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Frissons d’embruns

‘frissons CD'embruns. AE ee SJ fallait s'archouter pour grimper Le sentier,
Pour atteindre (à-baut Les vignes suspendues.
{a mer se reflétait dans le ciel aguré, out n'était que senteur et douleurs retenues. Les, cailloux se : fetaient sous mes chausses dormantes,
Le pas se faisait lourd, le souffle me manquait.
De cette eau tout en bas, de torpeur aguichante, L'enivrante fraîcheur attisait mes pensées. Ft l'on monte et l’on monte, perdus dans (a broussaille.
Le vin doux odorant fait danser Les abeilles.
Sci chantent l'amour, (a terre et ses entrailles À vignoble s'étend sur le mont en sommeil... Le vent a des frissons d’embruns qui s’éparpillent.
Inots au plus profond, Les fantômes de bois
Flancent leurs corps secs, raidissent leurs ramilles, Pas un ceps qui ne boive au calice des rois... Le temps vient se poser, il faut bien qu'il s'arrête,
Qu'il offre son soupir que l’on garde pour soi.
ui sculpte la mémoire que la paix rend secrète, Fn laissant sur le front [a trace d’un émoi.
CLBF