> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Sresse dun vertige.
_— Ni : CGARITEZA CT ETAT E772 O7 PCR 07)
CET ET ET 7 07
SLT TIR EI ITR
Ce n'est pas au matin que mon cœur sc libère
CTP LR TT ARE TE TE)
@u il se veut étre seul à croire en ses chimères
COTE LR TR EC 7707
“Pout étre, au crépuscule, aux portes de la nuit
CRETE ET A REZ T7
Quand le sommeil étreint tant de rêves nourris,
Tout le ramène à vous souvent à votre insu.
EL TL TELL LATE 07
CPR TER RE
CAT LE LIT EL NI ET AL LE 1777/4 EURE AE TC TEEN 7 GATE ALT ET AZI TL 2772
OLA ET CET 12
(CPR TELL A2
ivresse du vertige honnit x liberté (CU
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Je vous prierais Monsieur... Je voudrais ! J'aimerais, je vous en fais [aveu
Enfermer dans un mot l'expression de vos yeux, Sculpter votre regard aux contours de mes peurs, Ciseler lin 1, lincruster de bonñeur. Emprisonner Le trouble que vous jetez en moi
Cette langueur docile qui par vagues d'émoi
Comme une extase chaste me tisse de velours Je veux, mais saurez-vous ? Me direz-vous un jour ? Æspérer votre bouche, objet de vos silences
Et de ne dire rien, glisser dans l'inconscience,
Accoudée à votre âme percevoir lagonie Quand mes lèvres scellées meurent de symphonie. J'aimerais! je voudrais, mais l'espoir s'amenuise
Reculer le cadran de ces heures d'église
Quand un genou à terre, confession m'y oblige Je vous « prierais » Monsieur, sans nul autre litige. C£LBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Voyez, jg versifig… ün jour jg ng pourrai plus jamais vous éerirg
Lg temps à bign des tours dans son sac à malice...
Jg n'aurai plus dg mots, de egux que je respire Je erains dg n'avoir plus dg vers à mon service. Qu£g ferais-jg de vous au fond dg ma mémoirg
Déjà par trop absent, je trouvais à vous dirg
Lgs pgings dg mon cogur sur eg vigil éeritoirg. Quand bign même sans vous j'exprimais mgs délires Je vais vous oublier dans mon plus vigux tiroir |
Car pour mg souvenir dg vous avoir aimé,
Vous l'avigz bien prédit, je ng pouvais y eroirg, Je devrais d'un pogme lg relire à jamais... Je ng m'inquigtg pas, je vigillirai ainsi,
Auprès dg votrg absgneg que j'aimais à combler,
Car vous m'avigz quitté bign avant mon oubli, Voyez, je versifig, avant qug d'arrêter. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
us aurions très bien pu ne famais nous aimer
Ft ne Jamais ouvrir les portes du désir.
Derrière les Veux dos, fermés à l'avenir, fes peines de nos COCUTS n ‘auraient pu se trouver. Tec des maux secrets que nous ne distons pas, Pourquoi parler tout baut, le silence a ses mots,
Je goûtais au bonheur comme on goûte au repos, TX mêler nos deux vies sans lutte, sans combat. inst quand nous semions en parfaite barmonie,
CD'étrangères saveurs s'ouvraient à la raison.
Jamais tant les douceurs de nos effeuillaisons Dans la chanson des vieux amants qui refleurit… es rêves restent flous quand parfois ils retiennent
Quelques soupirs fervents d’une absence inviolec.
Dans un corps si lointain de mémoire sculpté, Je respire le goût de cette terre mienne. Dors je tisse un verbe, imperturbable lien,
Cest la magie des mots ! Ne sont-ils pas radieux ?
(Dans un espace temps, en nous cherchant des yeux,
us aurions très bien pu Hélas, iln'en est rien. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Les PET O2 l
| A
| C'est l'heure. £a BETA au sommeil nous invite.
ne DOTE TE PTE Ver ee Vie
BETTER ny a aucun mérite A La AT Jon CET rare ETES APT EN EC TE Maïs la lampe s'allume au fon 8e la mémoire,
RP ONE TC
DRE TT ET TT TE TE RTE LE CES
TP ETS TRS TETE CIE
OT A ET
(EEE ET ARE TETE TETE TT AT EE
Quan à peine présent vous me faites la cour
OP ET Te POP CE EC ET TES CEBS
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
QuanS je rêve e vous. Quans Le vent sour s'infiltre au plus près 8e la nuit
OÙ semble m'appeler, m'attirer Sans sa fuite.
Hon âme va courant, me quitte sans un bruit RejoiSnant votre coeur, S'invisibles poursuites. Une Souce lanSueur trahit mes espérances,
Car c'est toujours vers vous que mes Éësirs s'envolent 5 J'aime à vous poursuivre avec quelque pruence de sais votre présence être ce qui console. OÙ y a es soupirs qui taisent tant S'amour
L'émoi ne peut mentir quan un corps nous inspire,
Quans nous Srise une main Sessinant nos contours Sissent tant &e parfums qui nous font Séfaillir. de vis tous ces instants, ces exils sans retour.
Ces arrêts S'un voyaSe où se Jise le temps.
Ôls sont ma parenthèse, heures 8e tant S'atours
Quans je rêve e vous, je vous rêve autrement CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
772072 Vagabond. 2771127 018 PAYER EE 77777
éveil est moins serein, vous peuples mes matins,
oulevant un abime dodeurs de fenaison OR EE EURE RCE 7000
Ca perdu toute idée à force de penser,
Ca du mal à cerner ce désir suggestible @ui ,mélé à nos corps ne sait plus que réver: Ce veux vous respirer , découvrir vos secrets
Au grain de votre peau, éveil d'enluminures
Ce saurai immoler mes dernières pensées ‘Zour dun regard de vous, délivrer mes murmures. @uclque chose à changer, seraisje incrédule
COélle une fleur des champs se mélant au blé dor
022778000700 7772 CL AE ET ET TE 0770 OR AE AE CA CURE LE 2770101728
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Arrière saison. Ce matin 8e septembre, plus rien ne me sourit. Peul l'azur 8e tes yeux, qui sur la mer, se pose
Atteinéra le couchant ans sa métamorphose Toi, qui espère un cœur ans un cœur attenëri. de te connais sonSeur au-elà Su reSaré,
Au-elà S'un té, bien avant tes automnes. Dans un ésir arent, je sais qu'en toi résonnent, L'amour et la passion qui ont ait tes hasarés. Ainsi aura vêcu, sans pouvoir retenir Sn e Solentes heures, cet amour éphémère
Dans Le pourpre et l'arSent S'abyssales chimères,
@ù naissent les espoirs quine veulent mourir. Ton cœur mystérieux, trouble comme la mer
He Sonne à rêver, Sevient trop bel archange,
OL pare tous ses jours 8e façon si étrange
Qu'il vient à (hèrer S'insicibles mystères. Dt ce n'est qu'en fuyant, libérant ma passion,
Que je trouve repos en cette fin &'ëté.
’avais eu miraÿe une ultime sée: pour miraëe pen. £a faiblesse S'aimer S'une arrière saison.
CLBF