> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>

Dernier soupir

D'un ciel fipé d'ennui les nuages sévères CPromènent leur notrceur sur l ville morose,
ou que sur les toié et les fenêtres closes
La buuine d'un avtit, Ce, Prntanière, (Golore ls murs gris de quelques ecchymoses. S'engoufhe dans ls vues, un vent ébouriffé
Qui ne sait où aller par Uliver qui Le pousse.
(Ge vieil hiver corn gui ne veut sen aller,
Pourbu, endolori, que Le printemps repousse, (vec des éclaircies qui suvoiennent en douce. (Fimides, juste nè, deux, to rayons jols
CRévent d'une aventure en taveusant Le Éoù.
er ls coteaux füteux, lagonie de grand froid
CPiôle une ultime fois Ls arbres vabougiis. Le ciel cet impatient met Wu tee en émois La parteues on fleuri et la maison tepire La saison de l'espoir vééerit sa chanson,
L'oiseau zefait son nid, vois Le jour ! Sly étre,
Et be Élu de ces vagues au lointain louÿgen
Fait Jenger aux Gnqueurs d'un éternel. Joupét. CLBF