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PROVENCE LA SUPERBE... Sous 1e soleil ou les étoiles, Tes champs bercés per les pipeeux, Avec le mistral comme voile Tu fais trembler pins ef roseaux. Avec trop d'azur dans 1e vent,
Tes bouffées d'air couleur lavande,
Soufflant comme courant d'aufan, Cours les chenins, belle brigande Ocre ta terre de rocailles Chaude, brûlante dune d’or, Dans la blondeur de tes semailles, On croit, Provence, que tu dors.
Mais ton silence ouvre ses ailes
Alors frissonne la moindre herbe,
Chantent moulins et bartavelles
Tu es Provence la superbe. CLBF
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La maison a tiré sur elle ses volets.
EPP Te
Et la porte d'entrée bien close va garder Une fraîche langueur dans une odeur de paille. Le ciel bleu sans effort dispense ses rayons,
Aspire la moindre eau que la terre protège, L'air n'est plus qu'une peau laiteuse de saison,
Aussi lourd qu'un silence à la tombée des neiges.
Une armée de fourmis pille sans états d'âme
Avec des bruits secrets l'éléphantesque meule
Semblant s'être animée d'une soudaine flamme
Tant d'humides vapeurs s'échappent de sa gueule. Dans l'immobilité d'un champ où pas une aile
Ne trace dans l’azur le moindre trait d'union,
Sous la chaleur ardente la nature chancelle,
Et prise d'un vertige, se fond dans l'horizon CLBF
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La Saison des ratures.. Voici que je respire au plus chaud du jardin. Sous l' arbre endeuillé étirant sa coiffure,
L'hiver s'en va mourant en un linceul dédain, Les oiseaux du printemps lui siffle des injures. La pelouse a fleuri dans la fraîcheur de l'aube.
De frémissants boutons corsetés de rosée
Au jour verront s'ouvrir leurs minuscules robes Pâquerettes jolies, habillées pour l'été. Le soleil a souri ! Pas un éclat de rire,
Un clin d'oeil pour qui veut réchauffer ses vieux os.
Les bancs ont refleuri de têtes qui soupirent Voyant passer le temps paisible au fil de l'eau. Ferez-vous comme moi aux premiers vrais beaux jours ?
Marcher le nez au vent, découvrir la nature,
Reposer vos paupières sous un rayon charmant ôter de vos regards la saison des ratures... Quand revient le printemps entrecoupé de plaintes
De brusques giboulées font s'enfuir les rayons,
Sous un bon gros nuage ils vont cacher leur crainte, Attendant tout penauds que tombent les grelons. CLBF
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Sais-tu ami fidèle où sg eachg l'aurorg, Où sg cachg le temps fuyant de sa demeure,
Où va Ig erépuseule, en quel gouffre s'endort Ung fin de journée où se perdent les heures. Montrg-moi les chemins des pluigs de boutons d'or,
lux sentes si fleuries d'éternelles douegurs,
Qug mon &mg troublée reflète ces trésors Levant des erépuseulgs d'hsrmoniques elameurs.… Veux-tu me dire encore l'histoire de ees ors
Qui aux printemps d'antan fleurissaient mon bonheur,
Qu'an automne frilgux recouvrit d'un décor Pour qu'un amour heureux ng sg brise en mon eogur. bLaissons dormir la nuit dans s£s hauts miradors,
Pissimalant l'étoile avide d'espérance, Les souvenirs sg veulent pareils à egs eondors, Suivant au gré des vents leur plénitude errance. CLBF
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De chaleur alanguie,
Des feuillus aux coteaux Silencieux sont Les bruits. Pas une aile là-haut, Sous un arbre un troupeau
Dans le ciel pas un cri, A l'heure de midi. Sur l'étang un radeau Lorsque ploient les rameaux, Joue de ses clapotis. Les bêtes font leur lit. L'air se coupe au couteau
Tant dans cette harmonie
Les rais en écheveaux Pèsent de leur ennui Au loin tel un sanglot
‘Un chant s'évanouit.
C’est Le bruit d’un ruisseau Qui court dans la prairie.
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ae: Lourdes comme du plomb, gaïnées d’or et vermeil,
Les heures du grand jour fouiflent tous Les recoins,
Cherchent l'ombre propice à un coin de sommeil Chargée de la senteur de feuilles et de foin. Un pâle vague à l'âme sur la terre irradiée,
Tourmente de vapeurs les fines pointes d'herbe,
La Blancheur se dissipe sur les épis superbes
Œn un fluide aérien légèrement voile. L'haleine de l'été ne souffle aucune plainte
L'air ne respire plus, le vent lui se camoufle
Et l'on entend au loin, maïs est-ce une complainte?
Le peuple des écorces qui de brûlures étouffe. Les monts ont à leurs pieds une fraîcheur nocturne,
Quelques vertes prairies où il fait 6on coucher,
Laissant l'étroit ruisseau d'humeur bien taciturne
Glisser en titubant, s'écorchant aux galets. Au matin Le dieu Rä, d'aplomb sur ses rayons,
Telle forge en action au rythme de soupirs
Sur les joues des vallons et coteaux moribonds
Incendiera [a terre avant que de s'enfuir... 5 À 1 & © & © & À à
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Du haut de ma fenêtre. De loin, sur les blés mûrs paraissant éphémères, Un éclair cn I t224 CL frémir l' azur. iëre A2 dans x “ni Nr
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Les foins sont tous couchés, Le front du ciel transpire,
La chaleur de l'été Lentement se retire. IX
Le temps semble arrêté Iln'est plus que soupirs,
L'espace a la beauté
D'une paix qui s'étire.
v
Beauté enténébrée,
Dans l'encre de la nuit,
Dorment les Pyrénées Sous cette lune amie. Il L'azur se revêt d'or
Blondes mèches nordiques,
Œt la terre s'endort Sous un regard pudique. IV
De longs rubans de feu Traversent Le silence,
Dans les nues peu à peu Une dame s'avance. Cu
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Crois-tu que le fermier qui voit fuir l'hirondelle
Saïit en voyant son vol s'il, fera grand beau temps,
Ou si rasant le sol en fournoiements bruyants Elle apporte la pluie assise sur ses ailes. Me diras-tu à moi fille du bord de mer,
Pourquoi le vent d'autan sur l'arbre 5 époumone,
Et comment le maïs dont les épis fredonnent Présagent d'un orage, cela est-il dans l'air 2? de n'entends plus de cris, le silence a bougé 2
Au loin un reflet gris vient marquer de sa haine
Le pauvre paysan qui sur les sillons peine Et les bœufs agités ruminent leurs fourments.
Me diras-tu enfin, toi homme de la terre Ce qui fait que ton temps est différent du mien,
Toi qui sais reconnaître le chant le plus lointain, Raconte ce savoir que Fa transmis fon père. CLBF Le silence a bougé J'aime être près de toi après {a nuit bien close,
Quand ton nez à l' affat bume l'air du à jardin,
Al, fera beau demain, me dis-tu -C'est certain! Juillet depuis frois s jours s'est habillé de rose…
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Le jour blanc se levait à peine sur la plaine,
Des gouttes d'eau tintaient dessus la pergola.
J'entendais la rumeur d'un orage de haine Et le ciel noir semblait recouvrir tous mes pas. Le poids de sa colère courbait ma frêle échine, Ainsi quand je marchais, cernée de toute part, De ses lances aiguisées, la bourrasque assassine Faisait de l'aube grise le plus fort des remparts. Quel vent traitre et obscur venait troubler juin
Qui, là-haut, dans les nues ordonnait la cabale ?
Aux mains des trombes d'eau, je devenais pantin, Tenu aux fils de pluie d'invisible cristal. Le faux vent de l'hiver sifflait entre les branches.
Qu'était donc devenu le printemps des beaux jours,
L'air tiède de la mer qui faisait nos dimanches ?
Espérons de l'été qu'il ne soit aussi sourd...
C'est un nouveau climat qui fait que l'on grelotte,
Que le pull des grands froids côtoie le lin léger,
Que sandales de corde se pressent contre botte
Au placard des saisons, étouffent les regrets... CLBF
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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nl jt CE22777777247722 El mo faut pour combler mes vœux,
CAy milieu de vertes prairies, V. À Dosañon, CAT
CET C7 Couver pour mon denier amour
LACET TLA 1202 777277272770
aime à goûter à cote enfance CAL TI 27777702 CLBF
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UNAMOUR DANS LES BLES
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MOIS Janvier a grelotté sous un
Et déjà février se couvre
Le soleil a pointé quelques
Alors que mars approche a Ne te découvre point, hurl
Je suis ce solitaire, j'aime ji
Mais je sais bien que mai
Le soleil a sur lui des effe De juin j'attendais une
Œt puis le temps s'est mis à
Il revendique ainsi sous un D'être cet infernal qui fait Juillet s'est mis en tête d'e
Il a 6rûlé la peau, Les cham
Sous les étoiles d'or, Le ciel Vois sa voûte meurtrie tell C'est l'été sur les champs Les 6!
Août osé pleurer sûremen:
Il hoquette de pluie attiré p. Se sent désenchanté, “voilà qui File septembredoux ! Belle a
Des vagues de la mer à la -fraîc
Laisse octobrewvenir. Ne brus.
Lui, saura dévêtir la plus belle
Alors novembre sec comme un c
Allumera des feux ;Jamaisilne
Œt son double glacial son frère Décembre ;levingt-cinq,-je.vo
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PÉTROLE AU A
CLIC CASE TETE 9
CANTON PTT OI 1
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