> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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Je vogue dans ma tête, le vent du Libbeccio”
Partant prompt de la Corse pousse vers l'Italie
Dont les lacs des montagnes se jouent du Tivano”.
En traversant les mers par grand vent de Suroit”,
J'arriverai un jour où souffle le “chinook”, Des montagnes rocheuses dont je serai le roi. Et dans cette Amerique si loin de mon igloo
Juché sur un cheval je poursuivrai le loo”
POSTE ICT ARE LOT EE CETTE AO EE RATS TETE A Dans le massif central aux volcans millénaires
Séoit le vent d'hiver qu'on appelle le Cers”.
Je suis le moussaillon d'un bateau de papier Le ’zéphir” me pousse aux rigoles persannes
J'entrevois le Simoun” au désert des sultanes.
A7 PT ET CA TEA 0 A Je quitte mon radeau solide comme un roc,
”’Tramontane” poussant sud-ouest bas Languedoc
Vent sec et chaud j'accoste là où je suis bien né,
L'Hégoa” me transporte aux pieds des Pyrénées. CLBF
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777 7 TA Fe se cabre, rugit, revenant Sans cesse,
Se creuse de celère, s ‘enfle en mugissant,
Prursuit Sa course folle, Brave Ja forteresse M ca x
De ses dents acérées s attaque à ses flancs Éiôre, PT tous Les temps, cefère eu grand vent,
La falaise stoique impose sa droiture,
Souveraine frontière face aux éléments Résiste aux _grondements etè ces ferfaitures. Pa mer depuis des siècles voudrait sauter S'ebstacle,
ranchir Jes roches abruptes de toute sa fureur Dous des .gerbes d'écume répète sen spectacle Üentant d'escalader l'immense inquisiteur. Mais une main divine en décide autrement!
La muraille ne cède sous aucune tempête, Ta queuse a refoulé ses armes en dedans Dépitée den ‘avoir pu atteindre Je fete. CF
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L'AIGLE DE FEU Dans la robe d'azur apaisant ses brûlure
Les vagues de frissons l'appellent, le rass
OT ECC ET SCT T0 UT a.
a LR OR CET
Mon être entier reste songeur. Dépos
Tel uno La nuit au fil du temps rappelle ses ëi
Sous les vagues d'écume le soleil tel un sq
S'accouple à la mer et chaque soir succombe:
Il se sait éternel, renaissant de sa tombe. endormira sa douleur... Quand l’astre au petit jour repeint sa chevelure
DE D OR TO ARE TES EEE Le crépuscule éclot, il jaillit de cétte ond ae -
NOTE PT LL LE me
VAT AE TT 2
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ÈS LRU NC 022 572251000770
Ses lames déferlantes ont brisé leurs remous, €t son armés céleste a étgint tous ss f£ux, re GITES ET ER ECNTEST GENE NUS ere 17 2 a D Tout bruit a disparu l'espaeg d'ung nuit,
L£s songes garderont l'amgrtumeg de l'âge,
(GET TETE TER ENTER OA UNE NAT IE Pe nos douleurs si vives tatouant ss rivages. Lentement sg déploig, froidurg solitaire
Ung flotte sans mg rechgrehant son étoile
La tempête s'éloigne en veuve passagère, Ses rêves illusoires gonflent encore les voiles. LENÉETO ER BEEN 2 1/28 EN
S'entrouvrir l'horizon qui réehauffa mes yeux,
J'aimg encorg naviguer au bord dg son langage J'oubligrai 1£ ehenal qui mêns aux adigux. CLBF + + Rs +
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Dans Lagonie du jour Quand La nuit se blottit
Jvre de teintes grises Dans Le lit de la mer; Qu'une faible lueur Dans Les plis en 22475. 7 Dansule cel harmonise, Aux crêtes alourdies. Lestastres alentours De colliers ebdevaques Se voilent de pudeur. S'endort la minaudières DT COLLITRS IT DT VAGUES PT AL LE TL BTOTLIR/2 2772112 BELL PET La nuit en contrejour ÆFclairent Le tableau CAT TI Z AE TI ZA BALE Tg C7 T7 CS
L'aurore en pirouettes L'œils ouvre à ses merveilles, WATT 7772 Regardez! [fait beau.
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EL CT IN CET ER ETEEOETE
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if Roule, roucoule, s'enroule, CURE ES TRES TITA Limpide, gracile, fragile Candide, si fluide, livide. EVA L UE LOE Za TA EVENT Puissante, ardente, hurlante. Poursuit, séduit, s'ennuie !
dE} IA DATE ATOS ET A Divague, zigzague en vague, De plis, de cris, de suie, Au bois, sans voix, dix fois, Trainante, vivante, présente, DES ENT AREA MOT NT AT AOL LA DATANT TS 71770 V PARTIR ALAN T4
D'hiver en verts éclairs,
D'amers revers pervers, Font vagues buissonnières … Crea
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Aux tempêtes voleuses sur chants prémonitoires
Il naît au cœur des mères un malheur bien ancré,
Les embruns lourds d'histoire éveillent les mémoires Figeant le temps présent dans le flux des marées Elles vont deux par deux comme des ailes sombres,
Au bout du promontoire, interpellent la mer, Cherchant à l'horizon le moindre voile d'ombre Qui sur Les flots hurlants cracheraient leur misère. Femmes du bout d'un monde, enracinées de terre,
Dans les yeux délavés s'abritent vos escales
Tel un été serein brillant d'un feu fatal S'inventera l'espoir aux sanglots d'un calvaire. Indulgentes falaises où cognent les délires
En lames éventrées que le large envenime,
IL n'est ombelles chastes aux murs de vos soupirs, Dans le choc aérien ou vient naître un abîme. PERS
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Pluie d'ombelles…
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Pâtes escales de voyages, Pt galion, pousse l ettance, Parle & temps sun À visage Ce proue fait face à linconstance Tue ondulée de nos mivages. D'héroiques marées d'espérance
Éélons creusés par nos teneurs its d'Évte couchez ls ven
Lames de fond, lunes de cœur, Rangey colere, siflly doux chant
Par tous Les vents venus d'ail Éous Le jévhge de vo printemps
(Goute le flot de nos eneurs. ('oucre llerizon dun couchant.
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& Der
Œt Ges Falaises Quand le soir se fait doux, je longe les falaises
La brise m'étourdit, fait trembler les genêts Et pour ne pas sombrer, alors que je m'apaise
Je dois de ma souffrance n'en voir que la beauté. Tes écailles rocheuses s'enfoncent dans la mer
Feuilleté de calcaire d'où s'éffrite le roc, Tes vagues à ses pieds se joueront de tes blocs
En gerbes de dentelle éclate ta colère. Mon coeur alors implore le coucher rougissant,
Suppliant l'accalmie de mon corps éprouvé, Mais tes flots de morsures s'arrachent aux hurlants,
Les cris de ta puissance ont la douleur d'aimer. Mon esprit envouté sous la brume naïssante,
De mon rêve insensé troublera la fusion, À ne pouvoir aimer en véritable amante, Je t'aimerai alors sans aucune raison. Comme la mer inexorable … CLBF
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LA MER AMERE L'homme a peint des couleurs sur Les roches grisâtres
PART TR ET TE ES TT
Recouvrant le granit de son écume albâtre Dans un jaillissement de nuptiale beauté. RAT TROT ET TE Mr 2 AR A 1e
Ligoter ses furies, maitriser ses remous Les vagues en harmonie glissent vers leur trépas
PURES ITR A TO ETS La mer viole le sable et s'accouple rebelle
DNS TS AT IE ITS
Se retire, fébrile, en mousse de dentelle
Ces allées et venues accentuent son désir. BOT TAN A CUROTETTTET UET11/2
Ronronne en clapotis, fait danser les voiliers,
YA SR ET CT RO T TE ETTITT
Apaise ses fureurs sous la lune bleutée. La mer est une amante, où se perd le regard
PARU EN IOEATE EETRITR CENT)
PORTAIT I ATEN Tr 2 Eole alors jaloux vient lui fait sa cour... ŒBF
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Je vois danser au loin dans un ballet mouvant
DÉPOT CL TE TIC CES
Comme un drap de lin blanc secoué par le vent
Faisant rouler des flots de mousseuses fougères. Sur ses crêtes pointues de squale affamé
Elle aspire le vent entre ses dents d'ivoire,
Le murmure de l'air s'imprègne d'eau salée
En diaphane blancheur savoure sa victoire … ARR TT EE et ET ES te
CAO EE D RE I on
CPE I TT Te
EME EE ETS Le ciel tout à sa gloire la couvre de nuages
Pound tu das eter a I a LCL
Elle se joue de lui le mettant en colère,
PORT ET PU TN OUEN TEA CLBF
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La Mer à des Colères que la lune réprouve, Le vent file sur l'eau Comme un surfer ailé,
Do TES CET ET 2 TA D'écume +riomphante, hurle Comme une louve. PAC AT ONCE PO 1 7
S'élèvent et se brisent d'éclats de porcelaine,
LEE Op CT ON 7 ON CO ES Qui s'offrent aux regards en gerbes de fontaine. PARC TROT COR CONTE ETS
Rouleaux fous en furie, roulements de tambours,
RIT 0 70 ON COTE OT GI EC Tandis qu'au loin très loin, d'autres attenden+ leur tour. C-LBF
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AU VENT MAUVAIS... Comme un voilier sur l'atlantique
Tranchant telle une lame d'or
Meurent les ailes du condor Dans un désordre accrobatique.
£e cou tendu vers l'horizon Planent ses voiles volcaniques
L'Aquilon creuse des sillons De sa colère allégorique.
Sa fureur porte des cols blancs De dentelles et de guipures, Le rapace emplumé de vent Couvre la mer de forfaitures
Repus d'ivresse au temps mauvais
Les vagues, éternelle anaphñore
Dans l'aire du rapace ailé Domptées se couchent à l'aurore... CLBF
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Floraison d'écume ….. En vague d'azur et d'argent Pareil aux lèvres qui s'unissent
La terre et l'eau timidement Sur la grève s'épanouissent. La mer soulève en tremblant,
Ses sourcils de blanche dentelle,
Quand la colère des brisants Pousse le vent à tire d'aile. Ecoutez ces vagues ailées
Le grand large gonfle leurs voiles,
Et leurs chants aux larmes salées Eclaboussent le ciel d'étoiles. Une à une perlées d'or rose,
Floraison d'écume illusoire,
Sur l'onde pâle en miroir, Des milliers de lumières éclosent. C.LBF