La mer et ses falaises

& Der
Œt Ges Falaises Quand le soir se fait doux, je longe les falaises
La brise m'étourdit, fait trembler les genêts Et pour ne pas sombrer, alors que je m'apaise
Je dois de ma souffrance n'en voir que la beauté. Tes écailles rocheuses s'enfoncent dans la mer
Feuilleté de calcaire d'où s'éffrite le roc, Tes vagues à ses pieds se joueront de tes blocs
En gerbes de dentelle éclate ta colère. Mon coeur alors implore le coucher rougissant,
Suppliant l'accalmie de mon corps éprouvé, Mais tes flots de morsures s'arrachent aux hurlants,
Les cris de ta puissance ont la douleur d'aimer. Mon esprit envouté sous la brume naïssante,
De mon rêve insensé troublera la fusion, À ne pouvoir aimer en véritable amante, Je t'aimerai alors sans aucune raison. Comme la mer inexorable … CLBF