Attente infinie

SAMPENTE INFINIE ge ne me plaindrai pas des heures «solitude»
Par cet éloiénement l'amour est infini,
Vous avoir près de moi serait pâle habitude, Et de cette infortune je remercie la vie. Eux se disent heureux quand leurs lèvres se touchent,
b'amour devient banal s'il n'a plus de mystère, 11 laisse fuir le temps abandonnant leur couche, L'un près de l’autre assis deviennent solitaires. Comme un papier de seie, Comme une fleur se froisse,
Çe doux frémissement quand nos reéards se croisent
Quand nes doigts emmêlés vibrent et nous défroissent, be cœur empli d'amour danse d'embres chinoises. Vivre de cette attente et de n'avoir jamais, Un tout, une entité pour (ombler cette absence,
Çe nourrir d'un reéret pour mieux l'appriveiser (ette brûlure là fait notre différence... CLBF