> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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Le potager a de la pluie
Accrochée au moindre CR
ENTER OS ET Que lCaurore mêle de rhume. La maison ouvre Ses paupières Claquements des volets de bois. Chacun sait que depuis hier
D LOT ET TU 2 ETATS TER 11710 TL Ian
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ouf dhscnets de y mémoire, CRE brand le cœur opprimé d'histoires Gift, bone nos denis.
énit d'émotions monotone. nee est lécorce de murmure Ou vit lême de nos sourires SISIIIIIIISISSSIIIIISS d ‘Vrrotent angoises. dutus, Te l'éelun mot quon ne dépas.
ECLEF
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Une saison désemparée,
Un toit pentu couvert de givre, Le soleil pâle plisse son nez, Furent les eaux de vapeurs ivres.
Sous son bonnet de laine blanc, La cheminée souffle sa peine ÆEn cumulus gorgés de vent
Poursuivis par deux tourterelles. Et ce manteau d'épais brouillard
Pareil au ciel couleur de neige,
D'ombres e:: jupons flous de dentelle
Tournoie au gré d'un vent frisson.
Mon corps s'habille de décembre,
Mon écharpe de lettres vole, Pose sur les sapins géants Les mots frileux de nos hivers.
Phrases rondes en boules de neige
Bulles de soie douces aux lèvres
Posées en flocons sur ia langue, Je boïs ta fraîche poudre blanche CLBF
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Cest PPT TIC quand de rose DATA QUI a ses vapeurs CUT (2 de WTA DUT CAR UT UT CE TTR Quelques larmes de pluie, une mine d'ardoise. étang traîne en remous la rouille de l'automne, Quand des branches cassées, flottille de ramures,
Œcorche l'invistble à dessein, déboutonne
C7 dormante brisée en milliers de griffures. Maïs le LOUT bercera la nature ainsi faite,
DU (RTC CAT EE Ts triomphant,
CT CP CR UC ÉTTUUs CTP AUTUE CNT TT RL ET LUE
nf] {a roche dure au lichen LOT
RCE TEE TT CAT IE (en:33
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LES MONTS BLANCS On dit dans la vallée, le vent nous le rapporte, Sur les pics tourmentés ou sur les blancs névés,
Qu'entre les failles siffle un chant de telle sorte, Que l'aube vient mourir sur les pentes glacées. Cime aux flèches dressées déchirant les nuages,
Couronnées de nuées d’immobile blancheur,
EE
L'homme aventurier recherche tes honneurs. A l'ombre de ses flancs chaque pas est atout
Pantin tout disloqué suspendu aux ficelles
les bras écartelés comme en croix tu te cloues, Aux affres du blizzard, la parois devient stèle. La montagne à des fils sous son linceul de glace,
Quand la coulée d'écume au lointain glisse et gronde,
L'azur qui la caresse lui offre ses espaces Et la terre à ses pieds ses racines profondes. CLBF
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Ce mois n’est pas fait pour l'oubli,
Il ne nous laisse aucun répit,
Partout des ombres qui s'ennuient Chassent le jour, glacent la nuit. Les murs ont des pleurs aux fenêtres
Des sanglots longs qui les pénètrent
Ô pluie, tes fils qui s'enchevêtrent Versent des nausées de mal-être. Une accalmie, un doux indice
Entre les nues, couleur réglisse
Poursuit le vent, grimpe, se hisse Sur un petit rayon novice L'instant est troublant de lumière
Etranges cieux, étrange terre
Qui déployant son arc-en ciel Ouvre une voie cérémonielle. CET
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LES MONTS BLANCS On dit dans la vallée, le vent nous le rapporte, Sur les pics tourmentés ou sur les blancs névés,
Qu'entre les failles siffle un chant de telle sorte, Que l'aube vient mourir sur les pentes glacées. Cime aux flèches dressées déchirant les nuages,
Couronnées de nuées d’immobile blancheur,
EE
L'homme aventurier recherche tes honneurs. A l'ombre de ses flancs chaque pas est atout
Pantin tout disloqué suspendu aux ficelles
les bras écartelés comme en croix tu te cloues, Aux affres du blizzard, la parois devient stèle. La montagne à des fils sous son linceul de glace,
Quand la coulée d'écume au lointain glisse et gronde,
L'azur qui la caresse lui offre ses espaces Et la terre à ses pieds ses racines profondes. CLBF
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