de paille. Le ciel bleu sans effort dispense ses rayons,
Aspire la moindre eau que la terre protège, L'air n'est plus qu'une peau laiteuse de saison,
Aussi lourd qu'un silence à la tombée des neiges.
Une armée de fourmis pille sans états d'âme
Avec des bruits secrets l'éléphantesque meule
Semblant s'être animée d'une soudaine flamme
Tant d'humides vapeurs s'échappent de sa gueule. Dans l'immobilité d'un champ où pas une aile
Ne trace dans l’azur le moindre trait d'union,
Sous la chaleur ardente la nature chancelle,
Et prise d'un vertige, se fond dans l'horizon CLBF
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La Saison des ratures.. Voici que je respire au plus chaud du jardin. Sous l' arbre endeuillé étirant sa coiffure,
L'hiver s'en va mourant en un linceul dédain, Les oiseaux du printemps lui siffle des injures. La pelouse a fleuri dans la fraîcheur de l'aube.
De frémissants boutons corsetés de rosée
Au jour verront s'ouvrir leurs minuscules robes Pâquerettes jolies, habillées pour l'été. Le soleil a souri ! Pas un éclat de rire,
Un clin d'oeil pour qui veut réchauffer ses vieux os.
Les bancs ont refleuri de têtes qui soupirent Voyant passer le temps paisible au fil de l'eau. Ferez-vous comme moi aux premiers vrais beaux jours ?
Marcher le nez au vent, découvrir la nature,
Reposer vos paupières sous un rayon charmant ôter de vos regards la saison des ratures... Quand revient le printemps entrecoupé de plaintes
De brusques giboulées font s'enfuir les rayons,
Sous un bon gros nuage ils vont cacher leur crainte, Attendant tout penauds que tombent les grelons. CLBF
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Sais-tu ami fidèle où sg eachg l'aurorg, Où sg cachg le temps fuyant de sa demeure,
Où va Ig erépuseule, en quel gouffre s'endort Ung fin de journée où se perdent les heures. Montrg-moi les chemins des pluigs de boutons d'or,
lux sentes si fleuries d'éternelles douegurs,
Qug mon &mg troublée reflète ces trésors Levant des erépuseulgs d'hsrmoniques elameurs.… Veux-tu me dire encore l'histoire de ees ors
Qui aux printemps d'antan fleurissaient mon bonheur,
Qu'an automne frilgux recouvrit d'un décor Pour qu'un amour heureux ng sg brise en mon eogur. bLaissons dormir la nuit dans s£s hauts miradors,
Pissimalant l'étoile avide d'espérance, Les souvenirs sg veulent pareils à egs eondors, Suivant au gré des vents leur plénitude errance. CLBF
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De chaleur alanguie,
Des feuillus aux coteaux Silencieux sont Les bruits. Pas une aile là-haut, Sous un arbre un troupeau
Dans le ciel pas un cri, A l'heure de midi. Sur l'étang un radeau Lorsque ploient les rameaux, Joue de ses clapotis. Les bêtes font leur lit. L'air se coupe au couteau
Tant dans cette harmonie
Les rais en écheveaux Pèsent de leur ennui Au loin tel un sanglot
‘Un chant s'évanouit.
C’est Le bruit d’un ruisseau Qui court dans la prairie.
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ae: Lourdes comme du plomb, gaïnées d’or et vermeil,
Les heures du grand jour fouiflent tous Les recoins,
Cherchent l'ombre propice à un coin de sommeil Chargée de la senteur de feuilles et de foin. Un pâle vague à l'âme sur la terre irradiée,
Tourmente de vapeurs les fines pointes d'herbe,
La Blancheur se dissipe sur les épis superbes
Œn un fluide aérien légèrement voile. L'haleine de l'été ne souffle aucune plainte
L'air ne respire plus, le vent lui se camoufle
Et l'on entend au loin, maïs est-ce une complainte?
Le peuple des écorces qui de brûlures étouffe. Les monts ont à leurs pieds une fraîcheur nocturne,
Quelques vertes prairies où il fait 6on coucher,
Laissant l'étroit ruisseau d'humeur bien taciturne
Glisser en titubant, s'écorchant aux galets. Au matin Le dieu Rä, d'aplomb sur ses rayons,
Telle forge en action au rythme de soupirs
Sur les joues des vallons et coteaux moribonds
Incendiera [a terre avant que de s'enfuir... 5 À 1 & © & © & À à
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Du haut de ma fenêtre. De loin, sur les blés mûrs paraissant éphémères, Un éclair cn I t224 CL frémir l' azur. iëre A2 dans x “ni Nr
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M daube félures. I agé LS ZT All 15 LE ee He
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Les foins sont tous couchés, Le front du ciel transpire,
La chaleur de l'été Lentement se retire. IX
Le temps semble arrêté Iln'est plus que soupirs,
L'espace a la beauté
D'une paix qui s'étire.
v
Beauté enténébrée,
Dans l'encre de la nuit,
Dorment les Pyrénées Sous cette lune amie. Il L'azur se revêt d'or
Blondes mèches nordiques,
Œt la terre s'endort Sous un regard pudique. IV
De longs rubans de feu Traversent Le silence,
Dans les nues peu à peu Une dame s'avance. Cu
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Crois-tu que le fermier qui voit fuir l'hirondelle
Saïit en voyant son vol s'il, fera grand beau temps,
Ou si rasant le sol en fournoiements bruyants Elle apporte la pluie assise sur ses ailes. Me diras-tu à moi fille du bord de mer,
Pourquoi le vent d'autan sur l'arbre 5 époumone,
Et comment le maïs dont les épis fredonnent Présagent d'un orage, cela est-il dans l'air 2? de n'entends plus de cris, le silence a bougé 2
Au loin un reflet gris vient marquer de sa haine
Le pauvre paysan qui sur les sillons peine Et les bœufs agités ruminent leurs fourments.
Me diras-tu enfin, toi homme de la terre Ce qui fait que ton temps est différent du mien,
Toi qui sais reconnaître le chant le plus lointain, Raconte ce savoir que Fa transmis fon père. CLBF Le silence a bougé J'aime être près de toi après {a nuit bien close,
Quand ton nez à l' affat bume l'air du à jardin,
Al, fera beau demain, me dis-tu -C'est certain! Juillet depuis frois s jours s'est habillé de rose…
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Le jour blanc se levait à peine sur la plaine,
Des gouttes d'eau tintaient dessus la pergola.
J'entendais la rumeur d'un orage de haine Et le ciel noir semblait recouvrir tous mes pas. Le poids de sa colère courbait ma frêle échine, Ainsi quand je marchais, cernée de toute part, De ses lances aiguisées, la bourrasque assassine Faisait de l'aube grise le plus fort des remparts. Quel vent traitre et obscur venait troubler juin
Qui, là-haut, dans les nues ordonnait la cabale ?
Aux mains des trombes d'eau, je devenais pantin, Tenu aux fils de pluie d'invisible cristal. Le faux vent de l'hiver sifflait entre les branches.
Qu'était donc devenu le printemps des beaux jours,
L'air tiède de la mer qui faisait nos dimanches ?
Espérons de l'été qu'il ne soit aussi sourd...
C'est un nouveau climat qui fait que l'on grelotte,
Que le pull des grands froids côtoie le lin léger,
Que sandales de corde se pressent contre botte
Au placard des saisons, étouffent les regrets... CLBF
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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nl jt CE22777777247722 El mo faut pour combler mes vœux,
CAy milieu de vertes prairies, V. À Dosañon, CAT
CET C7 Couver pour mon denier amour
LACET TLA 1202 777277272770
aime à goûter à cote enfance CAL TI 27777702 CLBF
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UNAMOUR DANS LES BLES
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
MOIS Janvier a grelotté sous un
Et déjà février se couvre
Le soleil a pointé quelques
Alors que mars approche a Ne te découvre point, hurl
Je suis ce solitaire, j'aime ji
Mais je sais bien que mai
Le soleil a sur lui des effe De juin j'attendais une
Œt puis le temps s'est mis à
Il revendique ainsi sous un D'être cet infernal qui fait Juillet s'est mis en tête d'e
Il a 6rûlé la peau, Les cham
Sous les étoiles d'or, Le ciel Vois sa voûte meurtrie tell C'est l'été sur les champs Les 6!
Août osé pleurer sûremen:
Il hoquette de pluie attiré p. Se sent désenchanté, “voilà qui File septembredoux ! Belle a
Des vagues de la mer à la -fraîc
Laisse octobrewvenir. Ne brus.
Lui, saura dévêtir la plus belle
Alors novembre sec comme un c
Allumera des feux ;Jamaisilne
Œt son double glacial son frère Décembre ;levingt-cinq,-je.vo
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PÉTROLE AU A
CLIC CASE TETE 9
CANTON PTT OI 1
TMD AC ICONE TA A TLC
CRIER TT AUTANT
CURE CET QUE JT
DATE ET NAT LION AT TE DT RTE CT 0
COTE RE PA DCR ET TONI] De
D UT Cie)
IT a à COTE TITLE TIC
Retard berne Gest
COCO ES ACC
(OnGienrest ce une musequis'amusede motà CLBF
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D'un ciel figé l'ennui ls nuages sévères
CPromènent leur noivceur sur le ville morose,
bu que sur ls toits et ls fenêtres closes
La Bruine dun avril, gère, puintanine,
RENE g engouffe dans les wues, un vent ébouriffé
Qui ne sait où aller par Chiver gui t pousse.
(Ge oceil hiver coin gui ne veut sen aller, (CPourbu, endolori, que le printemps repousse, C7 des éclaircies gui suvoiennené en douce. (Fimides, juste né, deux, toi rayons jols
CRévent d'une aventure en taveusant Le Éoù.
ar ls coteaux füteux, lagonie de grand froid
CPiôle une ultime fois ls arbres vabougiis. Le ciel cet émpatiené met la terre en émois Las partenes ont fleuri et le maison repre La saison de l'espoir rééerit sa chamon, L oiseau refait son nid, vois & jour ! Fes étre,
Et be bleu de ces vagues au lointain bougon
(Fait songer aux lengueurs dun éternel soupir. CLBF
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Cire Pueur g éveille… ml (Celui qui n'a point ou & printemps gracieux, Ce peut voi dans Ls cieux ses lots de noblesse.
(Ges instant de magie qui sofhent à nos yeux,
Louguil s’en vient fleurter, nous offrant ses promesses (Celle qui dun automne inquiet de met certaine
Dans un co1ps ennemi torturé de néant Ve voit que désespoir tout au bout de sa peine
Gublna tout L'iclas un sotiit flnbogant. Éoltat dune dévute où plus vien ne hanspire,
(Geli la ne saura ce que mourir veut dre. Des bus dans b silence affheté d'une nuit, Cv dans Couble dun monde où nul espoir quensie
Quand Uliver ocre une armée de pourguei ?
Verre / Vera mate ! Mere, ainsi nous sommes.
À muscler te peines sous l'assaut de combaé,
CH nest point de saisons où la folie des bommes.
Véent à briser W vie que Con donne icibas … ous ls pavat, enfouie, une lueur s éveille
Qmerceau de veudure a pointé; un bsurgeon.
Par son vente auvnde, lx où enfant sommeille,
Ce femme tenait d'une anière saison. … CLBF
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C'est un petit jardin sans grande prétention,
C'est un petit jardin sans rime ni raison.
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. Des arbres dissipés comme une cour d'école
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
Dès que le vent soulève les fragiles ramures, Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| CA ANT EEE CCE C0 RE TA ET A C7 7 Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. Et puis la véranda, caverne aux souvenirs CTP ART NICE ACER UICUCIR CAE TIC ON CRETE ETC CEE AT OT EENCCIEES CLBF
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', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Cours mg dit Ig vent,
Hg tg retourng pas, LÉ
Et je file légère, Je suis feuille d'automne. Tourng en rond dit la bise Le Kg t'arrête pas | Æ >k Et je tombe sans cesse
Ÿ Jesuis flocons d’hiver. =
fl Vole disent les fleurs €Etourdis lgs jardins
€xhalc tes parfums Ta gs si beau printemps rire solgil de feu Les grains sont éelatants W €t je fauchg les champs, Je suis si bel été… CLSE » class= »wp-image-2371″ width= »1057″ height= »781″/></figure>
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IL nous parfume de musique
Enivrant Les cœurs amoureux. NL est un Lit ie et de mousse
fpans Le petit bois ombrageux,
MLaisse tes ne aliscer € sc
{Mon corps devient vite oran Mon €:
Ecrire ce pas, Epouser un peu La ue ! Cours La plaine, cheveux au vent HR apporte-moi tous Les mystères,
M'écouterni encore Longtemps
MATous Les soupirs de notre terre. . Situ t'en viens briser tes ailes,
ie sine Le LE Lt bois,
r on ! Non ne d die rien, Laisse-mot. CLBF
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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nl jt CE22777777247722 El mo faut pour combler mes vœux,
CAy milieu de vertes prairies, V. À Dosañon, CAT
CET C7 Couver pour mon denier amour
LACET TLA 1202 777277272770
aime à goûter à cote enfance CAL TI 27777702 CLBF
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MOIS Janvier a grelotté sous un
Et déjà février se couvre
Le soleil a pointé quelques
Alors que mars approche a Ne te découvre point, hurl
Je suis ce solitaire, j'aime ji
Mais je sais bien que mai
Le soleil a sur lui des effe De juin j'attendais une
Œt puis le temps s'est mis à
Il revendique ainsi sous un D'être cet infernal qui fait Juillet s'est mis en tête d'e
Il a 6rûlé la peau, Les cham
Sous les étoiles d'or, Le ciel Vois sa voûte meurtrie tell C'est l'été sur les champs Les 6!
Août osé pleurer sûremen:
Il hoquette de pluie attiré p. Se sent désenchanté, “voilà qui File septembredoux ! Belle a
Des vagues de la mer à la -fraîc
Laisse octobrewvenir. Ne brus.
Lui, saura dévêtir la plus belle
Alors novembre sec comme un c
Allumera des feux ;Jamaisilne
Œt son double glacial son frère Décembre ;levingt-cinq,-je.vo
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CRE CRE LT ARE 7 Tordue comme le dos d'un vieil homme bourru, ER TE ET CE 077 Recherchant un soleil à chaque coin de rue.
(ERP ET PURE CT NRA
“Rétites PL LA ET LL ACT 1 2
bn parterre de fleurs posé là tel un chäle
OO LATE CI UT A 27/2 EUR A EEE ECC) ALL 1/2 ‘Rromène son rayon de lumière perléc, CL ETAT ET LE CE T0) Ce pourrais mendormir sur une herbe dorée.
CAT GC EL LAETITIA ELA T0 0 arbre veut se vétir et lon voit ses bourgeons
ET CRT CE EL NT CA 22777878 020072 2/77
Aus épaisse à l'ombre, RCA LE COLCA es ornières, sas plaies au marcheur solitaire,
@ui voit à lhorison silencieux at muet
Cÿotter L voile blanc d'une brume alaire CLBF
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Le potager a de la pluie
Accrochée au moindre CR
ENTER OS ET Que lCaurore mêle de rhume. La maison ouvre Ses paupières Claquements des volets de bois. Chacun sait que depuis hier
D LOT ET TU 2 ETATS TER 11710 TL Ian
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D'or et de pourpre sont les prés,
Sous les beaux jours ainsi parés
Ce chier printemps père des roses Chasse les nuages moroses. La fleur virginale s'entrouvre
Le matin de rosée recouvre
De larmes leurs jupes de nuit Én mille perles de soucis. Demeure 6 ma douce saison
D'amoureuse et tendre émotion,
Lorsoue l'abeille en mon calice Vient se gorger de mes délices. de ne sais par quelle folie
de suis la rose tant chérie,
Mon cher printemps père des roses Tes douces filles sont ecloses. CLBF
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ACCORDS PARSFAITS Aussi douce guhun vent léger Ÿ
= Le chant glisse sous la fenêtre Caresse le jardin d'été = Secache jusquà disparaitre
Tourne ef s/envole, prinfanier. €
La belle en un soupir se pême,
Dénude en pétales rosés
Lecœur rose tendre de Vême: Vip = Letemps s'est arrêté soudain
Suspenaun au bout de ses doigts; L'homme improvisé son chagrin:
Sous les trémotlos de sa vois: S GLEF 7/04 2011
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Au jardin de beauté
Qui les aura vu naître, Œlles s'ouvrent à leur maître
Dieu de la roseraie. Réverie matinale
Harem mélancolique,
De teintes musicales ‘Vos couleurs sont musique. Vous êtes symphonie
Œn gouttes de rosée,
Calices éffacés Aux sépales meurtries. Œn goutelettes d'aube Q Les larmes de votre coeur,
erlent vos jolies robes A la mort d'une soeur... C.LBF
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PRINTEMPS ET CHAMPAGNE... L'hiver suspend sa capeline
S ‘accroche aux névés des montagnes
Quand dans le ciel bleu s'acheminent Un air de fête et de champagne. Le printemps pose ses bagages à
Sur les collines et les sentiers
Best temps de faire le ménage, L'êne des arbres s'est inclinée. Quelques rayons sur les chemins Me brise coiffe les feuillus,
Je redresse le vieux sapin ÿ Courbé per le neige si drue. J'ei appelé les hirondelles J'ei réchauffe quelques silons Les jardins mettront leurs ombrelles,
Et toi ! Dis-moi quel est ton nom ? - ÊTE? £L.LBF
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Cessez done tous vos babillages Les gouttelettes ri gt dansent. €vgillant vos petits boutons. Sileneg chères prétentieuses,
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LE VOLEUR / La pluie bat la vitre et le toit
Le printemps se met en colère
L'hiver lui vole quelques bois
Avec le vent qui l'exaspère. Le ciel échancre ses nuages
Mais l'orage avec son aplomb
Hurle à la mort sur sa saison
Il tente un dernier passage. Décoiffées et les pieds dans l'eau
Les pensées lissent leurs pétales,
Les jonquilles en belles fatales
Redressent la tête vers le haut Passe ton chemin sans regrets Le temps glacial fit son office Tu n'as plus besoin d'artifice Nos champs de fleurs sont déjà prêts... CLBF
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Quées de pétales | Rêveuse sous le cerisier, | Elle retire son chapeau, 0 L'échancrure de son chemisier
Laisse paraître le blanc de sa peau. Sous sa capeline tressée M De légers flocons se posent, Ne dirait-on pas qu'il a neigé | Sous ce printemps d'apothéose. | Cette hivernale floraison
Exalte son cœur solitaire,
Sous des nuées d'après-saison
| Comme colombes en volière À Sans crainte de l'hiver coquin
Qui teinte ses mèches blanches,
Les pétales de ses chagrins
Ont la beauté d'une avalanche. CLBF
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Je vogue dans ma tête, le vent du Libbeccio”
Partant prompt de la Corse pousse vers l'Italie
Dont les lacs des montagnes se jouent du Tivano”.
En traversant les mers par grand vent de Suroit”,
J'arriverai un jour où souffle le “chinook”, Des montagnes rocheuses dont je serai le roi. Et dans cette Amerique si loin de mon igloo
Juché sur un cheval je poursuivrai le loo”
POSTE ICT ARE LOT EE CETTE AO EE RATS TETE A Dans le massif central aux volcans millénaires
Séoit le vent d'hiver qu'on appelle le Cers”.
Je suis le moussaillon d'un bateau de papier Le ’zéphir” me pousse aux rigoles persannes
J'entrevois le Simoun” au désert des sultanes.
A7 PT ET CA TEA 0 A Je quitte mon radeau solide comme un roc,
”’Tramontane” poussant sud-ouest bas Languedoc
Vent sec et chaud j'accoste là où je suis bien né,
L'Hégoa” me transporte aux pieds des Pyrénées. CLBF
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no PTT 4 lun JENMC SES Î AUPIÈT ES.
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777 7 TA Fe se cabre, rugit, revenant Sans cesse,
Se creuse de celère, s ‘enfle en mugissant,
Prursuit Sa course folle, Brave Ja forteresse M ca x
De ses dents acérées s attaque à ses flancs Éiôre, PT tous Les temps, cefère eu grand vent,
La falaise stoique impose sa droiture,
Souveraine frontière face aux éléments Résiste aux _grondements etè ces ferfaitures. Pa mer depuis des siècles voudrait sauter S'ebstacle,
ranchir Jes roches abruptes de toute sa fureur Dous des .gerbes d'écume répète sen spectacle Üentant d'escalader l'immense inquisiteur. Mais une main divine en décide autrement!
La muraille ne cède sous aucune tempête, Ta queuse a refoulé ses armes en dedans Dépitée den ‘avoir pu atteindre Je fete. CF
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L'AIGLE DE FEU Dans la robe d'azur apaisant ses brûlure
Les vagues de frissons l'appellent, le rass
OT ECC ET SCT T0 UT a.
a LR OR CET
Mon être entier reste songeur. Dépos
Tel uno La nuit au fil du temps rappelle ses ëi
Sous les vagues d'écume le soleil tel un sq
S'accouple à la mer et chaque soir succombe:
Il se sait éternel, renaissant de sa tombe. endormira sa douleur... Quand l’astre au petit jour repeint sa chevelure
DE D OR TO ARE TES EEE Le crépuscule éclot, il jaillit de cétte ond ae -
NOTE PT LL LE me
VAT AE TT 2
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ÈS LRU NC 022 572251000770
Ses lames déferlantes ont brisé leurs remous, €t son armés céleste a étgint tous ss f£ux, re GITES ET ER ECNTEST GENE NUS ere 17 2 a D Tout bruit a disparu l'espaeg d'ung nuit,
L£s songes garderont l'amgrtumeg de l'âge,
(GET TETE TER ENTER OA UNE NAT IE Pe nos douleurs si vives tatouant ss rivages. Lentement sg déploig, froidurg solitaire
Ung flotte sans mg rechgrehant son étoile
La tempête s'éloigne en veuve passagère, Ses rêves illusoires gonflent encore les voiles. LENÉETO ER BEEN 2 1/28 EN
S'entrouvrir l'horizon qui réehauffa mes yeux,
J'aimg encorg naviguer au bord dg son langage J'oubligrai 1£ ehenal qui mêns aux adigux. CLBF + + Rs +
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Dans Lagonie du jour Quand La nuit se blottit
Jvre de teintes grises Dans Le lit de la mer; Qu'une faible lueur Dans Les plis en 22475. 7 Dansule cel harmonise, Aux crêtes alourdies. Lestastres alentours De colliers ebdevaques Se voilent de pudeur. S'endort la minaudières DT COLLITRS IT DT VAGUES PT AL LE TL BTOTLIR/2 2772112 BELL PET La nuit en contrejour ÆFclairent Le tableau CAT TI Z AE TI ZA BALE Tg C7 T7 CS
L'aurore en pirouettes L'œils ouvre à ses merveilles, WATT 7772 Regardez! [fait beau.
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EL CT IN CET ER ETEEOETE
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if Roule, roucoule, s'enroule, CURE ES TRES TITA Limpide, gracile, fragile Candide, si fluide, livide. EVA L UE LOE Za TA EVENT Puissante, ardente, hurlante. Poursuit, séduit, s'ennuie !
dE} IA DATE ATOS ET A Divague, zigzague en vague, De plis, de cris, de suie, Au bois, sans voix, dix fois, Trainante, vivante, présente, DES ENT AREA MOT NT AT AOL LA DATANT TS 71770 V PARTIR ALAN T4
D'hiver en verts éclairs,
D'amers revers pervers, Font vagues buissonnières … Crea
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Aux tempêtes voleuses sur chants prémonitoires
Il naît au cœur des mères un malheur bien ancré,
Les embruns lourds d'histoire éveillent les mémoires Figeant le temps présent dans le flux des marées Elles vont deux par deux comme des ailes sombres,
Au bout du promontoire, interpellent la mer, Cherchant à l'horizon le moindre voile d'ombre Qui sur Les flots hurlants cracheraient leur misère. Femmes du bout d'un monde, enracinées de terre,
Dans les yeux délavés s'abritent vos escales
Tel un été serein brillant d'un feu fatal S'inventera l'espoir aux sanglots d'un calvaire. Indulgentes falaises où cognent les délires
En lames éventrées que le large envenime,
IL n'est ombelles chastes aux murs de vos soupirs, Dans le choc aérien ou vient naître un abîme. PERS
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Pluie d'ombelles…
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Pâtes escales de voyages, Pt galion, pousse l ettance, Parle & temps sun À visage Ce proue fait face à linconstance Tue ondulée de nos mivages. D'héroiques marées d'espérance
Éélons creusés par nos teneurs its d'Évte couchez ls ven
Lames de fond, lunes de cœur, Rangey colere, siflly doux chant
Par tous Les vents venus d'ail Éous Le jévhge de vo printemps
(Goute le flot de nos eneurs. ('oucre llerizon dun couchant.
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CNAFANSAETENTE A midi Îg solgil s'allongg sur sa peau, S'étire dg langugur tel un ehat sur la pigrre,
Quand les rais sg faufilent, l'flg s'endort altigre, €t dg lourdeur sg glisse tel un eygng dans l'eau. Eerasé de bianehgur, l'esquif immobilg,
Aux drapés bigus azur que Îg eigl réfléehit
Mesure l'espacg temps aux dédales fragiles Lg long dgs murs sacrés aux toits chauds arrondis. Edglwgiss acerochés aux parois millénaires
L'ocrg sembig jeté d'un pinegau maladroit,
Sur des tachgs deg feu un mélange lunaire, Le vertige des ans gst à jamais sa foi. €légantg beauté que l'horizon eargssge
C'est à la nuit tombée qu'elle s'aecouplg enfin
fu solgil jaung d'or déposant sa pargssg flux pieds dg sgs voleans rougissants dg earmin. Santorin, blanes nuaggs ou poussent des bigugts
Qug la mer éternise par des soupirs changgants,
Où la vigng soudée à la terre asséchée, Fait un nid de eouronng au mépris des grands vents Promontoirg suspendu où l'histoirg s'élève,
Lg promgngur méditg enveloppé dg ehants,
On entendrait alors quelques habilgs marchands Qug Îg négoceg attirg gt qu'un rêve révèle. PEUT re
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J'ai dans le noir des yeux un reflet qui, tremblant,
Ÿ Suit la ex b de l'onde que trace le chaland, Quand dans le calme plat sa lenteur m'ensorcelle,
- HU ar RC TRE TORTUE Te 7 TR 7 vol d'hirondelles. Nha ist voiliers de [a mer, a Des remous insolents Les blessures de guerre,
ALI sur la ET iln'est d'heure or RU XIE ES repos en mon âme sereine.
} ET CONTE TT TT TE TEE ne 72 OUT de clapotis que Le tirant entraînent,
LT OT NT TT TE TA TT) sse sur l'eau portant sa batelée Le saule pleureur d'où s'égoutte [a nuit,
Ma pensée s'évapore, ainsi le temps s'enfuit.
A vais en vagabonde au fil de L'eau dormante. Avez-vous remarqué comme la vie s'invente ! Dans le chant silencieux d'une étreinte fragile
on ventre lourd de blé aux entrailles serviles, TE CNT ET OS LT ET DTA el Faisant fi de tous maux, elle en oublie Les heures...
4
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Que mes poèmes vous soient nuages
Qu'ils vous livrent mon coeur à corps,
Du fond de mon si beau village Je voulais changer de décor... J'ai pétri des lettres sauvages,
ÆEnglué mes doigts de papier,
Sous la torture d'un encrier
Vivait l'ouragan des voyages. Souffle la lampe de mouillage,
Ecrivaillon dont Le savoir,
Prenait si souvent le grand large
De la folie au désespoir... J'aimerais effacer chaque page
De l'aube au crépuscule,
Qu'aucune ligne ne bouscule
Le ciel de mes orages. Buvons, amis, ce blond cépage,
Je chasserai ma servitude
Sous Les colonnes de Carthage Je dompterai ma solitude...
CLBF
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C'est un petit jardin sans grande prétention,
C'est un petit jardin sans rime ni raison.
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. Des arbres dissipés comme une cour d'école
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
Dès que le vent soulève les fragiles ramures, Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| CA ANT EEE CCE C0 RE TA ET A C7 7 Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. Et puis la véranda, caverne aux souvenirs CTP ART NICE ACER UICUCIR CAE TIC ON CRETE ETC CEE AT OT EENCCIEES CLBF
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C2 AI Ohé À Menthe PTT ET ET ETES LATE A AT)
PORTE LE ATEN AU 1
Repoussent la chaleur écrasante du ciel, IT TI ET AL ET LT A PE AL LA LU
ECS AOL CLR EI et A Des feuilles de thé vert, de La menthe éffeuillée
AT TE TE A A LT Volutes mentholées embaumant la maison
DATE AT A AN AT
PT LE ET CE LT A
Effluves de plaisir en voile de coton, L'eau de La fontaine en jupon de cascades
PO LILTT A T L RT TX D'un abîme magique au parfum de muscade,
L'Afrique a La lumière des plus doux abandons. CLBF
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«J'aurai pu vous aimer un matin a Denise Sous les cieux d'un printemps encor chargé d'espoir
ous rejoindre d'amour et poser mes valises,
Auprès de votre vie me glisser pour un soir. Au balcon d'un palais aux pierres ennoblies Dans nos mains enfacées que retiendra l'ivresse,
. es. jardins de Florence sous un ciel rose et gris
| Et, = Offriraient volontiers mes yeux à vos caresses. IA (LE 1 il À. Hélas 1,Qe ne saurai de Rome le destin, if |. &f Üérone toujours mourra sous mes soupirs,
; : Naples de mes baisers n'en saura jamais rien
Don voyage c'est vous, nul besoin de partir... ve De
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Tandis que vers la mer, l’Adour en boucles folles,
CCC TIC hr ME frissonnants de marée,
La mouette agitée prend un air de gondole Ainsi posée sur l’eau aux roulis, balancée. Dès que le ciel, la terre et le vent font silence, RERO nee Vers que de mourir, Je déploie la grand voile celle de l’ espérance,
roncaeortcaReLe re Ru
AURONT ER EROUTTTES
Tissées par la saison, faites d'or, de dentelles,
DAS CIO durer rene turc TEA De fougère bouclée mariant ses aquarelles. Sur mon bateau mirage ondule le sommeil DORE NE ET OUTRE RTE A EE Er EME ET USE leur soleil, LEE nou CE THE A OCTO Il me faut accoster, le vent m'a bousculée,
Fait claquer mon écharpe au vent frais de Bayonne
Éd uUAUE CRIE PET detre [CR CINE ET Cole 1e TER CLBF
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à ToUX Déroulant ses couleurs S'endort ta mosaique. Comme un tapis d’orient! Ta berticalité effondre Phort
Regards de blancs linceuls = Déposés sut [a mer lu plus profond sommeil.
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Couleurs Agadir. L'odeur d'un oranger ravive ma mémoire,
L'espace s'engourdit de pesantes douceurs,
Les cieux se reposent sur l'onde pour y boire,
Mélangeant ses violines aux marines couleurs. L'air chaud venant du sud écrase la lumière,
Sous le vent du chergui le désert s'apprivoise,
Ondule par vagues sur la ville poussière En peau de sable fin dans des ombres chinoises. Si lourd et indolent le port d'ivresse lente,
Berce ainsi ses bateaux aux teintes acryliques,
Sous sa palette d'eau tangue sa couleur menthe
Fait chalouper les robes en volants ibériques. Si tu vois Agadir, dis-lui si tu veux bien
Que mes paupières lasses ne l'ont pas oublié, Et que plus rien jamais ne défera ce lien, Qui fait qu'un jour peut être... un jour je reviendrai CLBF
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UN PIED FIDÈLE... Vois-tu ce feu lointain qui rougeoie l'horizon
ÉCNTUT CEE NORTON CEST SITES
LEE CN TRUEN TRUE TT EE Ne) Este
Forêt du nouveau monde, ta beauté nous inspire.
Au calme des grandk lacs assoupis de mouvances
Se noie ta chevelure aux ramées enflammées,
Ainsi que tes reflets vêtus d'extravagances, Sous un ciel bleu de mer, tes eaux sont enchantées.
Semblable au champ de blé que le zéphyr caresse, Prémices d’un concert, silencieux, abyssal,
Ton rideau flamboyant s'étire de paresse, Ondulant sous le chant de ton voile oriental.
RU reed e UE ee CN pelle Peint dans chaque forêt, dès l'automne venu
CETTE TR TETE TEE AA ere Qu'un hiver sans écho de blanc sera vêtu
Mes pairs sur tes sentiers ont foulé tes rivages, Au bord du Saint Laurent repose quelques stèles,
RE re ET eee one en A nets NA le (TA LE Te OA Sur tes immensités poser un pied, fidèle. ur
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Quand nous zevtions aux champs juoqu'à fa nuit tombée, Don doioixs s'apprenaient avec poux seul cahier,
Les lignes du soleil qui aux les Blés reposent.
De rectangles en carrés, ourprenante asantèle
Œux arpenlo de maïs en rangée paralleles.
Le Papé noue faisait réviser tout par cœux.
Par Besoin 2e crayon, les pages de fa leme
Liscces du plat 3ev mains cachaient nos additions,
Quand d'un doigt appliqué, divisions, souelractions
Par Le sent s'effaçaient, quittant nos raBouillèses
Le lempo élait Bien doux en ces récréalions
Louer à chat-qriflon faisait notre Bonheur,
Ga chant de son oxi-ou nous Éousculions fes fleurs,
Oouferant élamines et 3e Beaux papillons.
Pourquoi ne pas feumer mes paupières fances
&L mon coeux ae noyer d'un regain de fendresse,
SE est Bon de courix ana l'herbe de jeunene,
Offerte par le lempo d'un autre lempo pass.
CUT
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LA FARADE A7 C'est la grande parade de mousse dans le ciel,
Les cumulus nimbus se bousculent au réveil
Plus un coin de ciel bleu au-dessus de ma tête,
Ces boules de coton aujourd'hui sont en Fête.
Comme un grand carnaval, elles défilent la-haut.
Ve vais vous étonner! au milieu des flocons,
J'ai cru voir un dragon ?
Et là, dans celui-ci ! mais si ! regardez bien,
Le mastodonte S'étire, comme un vieux chamallow,
Voyez! En Son milieu on devine les bosses Trouvé ? Bien sûr, c'est un chameau!!
Tiens! des gouttes de pluie..houlà !.ce sont les ‘gosses !
Souvent dans l'infini N y a des chérubins,
De petits angelots menton dessus la main,
Si sages avec leur boucles de frisures au vent,
Et dont les auréoles s'étirent en arc en ciel,
Pour former un arceau, une pure merveille.
1 laëssent à chaque fois une légère ondée,
C'est leur façon à eux de dire: “Bonne journée
Parfois au beau milieu d'un champ, Allongée sur le dos, quand le ciel est clément,
Je laisse mon regard sur les pages des nuages
Essayez, vous verrez! on y fait des voyages. CLBF
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Je vous revois, tantôt couchés dans la charette,
Les foins en son milieu cachent vos silhouettes,
La chaleur de juillet endort tous les enfants,
Les hommes en sueur et les femmes devant. Sous l'ombre du grand chêne, dévosons nos paniers
Un torchon de ln blanc pour la miche dorée Le ruisseau qui servente rafraichit les boissons, Les bottes une à une Seront belles moissons Là-haut sur les sommets la brume est répandue,
L'orage plie le ciel, les corps sont fourbus, On voit passer au loin des nuages pluvieux,
Hâtons-nous de rentrer, écoutons les aïeux. Une pluie de saison rafraïchissant la terre, Les corsages trempés nous collent à la peau, Les garçons ont les yeux comme de vrais Soupières,
15 se poussent du coude et rient dans notre dos. Une journée s'achève de labeur éreintant
Sous le ciel délavé les nuages s'étirent, £t dans l'air purifé le slence soupire,
La faux dessus l'épaule, la lèvre siflottant. une journée aux champs...
CLBF
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Devant notre perron, dès que Pâques sonnait, Dés qu'un rai de soleil réchauffait {a maison
Face au cactus géant, aux daflias empourprés
C'était à chaque fois, à la même saison £e même rituel ; trouver l'endroit rêvé Pour que son « destrier » ne clopine du pied. Pépé, le sandalier, posait son chevalet, Comme un bon écolier ilrangeait ses outils, £t à califourchon sur le banc patiné Formait une spirale de tours à l'infini, Tournant dans tous Les sens la corde ainsi roulée, Caressait la semelle qu'il venait de former. D'un rond sans intérêt par quel miracle alors,
Se formait un talon et {a plante d’un pied?
Æntre pouce et index maintenant les deux bords, Resserrait au trois quart la chausse ainsi tressée De dessous l'établi nous jetant un clin d'œil
Æxtirpait une alëne et brandissant l'épée Jouait au mousquetaire, brassant l'air d'arabesques.
De peur qu'ilnous embrochñe on s'enfuyait du seuil.
Et nous courant après, le bras chevaleresque, IL s'arrétait tout net devant l'œil de mémé! Ilriait de bon cœur quand dans Le seau d'étain,
Ilprenait de l'eau fraîche dans le creux de ses mains,
£t non sans nous montrer son épée de fortune
Ænfourchait à nouveau sa monture de bois.
Reprenant la semelle devenue dame lune. Ronde comme un ballon, recommençant l'exploit. £a semelle naissait.. Pampille
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Je vogue dans ma tête, le vent du Libbeccio”
Partant prompt de la Corse pousse vers l'Italie
Dont les lacs des montagnes se jouent du Tivano”.
En traversant les mers par grand vent de Suroit”,
J'arriverai un jour où souffle le “chinook”, Des montagnes rocheuses dont je serai le roi. Et dans cette Amerique si loin de mon igloo
Juché sur un cheval je poursuivrai le loo”
POSTE ICT ARE LOT EE CETTE AO EE RATS TETE A Dans le massif central aux volcans millénaires
Séoit le vent d'hiver qu'on appelle le Cers”.
Je suis le moussaillon d'un bateau de papier Le ’zéphir” me pousse aux rigoles persannes
J'entrevois le Simoun” au désert des sultanes.
A7 PT ET CA TEA 0 A Je quitte mon radeau solide comme un roc,
”’Tramontane” poussant sud-ouest bas Languedoc
Vent sec et chaud j'accoste là où je suis bien né,
L'Hégoa” me transporte aux pieds des Pyrénées. CLBF
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CËx beaux soullers. vernis, socqueéles ed dentelle,
Pole de phmetis aux rubans tisés € Proû pes dablotins sont assis sans querelle.
00m Leurs boucles d'or fisées où W lnière dev
(Gachent un fin minois à le bouche ceuse,
Pret à deux saphirs, troublant comme ur häot Dans burs immenses yeux se lt la gourmandise.
mm Horit œil malicieux où nait esprit fantasque,
uand à dur pas d'ici W campagne et magie
Les petites poupées lisent tomber masque
(Gourené en se cackané vers & Bassin fleur. 1777774 (Clacune en se penchané, endané son jolt 0772
Téddait bien alaaper le verte élite, Ék bus mains potelées dans un zéême ur peu fou
DPrappent leau gui séveille en des milles de bulles CAbrs ls rives fasent, séchagpent ls grenouilles
ÉËe sérfuient ls goujons apeurés par & bauis,
Ces crois pet lins sèn reviennent bredouills Cl CLBF 17/4
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TETE le Eli A
Une maison drôle et bossue,
ET TER A
La voilà sens dessous dessus...
Elle ne veut pas qu'on la touche,
__ _ d Pourtant sa peau est encor lisse. OUT IEAERNL AE T11A Nous fait un sourire complice... C'est une maison solitaire DATA ACTES A perdre ses tuiles parterre, Comme les dents d'un vieil huissier. Elle nous fait de grands effets
Dès que l'hiver s'accroche à elle
DETTE CE TUE
CNT ETC ETIE LC RICA CV RTE EU EE INEA Nombreuse étaient les hirondelles OMR AOC TETE C'était la maison de grand'mère
03 Qui du poulailler jusqu'au bois, #»
Taisait les maux de la misère. NE TOO EE CEE TES CLBF
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Nous cœounion dam Le chonp
en errant dans nos mains une ES
Re Le went d'un souffle doux CR EL Por cle aès-midi de sie notons. Les parents allonge
Pommeillaiont qrès du chère, Le sous a chapeaux de à
es
Dans mes RS ES d'odeur el de verdune Pos 4ôtes disporninaient dam Le hole un pou fil
re pes GE funds 4 ur Dre ÉTEE
Abengés sun de des nous cdmivion Le cel.
PF. tenant ès laut Le Eli inutile.
EL EL DE
CRE EE UE CLBF
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1  “x DU { ho
Hg mg retirez pas toutgs mgs espéranegs
Hg laissez pas mes vœux courir sur |gs chemins,
Prêtez-moi sgulgment ang orgillg d’enfaneg
L’asilg dg eg temps a des parfums divins. La soureg dg egs jours eoulg gneorg dans mgs vgings
J'aimg à mg voir eourir après lgs papillons, L'écolg a ses galoches, pêlering de laing, Mais ng vous sauvgz pas ! J'entends tous vos prénoms! CETTE EN EOTEETAN NN TBE ET Br ET) Jambes nues, rirgs fous, qu’ils soient fillzs ou garçons,
Un si léger sourirg au eoin d£g lèvres sages, Lg vertige revient avge lgs émotions. “Ginsi qu’un voyageur j’aimg egs gseapadgs Prendre an train  nallg part  destination ailleurs
Pans Îg wagon d'été je revois gn cascades Mes amours dg jeunesse, lg mystère des pleurs Je peux eourir ainsi,nal besoin de péage
Je m’assois un instant au bord d’ang « dizaing »
étant pas loin d£g eroirg à eg très vigil adagg, “Regarder l'avenir fait beaucoup plus de pging.… CLBT
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LE TEMPS PRESENT D * LE TEMPS PASSE ., Les choses d'à présent ont si peu de mystère,
Quand le passé s'égrène avec nos souvenirs,
Nous n'en finissons pas de conter nos inisères
Parlant de nos printemps, délaissant l'avenir. Tout ici va si vite, nous regardons devant,
En courant tout le jour après je ne sais quoi ?
Je me souviens enfant, la maison des parents,
Nous vivions tous ensemble, tous sous le même toit. Les repas si joyeux, les plats biens peu garnis,
La chaleur de chacun apportait son obole
A nos soirées de veille nous trouvant endormis A
Près du poêle brûlant sur nos livres d'école. L'horloge a vieilli et ses heures reculent,
Elle essaie vainement de suivre le tempo,
S'accordant coimne elle peut à la jeune pendule Réclamant à chaque heure un instant de repos. C.LBF
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beauté
Fr De l'insoucience,
Rires pour exutoire.
e Janbes Longues racées, Chair rose en bas noirs. rfurs Manège e-
De ponmes rouges, 9 D'une vie, Ponscties en nilroir: Microsillons d'histoires. C.LBF
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P3s plus haut que Je voudrais être cet enfant
CE CESSE TPE ETES VONT EEE Tr actes
La foulant de ses petits pieds ! CRT MOTS CUS (CLS
Suspendu aux doigts de sa mère
Il suit les élans de ses peurs TETE CCR Cu Le gazon est un grand mystère
Quand de son index il poursuit
Une fourmi, un vers de terre, Et le chant du grillon aussi. CLBF ESRI EAN ET TE)
Il a de sérieux tête -3-tête
DER nee RCE ee IAE Cr EandoUR Vaud Souvent, assis sur sa planète,
De grain de sable en brin de mousse,
RAS LS ETES PT AE TT EU S NA TETE Alt A
PE ECTS Re AU
Que l’on voit dans ses yeux des pleurs CEE CEST PESTE
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CY dort paistblement, les petits poings fermés
Auréolé d'amour, ls paupières bien closes
iris noir de ses peux révent de mille choses,
OGoulevent un soupir dinnocentes pensées.
Un oiseau dens le nid si petit si fragile
Œntouré de nounours de lapins étoilés,
cé vie qui séveille en bourgeons printeniers
Œuand le sourire éclot au réveil des longs cils
Sens sa téte galopent dés lutins de papier
Ses manèges de bois aux licomes immortelles
SEébé ne le sait pas, il tisse péleméle
Sens lombre de sa chambre les fs dune journée. archet dun doux sommeil berce sa vie de rose, Transparence dopale sous le cabne visage Ge fondent tous les lacs et les cieks bleus dorages Œ@uau creux de son regard le soleil sy dépose. E EbF 4 septembre 2014
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Je me souviens encor’ non sans quelques souffrances,
PT AT TOE LR J E C T OTR CTTA Je connais ma faiblesse et en fais pénitence. Une tante pourvue bourgeoise de surcroît,
DIRES OT TETE TETE CT A AT M'offrant en fin d'année un livre à chaque fois. CARE AT TT CES
Me montrant des chemins où je vagabondais Collection rouge et or d'une illustre reliure. BUS CUT CRETE TT CE
Cherchant dans les feuillets où je savais glissé, Un billet qui avait une bien belle image. (OT LC OT ET LAS 12
Polychrome de ciel de mauve de lavande, Le livre était alors le plus beau des cadeaux. L'enfance avait ce goût amer de plaies de bosses,
De voyages enfermés derrière Les volets CORTE ECO OT CRT PO ET (012 Je devenais Gretel au fil de ma lecture
Abandonnant chaussons pour des patins d'argent, J'entrais dans l'univers des grandes aventures... Pampille Es
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ICE C'était une rivière impavide d'été, Où l'on pouvait quénin les Bleue d'adolescence. Sautant sun les rochers dans n00 jupons froisaéo,
Clisoaient noe jeux amis tunbulents d' innocence.
Douce était V'henle fraiche étrangère aux sandaleo,
Sous Le saule chagrin tout couvent de namuneo,
Les Branches se couchaient frélant l'onde Phuriale,
Quand d'ampleur ox tournure alondait de verdure. Si la Brice soufflait, se noyaient des bindilles,
Nous rendait snvoille, à no dagnine de Ple
SD 2 à Ün ain s'y promenait de paicible longueur,
| La brülune infinie d'un tout premier Baise. ERP et LBF
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Fruit défendu Ce banc au bord de l'eau quand fleurissait avril De mes jeunes amours en garde-t-il la trace?
De ma robe en corolle amidonnée d'espace De mes seize printemps savait-il le péril? De ces premiers émois la pierre solitaire
Me rappelle un visage ainsi qu'un noir regard,
Une main dans la mienne ef l'odeur de la terre, D'un baiser maladroit nous goûtions son nectar. Le banc près du platane a gardé ses marbrures,
Lettres senfrelacées cœurs gravés désuets,
De timides amours au parfum printanier, Fraîcheur d'une jeunesse courant vers le futur. Les souvenirs peuplent nos rêves de fantômes,
De ces secrets brodés, ourlés d'adolescences,
La mousse a revêtu le banc des souvenances Et du fruit défendu qu'à croquer on ne nomme!
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TR Le
il m'arrivait d'entrer en moi.
Je découvrais dans ce silence
Le monde des rois. Je contemplais les monts, En suivant les collines, Le sang des Pyrénées
PATIENCE
Et la fraicheur du temps
NAT OT ut Mes yeux se refermaient
PANANT UT ET UE TA
PAROI ORALE 1
OA UC Li CAO UT Cd Me transportaient si haut,
EPA TRUITE NP ALT
OT LOT ES
L'enfant illuminait le ciel, En moi était l'espace de l'aigle. Mes espoirs de moisson
M'arrachaient aux mortels,
Hors du temps, je récoltais le blé
Qui me faisait renaitre.. CLBF
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LES PRINTEMPS D'ANTAN CN ET OT 70
7722207 TS
TT TR ET ET ZE T2
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Où sont donc les saisons où nous nous habilions
NAT T7 2
COLE RIT TEE TT A
DT LOT 7/2
DIET TT
BI ENT ET
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Quand percer les nuages, Î fait du beau soleil
de violentes ondées. Alors que feuilles mortes
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DETTE I ET CO LE
CRT OT ET
CC ET EE 207022
PET CAT RO EN 707772
LRO ET OR TT DOTE L0702
BALE RE 77777 DR 7 £t des souliers vernis
ALT TT Dans les printemps d'antan... CLBF
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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Le potager a de la pluie
Accrochée au moindre CR
ENTER OS ET Que lCaurore mêle de rhume. La maison ouvre Ses paupières Claquements des volets de bois. Chacun sait que depuis hier
D LOT ET TU 2 ETATS TER 11710 TL Ian
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ouf dhscnets de y mémoire, CRE brand le cœur opprimé d'histoires Gift, bone nos denis.
énit d'émotions monotone. nee est lécorce de murmure Ou vit lême de nos sourires SISIIIIIIISISSSIIIIISS d ‘Vrrotent angoises. dutus, Te l'éelun mot quon ne dépas.
ECLEF
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Une saison désemparée,
Un toit pentu couvert de givre, Le soleil pâle plisse son nez, Furent les eaux de vapeurs ivres.
Sous son bonnet de laine blanc, La cheminée souffle sa peine ÆEn cumulus gorgés de vent
Poursuivis par deux tourterelles. Et ce manteau d'épais brouillard
Pareil au ciel couleur de neige,
D'ombres e:: jupons flous de dentelle
Tournoie au gré d'un vent frisson.
Mon corps s'habille de décembre,
Mon écharpe de lettres vole, Pose sur les sapins géants Les mots frileux de nos hivers.
Phrases rondes en boules de neige
Bulles de soie douces aux lèvres
Posées en flocons sur ia langue, Je boïs ta fraîche poudre blanche CLBF
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Cest PPT TIC quand de rose DATA QUI a ses vapeurs CUT (2 de WTA DUT CAR UT UT CE TTR Quelques larmes de pluie, une mine d'ardoise. étang traîne en remous la rouille de l'automne, Quand des branches cassées, flottille de ramures,
Œcorche l'invistble à dessein, déboutonne
C7 dormante brisée en milliers de griffures. Maïs le LOUT bercera la nature ainsi faite,
DU (RTC CAT EE Ts triomphant,
CT CP CR UC ÉTTUUs CTP AUTUE CNT TT RL ET LUE
nf] {a roche dure au lichen LOT
RCE TEE TT CAT IE (en:33
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LES MONTS BLANCS On dit dans la vallée, le vent nous le rapporte, Sur les pics tourmentés ou sur les blancs névés,
Qu'entre les failles siffle un chant de telle sorte, Que l'aube vient mourir sur les pentes glacées. Cime aux flèches dressées déchirant les nuages,
Couronnées de nuées d’immobile blancheur,
EE
L'homme aventurier recherche tes honneurs. A l'ombre de ses flancs chaque pas est atout
Pantin tout disloqué suspendu aux ficelles
les bras écartelés comme en croix tu te cloues, Aux affres du blizzard, la parois devient stèle. La montagne à des fils sous son linceul de glace,
Quand la coulée d'écume au lointain glisse et gronde,
L'azur qui la caresse lui offre ses espaces Et la terre à ses pieds ses racines profondes. CLBF
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MOIS Janvier a grelotté sous un
Et déjà février se couvre
Le soleil a pointé quelques
Alors que mars approche a Ne te découvre point, hurl
Je suis ce solitaire, j'aime ji
Mais je sais bien que mai
Le soleil a sur lui des effe De juin j'attendais une
Œt puis le temps s'est mis à
Il revendique ainsi sous un D'être cet infernal qui fait Juillet s'est mis en tête d'e
Il a 6rûlé la peau, Les cham
Sous les étoiles d'or, Le ciel Vois sa voûte meurtrie tell C'est l'été sur les champs Les 6!
Août osé pleurer sûremen:
Il hoquette de pluie attiré p. Se sent désenchanté, “voilà qui File septembredoux ! Belle a
Des vagues de la mer à la -fraîc
Laisse octobrewvenir. Ne brus.
Lui, saura dévêtir la plus belle
Alors novembre sec comme un c
Allumera des feux ;Jamaisilne
Œt son double glacial son frère Décembre ;levingt-cinq,-je.vo
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Le potager a de la pluie
Accrochée au moindre CR
ENTER OS ET Que lCaurore mêle de rhume. La maison ouvre Ses paupières Claquements des volets de bois. Chacun sait que depuis hier
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UN PIED FIDÈLE... Vois-tu ce feu lointain qui rougeoie l'horizon
ÉCNTUT CEE NORTON CEST SITES
LEE CN TRUEN TRUE TT EE Ne) Este
Forêt du nouveau monde, ta beauté nous inspire.
Au calme des grandk lacs assoupis de mouvances
Se noie ta chevelure aux ramées enflammées,
Ainsi que tes reflets vêtus d'extravagances, Sous un ciel bleu de mer, tes eaux sont enchantées.
Semblable au champ de blé que le zéphyr caresse, Prémices d’un concert, silencieux, abyssal,
Ton rideau flamboyant s'étire de paresse, Ondulant sous le chant de ton voile oriental.
RU reed e UE ee CN pelle Peint dans chaque forêt, dès l'automne venu
CETTE TR TETE TEE AA ere Qu'un hiver sans écho de blanc sera vêtu
Mes pairs sur tes sentiers ont foulé tes rivages, Au bord du Saint Laurent repose quelques stèles,
RE re ET eee one en A nets NA le (TA LE Te OA Sur tes immensités poser un pied, fidèle. ur
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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nl jt CE22777777247722 El mo faut pour combler mes vœux,
CAy milieu de vertes prairies, V. À Dosañon, CAT
CET C7 Couver pour mon denier amour
LACET TLA 1202 777277272770
aime à goûter à cote enfance CAL TI 27777702 CLBF
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ONE TEA LER AE CLIC (CRT TEL SITE IT Te
Le LS (Tu dijà PAT Te plus [PTE OS
Ft l'aube sortira du sein noir de la nuit OUT PU de froid, somme toute fort beau. Sois IPTC CI0 PAT ELA EPA UrT (2 morsure,
NCA ne vont brûler [US T's LA LAUT bénis
DE CTIRELOT a TEETLLS pures, LI? PRTENICIETTE POUPEE t de l'or sans pareil, octobre sait cela,
de l'or sans pareil, octob r
uand l'érable rougit tel un feu de bengale
HÉTT C CET
enaît un paradis que peindrait l'au-delà
PILOT LUE er (IE ou PTT quant aux nues! LT TER OL 17: sangloter au sommet des LULIOT LI
DO des reflets du PIE COTE LT
Qu'un vol cendré de PL CU in PTIT LT NOT: le matin, poussant voiles aux vents. NÉ Cr LUE TU CE ART UT Lee PA
(C2 OI OT TOO dans ta forêt d’ éden ACT soupirs CRT TL A en voir CE ULER JE retiendrai ma peine. CLBF
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Bonne ausée bonne année bonne année bonne année bonne aaséc bonse anaéc bonne oasée le
à
k
F
k
F
k
F
k
F
Une année mes ami ; Que le lemps passe vite ! ë
Noël sen et allé, je n'en cicù pas mes yeux: F
Le n'ai rien cublié, bien souvent je médite ee i
Su ces rues éclañées illantes de leurs feux. |
Suraës- je lan véeillé que les ans me amènent F
is i
Ce temps que je vevis ressemble à la tendhesse. € Ê k F k F k F À F k F k F k F È Fapet dans le grand boë où les haches éennent JL coupé un sapin dans la forêt des landes Devant le fou éteint dans la chambre aux fleurs jaunes
Des cdeurs de résine el de fin se répandent Dans le lit il fait chaud au célé de *Mametke? Je peux voùr ma galeche avec son bout car, H m'a fallu cracher dessus, pour éhe hennéte,
Ales yeux biillaient tien filus que mon hète soutéer. Éblce cela am qué fait que l'on s égare,
Dans Les némées feuhés de ces edeurs d'enfance, De nous en éligner veva-ton mieux ce phare } Du nous raffreche ainsé d'un temps sans comflaiñance.
CIBF
Bose ansée Bosse ansée bosse ansée Bose anaée Bose anaée Bosse anaée lonse ansée ansée bosse anaée bonne année bonne anaée bonne année bonne anaée bonne année Bose ansée bonne anaée bonne ansée bonne année bonse ansée bonne anaée bonne ansée boase bosse ausée bonne anaée bonne a!
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Bonne ausée bonne année bonne année bonne année bonne aaséc bonse anaéc bonne oasée le
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Une année mes ami ; Que le lemps passe vite ! ë
Noël sen et allé, je n'en cicù pas mes yeux: F
Le n'ai rien cublié, bien souvent je médite ee i
Su ces rues éclañées illantes de leurs feux. |
Suraës- je lan véeillé que les ans me amènent F
is i
Ce temps que je vevis ressemble à la tendhesse. € Ê k F k F k F À F k F k F k F È Fapet dans le grand boë où les haches éennent JL coupé un sapin dans la forêt des landes Devant le fou éteint dans la chambre aux fleurs jaunes
Des cdeurs de résine el de fin se répandent Dans le lit il fait chaud au célé de *Mametke? Je peux voùr ma galeche avec son bout car, H m'a fallu cracher dessus, pour éhe hennéte,
Ales yeux biillaient tien filus que mon hète soutéer. Éblce cela am qué fait que l'on s égare,
Dans Les némées feuhés de ces edeurs d'enfance, De nous en éligner veva-ton mieux ce phare } Du nous raffreche ainsé d'un temps sans comflaiñance.
CIBF
Bose ansée Bosse ansée bosse ansée Bose anaée Bose anaée Bosse anaée lonse ansée ansée bosse anaée bonne année bonne anaée bonne année bonne anaée bonne année Bose ansée bonne anaée bonne ansée bonne année bonse ansée bonne anaée bonne ansée boase bosse ausée bonne anaée bonne a!
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Je me souviens encor’ non sans quelques souffrances,
PT AT TOE LR J E C T OTR CTTA Je connais ma faiblesse et en fais pénitence. Une tante pourvue bourgeoise de surcroît,
DIRES OT TETE TETE CT A AT M'offrant en fin d'année un livre à chaque fois. CARE AT TT CES
Me montrant des chemins où je vagabondais Collection rouge et or d'une illustre reliure. BUS CUT CRETE TT CE
Cherchant dans les feuillets où je savais glissé, Un billet qui avait une bien belle image. (OT LC OT ET LAS 12
Polychrome de ciel de mauve de lavande, Le livre était alors le plus beau des cadeaux. L'enfance avait ce goût amer de plaies de bosses,
De voyages enfermés derrière Les volets CORTE ECO OT CRT PO ET (012 Je devenais Gretel au fil de ma lecture
Abandonnant chaussons pour des patins d'argent, J'entrais dans l'univers des grandes aventures... Pampille Es
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Devant notre perron, dès que Pâques sonnait, Dés qu'un rai de soleil réchauffait {a maison
Face au cactus géant, aux daflias empourprés
C'était à chaque fois, à la même saison £e même rituel ; trouver l'endroit rêvé Pour que son « destrier » ne clopine du pied. Pépé, le sandalier, posait son chevalet, Comme un bon écolier ilrangeait ses outils, £t à califourchon sur le banc patiné Formait une spirale de tours à l'infini, Tournant dans tous Les sens la corde ainsi roulée, Caressait la semelle qu'il venait de former. D'un rond sans intérêt par quel miracle alors,
Se formait un talon et {a plante d’un pied?
Æntre pouce et index maintenant les deux bords, Resserrait au trois quart la chausse ainsi tressée De dessous l'établi nous jetant un clin d'œil
Æxtirpait une alëne et brandissant l'épée Jouait au mousquetaire, brassant l'air d'arabesques.
De peur qu'ilnous embrochñe on s'enfuyait du seuil.
Et nous courant après, le bras chevaleresque, IL s'arrétait tout net devant l'œil de mémé! Ilriait de bon cœur quand dans Le seau d'étain,
Ilprenait de l'eau fraîche dans le creux de ses mains,
£t non sans nous montrer son épée de fortune
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Reprenant la semelle devenue dame lune. Ronde comme un ballon, recommençant l'exploit. £a semelle naissait.. Pampille
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m'assoir sur le vieux mur L'écho des solitudes vient peupler mes regrets.
C'est là que par temps gris je viens revoir l'azur Celui des jeux d'enfants de mes jeunes années C'est au milieu des bois sans doute par soucis
Que grand'père et grand'mère sans argent ô combien
Savaient pouvoir cacher leur misérable vie Car l'on manquait de tout sachant manquer de rien... La terre les tenait en grande affliction
Donnant ce qu'elle pouvait sans être regardante,
Loin dêtre des terriens, forts de leur distraction, Poules, gentils lapins avaient vie trépidente.… Chaque vacance offrait la fraiche odeur de crème
De maïs égrenés et de café au lait,
Nous allions dès six ans mon frère et moi-même Le carnet noir en mains voir le vieil épicier.… Mais le soir sous la lampe près du poêle rougi,
La richesse mettait ses habits du dimanche.
Elle avait un doux nom, anodin aujourd'hui, Sur la table trônait l'Amour en avalanche CLBF
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D Prat C3 DO ra CAUSES CPS CT EU HE CUS os ng LACS pas, Jete voudrais LAN COUT ‘eg nn d' CLS Loue C2 toit CEA que j APESOie Le ro 25 mars 2015 _Œ Er LOUE Fr ET refage
CAO TETE mémoire qug je laisse CAT : NZ cr la mire a KA CNTES RULES : Je te Ne FETE Fe cogur. Lis FA LUE te LLI2 72 PETER NI I) ER Lg.cogur eèdg au silgneg. émergganeg d'antan
D'où s'évadent dgs noms remontant des abysses CRT NE AU EU CC eue UE
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Je vous revois, tantôt couchés dans la charette,
Les foins en son milieu cachent vos silhouettes,
La chaleur de juillet endort tous les enfants,
Les hommes en sueur et les femmes devant. Sous l'ombre du grand chêne, dévosons nos paniers
Un torchon de ln blanc pour la miche dorée Le ruisseau qui servente rafraichit les boissons, Les bottes une à une Seront belles moissons Là-haut sur les sommets la brume est répandue,
L'orage plie le ciel, les corps sont fourbus, On voit passer au loin des nuages pluvieux,
Hâtons-nous de rentrer, écoutons les aïeux. Une pluie de saison rafraïchissant la terre, Les corsages trempés nous collent à la peau, Les garçons ont les yeux comme de vrais Soupières,
15 se poussent du coude et rient dans notre dos. Une journée s'achève de labeur éreintant
Sous le ciel délavé les nuages s'étirent, £t dans l'air purifé le slence soupire,
La faux dessus l'épaule, la lèvre siflottant. une journée aux champs...
CLBF
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CORE LA VIE... és que moi, je bosse. W ‘occupe des gosses,
[voyez PRTUT a LA
AA OA AT O2 ON L TR LAZET 2
PO Tee TA TA
COUT ETAT TA
à battre la campagne. | toutes ces chemises, | bout attend la LA | L'ordre régnait ici,
serait-ce un tsunami ? | CP SE REA
LL Le sommeil,
STE a A mais pas eux, Le divorce! CAR LT RCD LT A
avec ce lourd bagage,
la vie parfois cruelle,
quand le destin s'en mêle endre BAL UT TETE TE TES et puis il y a les mots,
toutes voiles dehors,
me ramène au port. a A0
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LA CLE DES CHAMPS... C'était il y a longtemps. Cachée au fond des bois
Une maison pareille à un château dormant.
C'était du pain rassis et du lait que l'on boit
Avec au fond du coeur l'amour des grands parents.
Je veux dormir ce soir sous l'oreiller des ans.
Sous le toit délabré d'herbes folles courants,
Je dois fermer les yeux pour traverser le temps Pour revivre un rêve, oubliant le présent. Mais chut ! Le soir sent bon le chaume et la lune bien seule
Sous le grand ciel voilé devient couleur d'opale.
Tremblent les branches nues près de la grande meule Imprégnant la maison d'une odeur animale. Mon ciel bleu se balance entre mer et montagne
Ma terre, doux berceau, parfume la campagne.
Dans l'azur couronné les champs blancs de gerçures Rejoignent l'horizon d'étincelante armure. S'ébroue la maisonnée tel un chien hors de l'eau,
D'abord l'étable aux boeufs tremble dès qu'il est l'heure,
De leurs naseaux luisants s'échappent des vapeurs
Qu'un brouillard hivernal entoure d'un halo
Dehors tous les sillons traînent leurs creuses joues
Et de glèbes en glèbes la taupe court les trous...
La paix erre tranquille au beau milieu des champs Entre étourneaux joueurs et merles élégants. Parmi d'âcres parfums, piquée de certitudes
Cette maison attend: une vieille habitude
Qu'elle a de retenir le chant des noirs sabots
Ainsi que tous les sons pour s'en faire l'écho.
Je vis dedans mon rêve et me dit: c'était bien Quand pépé me prenait par la main le matin Je sais qu'il fumait trop, je revois son mégot Entre ses dents jaunies, ombre de marigot. Je dormirai ce soir petite si fragile,
Avec au creux des draps la chaleur de cette île,
Avec la clé des champs j'ai ouvert ma mémoire Recueilli les douceurs d'une très vieille histoire. Pampille
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LES WEUX COTTON ET OT ET S0 10
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Ce sont encore leurs yeux fenêtres de leur âme Qui pétillent un peu dès que coule une larme.
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Ne vous y trompez pas, l'âge est indélicat VAE TN 72
ACTE TE CT 772 TER ON LT EC O7 Pampille
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Je n'ai pas vu passer les mois ni les saisons
Ni le temps sur ta peau au fil de nos moissons,
Je n'ai pas vu l'aurore se mêler aux chagrins Je surveillais les champs, le blé et notre pain A faucher la misère dès le petit matin
J'ai gardé les sillons dans le creux de mes mains
Dans l'iris de bleuet ou je lisais tes larmes Le soir tout près de toi je déposais les armes. Ainsi les jours ont fui pareils à l'eau de source
Abreuvant notre terre tout au long de sa course
Tout comme ton regard sur moi toujours posé J'ai bu à ta fraîcheur autant qu'à tes baisers J'ai vu pousser ton ventre comme une graine mûre,
Et suivre sa douleur fut si dure aventure, A recueillir le fruit de ce qu'on à semé Reste à jamais la terre où je veux reposer. C.LBF
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L'espoir n'existe pas c'était un mot d'enfance
Que nous avions au cœur comme une floraison.
C'était un jardin pur de folles espérances Les ans dessus les ans en ont terni le nom. C'était une comptine traînant un peu des pieds
Dans un jardin d'amour aussi léger que chaud,
Quand je voulais gravir les marches d'un été Aller encor’ plus vite, aller encor’ plus haut. L'air était transparent pareil à l'eau du puits,
A courir dans les champs écorchant ma jeunesse
Dans l'herbe du savoir qui jamais, lui, ne plie Nous pouvions tous pencher la tête de paresse. Frêles épis tendus, fiers de leur espérance
Orqueil de maisonnée nous étions ses enfants, Œt mes rides sont là pour parler de vacances, De ces jeux interdits qui font qu'on devient grand. Devenue cette grange où dorment les esprits,
Suspendus à des faux, aiguisées par la peine
Il sufftrait d'un rien pour que je les oublie
Maïs je suis ce maillon qu'un espoir seul enchaîne. CLBF
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RETENU TRE
ERREUR ETC A
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ans la douce pénombre peu de rapons pénètrent, CTI EAU NC OTRTTETE
CITROEN Réchauffant l'édredon et Le froid papier peint.
CETTE CUT CRC TETE ETC A TRON TUNER ETAT AUX
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Ce christ à la peau nue sculptée au coutelas Dans l'immobilité d'une bie éternelle,
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Qui abait à l'instant frôlé l'intemporel.
L'âme de grand maman sur les monts, les rivages,
EROTICA
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CARRIER ÉTAT UNION
Assis devant sa porte, pleubent les Soubenirs,
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La nostalgie s'était agrippée à son âge
Les yeux dans ce miroir, derrière sa fenêtre
Espérant retrouver l'ombre d’un paysage, Elle dénouait sa vie, la faisait apparaître. Le passé s’installait bien après le souper,
Nous avions ce moment attentif à son cœur
De ses cheveux argent aux fils de ces années Elle s'était tissée un semblant de bonheur. Elle déroulait son rêve comme un tapis d’orient
Patchwork qu'elle cousait de pensées idylliques,
Et de la voir sourire alors au soir tombant, Le jardin lui offrait ses moments de musique. L'espérance à encor ouvert de vieilles portes,
Derrière le carreau, le fauteuil aux pensées
Faisait fleurir ses foues de rosée, peu importe, Les larmes de grand-mère étaient de beaux camées C.LBF
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Vieillir est une insulte  disait mon père alors âgé de 91 ans
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Je mets dans ta musette, des choses indispensables.
Un kilo de souvenirs, des morceaux de présence.
Des litres de regrets, des fagots de photos, Des colères rentrées, des mots sans intérêt. DST R SA IS Ai eu oi EE NE T4
Dar etant trente RAI
Prendre en potion magique et cela tous les jours
Un verre d'élixir contenant de l'amour, J'en mets à l'infini, pour des moïs, des années. À consommer tout de suite avec modération ,
PAT ET SE RAS Sent A
Étienne (SARL E Te SR CAN DCE NT Re SAIS 01 MN 4 rat À mon père né le 20 mai 1919 EL LI
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TOM 2 & TEMPÊTE _
à 28
Due WE VIN NN Les javelots de pluie ne cessent de braver
Mon bouclier d'averse, mon arme parapluie,
Quand les cieux en colère déversent leur furie Mon chevalier est là, fidèle, dévoué. Secoué, malmené, il ne craint la tempête,
Et le long des trottoirs sa toile flotte au vent,
De murmure en colère les gouttes font un chant, Clapotis bien rythmés au tempo de claquettes. Mon ombrelle d'hiver oscille tel un glaive,
Voilà qu'elle vacille à la croisée des rues,
Le taffetas léger attiré vers les nues A retourné sa veste. Il nous faut une trêve! Combat bien inégal, le parapluie supplie,
Terrassé, malmené, percé de toute part,
Large est sa déchirure un vrai coup de poignard, Le chevalier de l'onde se meurt dessous la pluie. Fanpille
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ER RE D TODE D PN IE
(Eat un temps nagfagé quise pad la ti.
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(CARPE TL TE 2772
Ce sais là des pigeons que Conde seule hante,
Quand rucoute leur chant tout au out des cheneaux
ERP TE T7 72 1122772
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COCA LE 7 2
Éerait-ce un temps de chien ou d'oiseaux, ctseton !
Genblable aux jolies flurs ouvertes au matin,
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(CUS
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Est-Ce que mes sources sont moins Vives,
Est-ce que je cesse de couler ? DE
Printemps eu m'as die de chanter Alors je Chante...
Est-ce que mes vagues se lamentent
PLUIE Est-ce que le nuit est mon amante, Hiver tes courants sont retors ? Alors je nords… C'esttoi le temps qui nous commande
parfois on en redemande Par tes humeurs d'adolescent Pa
Tufais la pluie et le beau... CLET
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C'est un matin d'ailleurs, l'orage est snpendu,
Et s'il gronde au hasard hurlant avec ses armes Pour décrocher du ciel des flèches et des Larmes il LL des AURGES de EE 0 attendus . Cr TT QT (0720022007 En
Gui habillé de grâce tisse enfin sa magie.
rar rar CT TT CRT STE Arte Eveiller La DL de cette heure CO LL C'est une aube trop pâle, maquillée d'imprévus,
Où l'on peu sans LE LCA rêve est divin,
Reconstruire sa vie suivre tous Les chemins Les yeux à demi-clos sans plus de retenue. LICE COUT TPE TE NOT) CORTE OU CNT 0 00100 0 1000 00000 NET EU
ROUE PTT ET GONE CPR TS
Ma toile insi filée je regaqne Les nues. CLBF
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Le jour blanc se levait à peine sur la plaine,
Des gouttes d'eau tintaient dessus la pergola.
J'entendais la rumeur d'un orage de haine Et le ciel noir semblait recouvrir tous mes pas. Le poids de sa colère courbait ma frêle échine, Ainsi quand je marchais, cernée de toute part, De ses lances aiguisées, la bourrasque assassine Faisait de l'aube grise le plus fort des remparts. Quel vent traitre et obscur venait troubler juin
Qui, là-haut, dans les nues ordonnait la cabale ?
Aux mains des trombes d'eau, je devenais pantin, Tenu aux fils de pluie d'invisible cristal. Le faux vent de l'hiver sifflait entre les branches.
Qu'était donc devenu le printemps des beaux jours,
L'air tiède de la mer qui faisait nos dimanches ?
Espérons de l'été qu'il ne soit aussi sourd...
C'est un nouveau climat qui fait que l'on grelotte,
Que le pull des grands froids côtoie le lin léger,
Que sandales de corde se pressent contre botte
Au placard des saisons, étouffent les regrets... CLBF
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TC) CRTC EEE USENET
sets F TEE Et ct A Ste PETER ELU pleurer. Deux complices sans foi ni loi
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CE re Laisse Le ciel'en deuil perplexe. RSS EEE ET ENS
arf TR EE ETS Ne re tire son rideau noir,
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IEP ETC EE
RE RO D OPEN E EE qu'on dit. Ïl fait rage autour des maisons
DATE part et de partout,
[OPERA TEE Vient de mettre l'homme à genoux. CIBF (Civic diemolles cles aan ommeens LAC
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Elle coulait lentement au milieu des forêts Les arbres se penchaïient sur son onde paisible,
Semant sur son passage quelques feuilles dorées
Dessinant des soleils, des cercles imperceptibles. Elle filait docile, les barques l'égayaient, Les rayons du soleil sur Les femmes rayonnent,
En milliers de facettes [a rivière coulait Clapotis de musique que les rames fredonnent. Elle devint lavoir au soleil de l'été,
Sous de longs oriflammes qu'emportait Le courant,
En traine de mariée au milieu des galets Des draps blancs serpentaient dans ces bouillonnements. Hélas toutes saisons ont leur lot de misères,
Venue droit des glaciers [onde devenait loup,
La rivière si calme s'emporte de colère Déborde de ses berges quand l'hiver devient fou. CLBF
27/06/2011
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Ce mois n’est pas fait pour l'oubli,
Il ne nous laisse aucun répit,
Partout des ombres qui s'ennuient Chassent le jour, glacent la nuit. Les murs ont des pleurs aux fenêtres
Des sanglots longs qui les pénètrent
Ô pluie, tes fils qui s'enchevêtrent Versent des nausées de mal-être. Une accalmie, un doux indice
Entre les nues, couleur réglisse
Poursuit le vent, grimpe, se hisse Sur un petit rayon novice L'instant est troublant de lumière
Etranges cieux, étrange terre
Qui déployant son arc-en ciel Ouvre une voie cérémonielle. CET
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UN CERTAIN ne Le Pays basque intérieur immergé RETIRE CT NET 4
Qui ne pouvaient poser leurs ailes
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Chaque feuillu dans le bois sombre
Recroqueville son dos nu
CORNE TER EE T0 De nuages gris méconnus. SE
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De ramures au vent CT AAA
Cette folie de la nature Me rappelle un certain Noë... IL
J'ai vu un champ tel une mer
Roulers ses rictus de douleur
Cueillant au passage l'enfer
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Le ciel se meurt a petits feux
LÉCLOATT AA TT ATA) Qui changeront ce temps affreux, CLBF
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Le ciel s'assombrit lentement
Le volet claque en contre-bas,
J'ai un mauvais préssentiment
Le temps s'apprête au combat... L'air est si lourd, brûle la peau,
La nuit se pose sur les champs
DIT IC TC AUTRUI UT
Nous vient de loin comme un écho. Les oiseaux regagnent leur nid
DCE UCI UCI UT Le ciel si bas coiffe leur lit La peur s'installe brusquement Au-dessus des nues on entend
L'orage aux gammes atonales.
L'édredon de nuages s'étend
ARTE OL RAA LT AA L'air n'est plus qu'épaisse moisson
La colère du temps ségare D'un souffle lourd en tourbillon
Branches et tuiles vont au hasard... CLBF
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